Wiki Guy de Rambaud
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                          Rambaut de Guyenne, puis d'Irlande et des USA

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Aaprambaud1

Blason Rambaut de Guyenne (Sgr. de Montaut, Bel-Air, La Vaquette), Angleterre, Irlande - (Ex-Libris, coll Rolland,Major Bertrand R-R. RAMBAUT, descendant des Rambaud de Guyenne. Devise: INSERVI DEO ET LAETARE (Sert dieu et réjouis-toi). D'azur, à trois aigles d'or, celles en chef affrontées. Cimier: un léopard passant, colleté d'une couronne[1].

Aaprambaud72

Bertrand Romney Robinson Rambaut (31 décembre 1874 -20 avril 1953) s'installe avec son épouse, Mabel Awmack Robson (1884 - 1973) à Baythorne Park.

Aaprambaud63

Arbre généalogique des Rambaut de Guyenne (Sgr. de Montaut, Bel-Air, La Vaquette).

Aaprambaud73

Ex-libris de Bertrand et Mabel Rambaut avec blason. Baythorne Park.

Aaprambaud101

Major Gilbert Vincent Rambaut JR, chef d'état-major du Général Forrest.

Aaprambaud207

Les origines des Rambaud/t, sont illustres remarque John Robert "Jay" Ashcroft, secrétaire d'État du Missouri.

Aaprambaud210

Dr Thomas Rambaut.

Rambaudi/Rambaut de Guyenne, puis Rambaut d'Irlande et Rambaut des USA, sont trois branches de la famille Rambaud/t

Rambaut/d est un patronyme est très répandu en France, moins ailleurs en Europe. C'est un ancien prénom qui est une forme du vieux nom germanique Raimbald, abrégé de l'ancien nom franc Raganbald (conseil-hardi). Parmi bien d’autres, les comtes d’Orange l’ont porté. Le nom Rambaud est décrit en Provence comme local, et par certains chroniqueurs comme dérivé de Raymond des Baux[2].

Quelques auteurs font remonter l’origine du nom de la famille à un compagnon de Charlemagne qui se bat si vaillamment contre les Maures qu’on le nomma Rabo, l’Enragé, d’où Rambaud; mais ceci n’est qu’une légende et ne peut servir de document historique[3]. La plupart des familles, autres que princières, sont incapables de fournir une généalogie avant le XIIe siècle. Chorier nous dit que :

… jusques à l’an M.CC les nobles n’eurent ny noms, ny titres particuliers qui les diftinguaffent d’avec ceux qui ne l’estoient point. Il y en eut peu qui adjoûtaffent rien au nom qu’ils avoient receu au baptefme et encore moins qui euffent des titres affectez à leurs familles. C’eft ce qui caufe dans l’hiftoire des obfcuritez que l’on ne fçauroit efclaircir et qui couvre l’origine des familles les plus nobles d’une nuit que nulle clarté ne peut diffiper[4].

Les Rambaut de Guyenne remontent à Jehan Rambaudi, qui est cité en 1320 et décède en 1342. Ils sont pendant des siècles notaires à Saint-Emilion et à Bordeaux, seigneurs de Montaut, la Maquette et Bel-Air. Une branche passée en Irlande à la fin du XVIII siècle, y est représentée un temps par le Major Bertrand R-R. RAMBAUT, descendant des Rambaud de Guyenne. et sa famille[5]. Cet ex officier britannique essaie de rencontrer mon père, mais il combat encore dans un maquis depuis son évasion d'un train de déportés, lors d'un bombardement aérien.

Nous ne connaissons pratiquement rien des Rambaudi avant :

Johannes Rambaudi qui est connu par un achat de propriété, qu'il fait à Bourg, paroisse Saint-Géronce, en 1320[6]. La Guyenne est une possession des Plantagenêts de 1188 à 1453. Elle est le théâtre de la Guerre de Guyenne (1294 - 1297), puis de la Guerre de Cent Ans. Selon le Major Bertrand R-R. Rambaud, descendant d'une branche calviniste émigrée en Angleterre et en Irlande nos ancêtres sont Anglais. Ils vont être seigneurs de Montaut, Bel-Air, La Vaquette. Leur blason est : D'azur, à trois aigles d'or, celles en chef affrontées. Son Cimier: un léopard passant, colleté d'une couronne. Leur devise: INSERVI DEO ET LAETARE (Servez Dieu et réjouissez-vous). Johannes Rambaud a quatre enfants :
Johannes II (ca 1290 - après 1342) cité à Saint-Emilion, vers 1342.
Almalvinus Rambaut de Guyenne (ca 1300 - après 1354) connu par un acte de partage, daté de 1342. Ce partage a lieu très probablement à la mort de leur père. Il est également mentionné le 26 avril 1354 dans une transaction passée entre Ammanen de Belhade et Guillaume de Barba au sujet de plusieurs maisons[7]. Almalvinus est cité dans les archives de la Gironde avec son père le 10 février 1341 pour des péages et coutumes dus à l'archevêque de Bordeaux.
Marie Rambaudi épouse de Géraud de Peron

Pour Émile Salomon (1888 - 1945), Directeur du Conseil des héraldistes de France et de la Nouvelle Revue Héraldique:

Guillaume-Hugues Rambaudi parait être le second fils de Johannes, des Rambaut de Guyenne. Il est la tige des branches :

¤ Rambaud de Montgardin et d'Ancelle, Armes : De sable au cyprès d'argent accompagné en chef d’une tourterelle du même. Alias : D’azur au pin d’or surmonté d’une colombe essorante du même.

¤ Rambaud de Furmeyer. Les trois capitaines Furmeyer, amis et compagnons du baron de Adrets et du connétable Lesdiguières, gouverneurs de Gap et seigneurs de Furmeyer, La Bussière, Beaurepaire, Ancelle et Montgardin. Ils sont dispersés à l’époque des guerres de religion.

¤ Rambaud de Beaurepaire

¤ et aussi l'ancêtre des Les Rambaud de Pertuis et Rambaud des bords de l’Étang de Berre

¤ Rambaut d'Irlande

¤ Jean Rambaut épouse le 10 août 1782, Marie Hautenville (1752 - 1822), fille de Samuel Hautenville et Elizabeth Wilkins. Les Hautenville sont des Huguenots d'ancienne lignée française de la famille de Tancrède de Hauteville (? - 1041), fondateur de la maison de Hauteville et ancêtre des rois normands de Sicile[8]. Elizabeth Wilkins est la fille du Rev. Joseph Wilkins (1634 - 1716) apparenté à John Wilkins et la soeur d'Olivier Cromwell. Sa mère est la nièce de Sir George Rawdon, 1st Baronet (1604 – 1684), of Moira.

¤ Rambaut des USA

¤ Richard Rambaut fuit la France catholique en 1754 et s'installe d'abord à Dublin, puis à Saint-Domingue. Il doit se réfugier du fait des massacres de blancs dans cette île à Petersburg (Virginie). Il se marie avec la comtesse Elise de La Roche, veuve du comte de La Rochefoucauld.

¤ Gilbert Vincent Rambaut JR jouit de l'entière confiance du général Nathan Bedford Forrest (1821 - 1877) et est ami avec lui du début à la fin de la Guerre de Sécession (1861 - 1865). Il est major dans son état-major et son commissaire des guerres en chef, et reste dans l'état-major du général Forrest pendant toutes ses promotions[9].


¤ Le Docteur Thomas Rambaut passe d'Irlande aux USA et y devient un personnage important. John Robert "Jay" Ashcroft, 40e secrétaire d'État du Missouri, nous dit à propos des Rambaut des USA qu'ils sont parents de l'impératrice Marie Josèphe Rose Tascher de La Pagerie, dite Joséphine de Beauharnais et de la sœur d'Olivier Cromwell, mariée en 1656 à John Wilkins, fondateur de la Royal Society et évêque anglican de Chester. Pour John Robert "Jay" Ashcroft les Rambaut sont de la famille de Guillaume au Cornet premier prince d’Orange, fondateur de la principauté, en l’an 793 et Raimbaud d'Orange. En 1096, le comte Rambaut prend la croix à l'appel d'Urbain II et part pour l'Orient avec son parent Guillaume, évêque d'Orange, ils y perdent la vie en 1121. Le comte est parti comme feudataire de Raymond de Saint-Gilles, marquis de Provence, ou à la voix du chef de la croisade, l'évêque Adhémar, membre de sa famille, lequel exerce un grand ascendant sur l'esprit du comte de Toulouse[10].

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Aaprambaud81

Les Huguenots ne quittent pas la France uniquement à partir de 1685.

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LES RAMBAUT DU PÉRIGORD[]

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Aaprambaud82

Duras et sa porte de ville du XVe siècle.

Armoiries accordées devant Charles d*Hozier, juge d'armes de la noblesse française, en date du 22 février 1699, registre de Guyenne, généralité de Bordeaux. Premier feuillet 1075, n° 887, à Jean Rambaut, lieutenant de la juridiction de Montaut, D'azur à trois aigles d'or, par ordonnance du 20 novembre 1696. Jean Rambaut est père de Léonard Pierre Rambaut de Belair. Ils figurent Dans le Grand Armorial de France, édité par Charles d'Hozier, en date du 22 février 1699, Guyenne.

Ces Rambaut s'installent à Duras au XVIe siècle[11].

Bel-air se situe entre Esclottes et Savignac, au nord de Duras. Ce château est souvent confondu avec un autre Belair près de Bergerac, dans la Commune de Cadouin, vendu en 1791 par la nation[12]. Montaut est un peu plus à l'est.

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Les Rambaut de Belair (1754)[]

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Aaprambaud64

Les derniers Rambaut de Guyenne sont seigneurs de Bel-Air, avant de se réfugier en Irlande ou à Saint-Domingue.

Aaprambaud71

Anne de Vaudrey, qui fonde cette branche des Rambaut est famille franc-comtoise fort ancienne et ilustre.

François Rambaut, fils de Jehan et Marguerite Coutray, est né vers 1535. Il achète le Château Belair, situé entre Savignac et Esclottes, et près de Blidarre. Ces terres sont pour la plupart des vignobles, produisant des vins célèbres depuis l'époque romaine. François Rambaut épouse en 1565 Anne de Vaudrey, d'une famille franc-comtoise. A la mort de son frère Jacques Rambaut en 1572, il hérite de la fortune de ce dernier, qui est déjà sous sa garde[13]. Le massacre de la Saint-Barthélemy (24 août 1572 à Paris) se répète à Bordeaux le 3 octobre, où les protestants sont exterminés, le Parlement ayant planifié les opérations et les massacreurs étant excités par les prêches des prêtres catholiques. Le lieutenant du roi tente d’empêcher les tueries, mais le maire laisse lui aussi faire, le bilan s'élève à deux cent soixante-quatre protestants assassinés dans cette ville.


Chérubin Rambaut est né vers 1568. Il hérite des biens de son père, et principalement de la terre de Belair. En 1603, il apparaît comme notaire royal à Bordeaux. Il paraît avoir épousé une héritière de la maison de Plaignolles, car en 1639 Mademoiselle Anne de Plaignolles fait ses neveux et nièces — François, Pierre et Anne Rambaut — légataires de tous ses richesse. Plaignolle, Plagnolle ou La Plagnolle, seigneurs de Saint-Germier, sont inscrits au rôle des nobles de la cité de Toulouse, dressé en 1522, pour un archer[14]. De ce mariage est venu :

1. François Rambaut, qui suit.

2. Pierre Rambaut né vers 1605, et marié le 1er avec Jeanne Bermon,.

3. Anne (39), qui a épousé Jean de Lautron.


François Rambaut, né vers 1594, et épouse très jeune Damoiselle Marguerite Dejean qui lui apporte les terres de Marcheprime, et par qui vient Jean, qui lui succède. Elle est également propriétaire de la forêt de Casseplegat, où vont se réunir clandestinement les protestants. En 1685, Louis XIV détruit 570 des 815 églises protestantes. Les huguenots qui se réunissent secrètement dans les bois sont l'objet de représailles sauvages et d'une mort immédiate.

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Jean Pierre Rambaut de Belair (1650 - après 1740)[]

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Aaprambaud2

Ces Rambaut sont seigneurs de Montaut, La Vaquette et Belair.

Aaprambaud126

Montaut.

Jean Pierre Rambaut de Belair (1650 - après 1740) devient lieutenant de la juridiction de Montaut. Durant la période 1689 à 1693 Maître Laurent de la Rigaudie, Ecuyer Seigneur de ce lieu, secrétaire du Roi Louis XIV, intente une action contre Jean Rambaut. Il apparaît comme parrain, avec André d'Aubusson, seigneur, marquis de Castelnouvel, de Marguerite, fille d'Arnaud Dujarric, chirurgien, et de Marie Rambaut, en 1685. La maison d'Aubusson est une famille noble française d'extraction féodale, originaire de la Marche, citée dès le IXe siècle.

Jean Pierre Rambaut de Belair (1650 - après 1740) épouse Jeanne Morin (ou Maurin). Ils abjurent le protestantisme en 1685, tout en conservant secrètement leur religion. Ils font tous deux un testament conjoint le 27 mars 1740, devant Navarre, notaire royal. Cet acte est mentionné dans un contrat daté du 3 mars 1749, devant Souan, qui donne les noms de ses enfants :

1. Léonard Pierre Rambaut, qui suit.

2. Jeanne, décédée jeune.

3. Jeanne

4. François

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Léonard Pierre Rambaut de Bel-air (ca 1690 - 1754)[]

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Aaprambaud83

1685 : La Jurade de Duras refuse le démolition du temple de la ville et officialise sa prise de possession par les catholiques.

Aaprambaud80

Emigration des huguenots français victimes des pires persécutions.

Aaprambaud85

La France oblige des centaines de milliers de ses meilleurs citoyens à à se réfugier à l'étranger, où ils amènent la prospérité.

Aaprambaud86

La France libère des femmes protestantes emprisonnées à Aigues-Mortes seulement en 1768.

Léonard Pierre Rambaut de Bel-air (ca 1690 - 1754), qui est bourgeois de Duras en 1726[15]. Il est consul à Duras (Marmande) et procureur syndical, 1729-32. Il épouse, devant Chaigne, notaire, à Blidarre (14 septembre 1723), Jeanne Fauché (ou Fauchay), d'une famille noble de Saint-Ferme[16]. Une cérémonie religieuse suit à Duras le 14 du même mois. Le 16 mars 1748, devant Souan, il achète un terrain à Duras dans la paroisse de Saint-Eyrard au prix de 299 livres. Parmi les nombreux désagréments auxquels les huguenots sont soumis, il y a celui d'être interdit de transporter du vin d'un district à un autre. Pour ce délit il est traduit devant le Jurad de Duras le 25 mars 1753[17]. Il est souvent décrit comme le huguenot dans les registres de l'époque. La tradition rapporte qu'au moment de sa mort le prêtre essaie de lui imposer les rites catholiques sur son lit de mort, mais ses fils, protestent et jettent le prêtre par la fenêtre. D'après la tradition familiale, le corps de Léonard Pierre Rambaut de Bel-air, dit le huguenot, est traîné dans les rues après sa mort en 1754. Après le décès du père, les fils doivent s'exiler pour éviter d'être massacrés[18]. Cette escapade a lieu en 1754[19].

A cette époque le temple de Duras est accaparé par les papistes.

A Duras, en 1562, les Huguenots s’emparent de l’Eglise Notre Dame et la détruisent. Jacques de Durfort (huguenot, marquis et Seigneur de Duras) construit un temple au cœur de la ville, en 1611. A la Révocation de l’Edit de Nantes par Louis XIV interdisant l’exercice de la religion à Duras, le 27 Juin 1685 : Arrêt du Parlement de Bordeaux, ordonnant la démolition du temple construit en 1611.  14 Septembre 1685 : La Jurade de Duras refuse cette démolition et officialise la prise de possession de ce temple par les catholiques sous le vocable de Sainte Madeleine.

À partir de 1702, les Réformés se soulèvent en simple chemise. De là vient leur nom de Camisards, dérivé du mot Cami, chemise en occitan. Jusqu’en 1715, ils tiennent tête au pouvoir central. Bien sûr, les armées royales finissent par l’emporter. Sur un plan politique, il en est tout autrement. Dénoncé par une grande partie des puissances européennes, le choix de Louis XIV affaiblit durablement la royauté. L’historien Philippe Joutard estime que la révocation de l’Édit de Nantes est l’une des sources majeures du déséquilibre de la France. Et qu’elle est, par ce biais, l’une des causes de la Révolution Française. Elle représente, à n’en pas douter, l’une des taches indélébiles du règne de Louis XIV.

Léonard Pierre Rambaut de Bel-air (ca 1690 - 1754) laisse six enfants :

1. Richard Rambaut (1733 - 1827) s'échappe en se cachant à bord d'un navire transportant du sucre faisant route vers Saint-Domingue. Il se réfugie à Saint-Domingue. Il se marie à Margaret, veuve du marquis Jehan de La Rochefoucauld, fille du comte Guillaume de La Roche, originairement dame de Barbezieux, décédé le 12 janvier 1826... Une branche s'installe dans le sud des États-Unis. (chapitre : LES RAMBAUT AUX USA).

2. Pierre Rambaut de Bel-air, né le 11 février 1729, surnommé Cablan, en raison de sa force exceptionnelle. Pierre part pour la Suède, et finalement s'installe à Philadelphie. Son nom devient Rambo. Au siècle précédent, à Philadelphie, Daniel Rambaut (Rambo), un vieil aîné de Villaro, subit une mort d'une manière trop choquante pour être racontée[20]. Il épouse Anne Fauchay avant le 15 août 1762. Il laisse deux filles, Marie et Jeanne

3. Jean Rambaut (1743- 1810), le plus jeune des fils (11 ans), qui suit.


Jacques Rambaut est né en 1749, marié à Anne Fauchay, habitant Pellegrue, est décédé de mort violente le 15 juillet 1793 avec constat de juge de paix. Témoins Jean Rambaud 54 ans et Jean Faure 34 ans habitant Ste Foy (33).

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Aaprambaud84

1685 : un arrêt du Parlement de Bordeaux, ordonnant la démolition du temple de Duras construit en 1611. Le 14 Septembre 1685 : La Jurade de Duras refuse cette démolition et officialise la prise de possession de ce temple par les catholiques sous le vocable de Sainte Madeleine.

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LES RAMBAUT D'IRLANDE[]

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Aaprambaud89

L'Eglise huguenote d'Irlande.

Aaprambaud87

Le cimetière huguenot de Dublin où reposent des Rambaut.

Jean Rambaut (1743 - 1810) s'échappe en se cachant dans un tonneau de vin vide sur un navire naviguant pour Rotterdam. Puis, il s'installe en Irlande et est l'auteur de la branche irlandaise et anglaise.

On estime à dix mille environ le nombre de Huguenots qui se fixent en Irlande, fortuitement ou de propos délibéré. La minceur des effectifs est compensée par le rang social des immigrants, plus élevé qu'en Angleterre, en raison notamment de la proportion élevée d'anciens officiers et soldats, gentilhommes pour la plupart, qui se fixent à Portarlington, Waterford et tout le long de la côte irlandaise au lendemain de la paix d'Utrecht (1713). Organisés en congrégations, observant scrupuleusement les rites de leur religion et les coutumes de leur pays d'origine, se mariant le plus souvent entre eux, les huguenots parviennent à conserver leur identité jusqu'à la deuxième, la troisième et parfois la quatrième génération[21].

Après quoi, ayant définitivement abandonné tout espoir de revoir le pays de leurs ancêtres, ils s'assimilent, ici comme ailleurs, et ne se distinguent bientôt plus de leur pays d'adoption[22].

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Jean Rambaut se réfugie en Irlande (1754)[]

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Aaprambaud75

L'héritage huguenot au Royaume Uni.

Aaprambaud98

Les lieux fréquentés par les huguenots de Dublin.

Aaprambaud98

Les lieux fréquentés par les huguenots de Dublin.

Aaprambaud90

Le cimetière huguenot de Dublin où reposent des Rambaut.

Vers 1754, Jean Rambaut quitte Duras à la suite, semble-t-il, de démêlés avec les autorités religieuses locales, d’après le récit de son descendant, Philip Rambaut, relaté par René Blanc, Exaction commise contre la famille Rambaut[23].

Jean Rambaut (1738 - 1810) est né au château de Belair au nord de Duras, à 16 ans il s'échappe de France en se cachant dans un tonneau de vin vide sur un navire naviguant pour Rotterdam. De là il s'installe à Dublin où il devient raffineur de sucre[24]. Il y a une implication importante des huguenots dans le raffinage du sucre à Dublin. Douze des raffineries de Dublin sont en des mains huguenotes. Les ouvriers de l'industrie sucrière bordelaise ont émigré à Dublin dans les années 1720. Parmi les raffineurs se trouvent Jean Rambaut, dit de Bordeaux par les Irlandais[25]. Pendant un certain temps, il semble avoir raffiné à Dublin le sucre cultivé par son frère Richard Rambaut à Saint-Domingue.

Philippe M. Rambaut écrit en 1993 The Participation of Huguenot Settlers in Dublin’s Sugar Bakeries in the 18th Century[26].

Les protestants qui s'installent en Irlande font carrière dans l'armée, l'église, les affaires et comme artisans. À Dublin, les familles huguenotes excellent dans la banque, la librairie, l'horlogerie, le tissage du lin et de la soie et donc les raffineries du sucre. Un autre segment tourne ses talents vers l'enseignement de sa langue maternelle, en donnant des cours, créant des écoles ou en étant gouvernantes. De nombreuses relations commerciales s'établissent entre Dublin et les régions viticoles françaises, et Jean Rambaut, fils de vigneron, est négociant en vin à la naissance de son fils William en 1795 en Irlande. Il est un membre influent du calvinisme français ...

Jean Rambaut épouse le 10 août 1782, Marie Hautenville (1752 - 1822), fille de Samuel Hautenville et Elizabeth Wilkins.

La tradition veut que Jean soit le premier homme à utiliser un parapluie en Irlande.

Ancien de l'Eglise française de Dublin, Jean Rambaut décède le 4 décembre 1810, à l’âge de 72 ans[27]. Il est inhumé à United French Church.

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Mariage Rambaut/Hautenville (1782)[]

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Aaprambaud232

Château de Lisburn.

Aaprambaud91

Château des baronnets Levinge alliés aux comtes de Moira.

Aaprambaud88

John Theophilus Rawdon-Hastings, fils du 1er comte de Moira.

Aaprambaud65

Rawdon Hautenville, petit-fils du 1er comte de Moira, frère de Marie Hautenville (1752 - 1822).

Aaprambaud76

Thomas Romney Robinson.

Aaprambaud92

Mary Susanna Robinson, fille de Thomas Romney Robinson, épouse Sir George Gabriel Stokes, 1er baronnet (1819 - 1903), physicien et mathématicien anglo-irlandais.

Mariage de Jean Rambaut et Marie Hautenville. — Ce jourdhuy Samedi 10e Aoust, 1782, moi, pasteur soussigné, certifie qu’en vertu d’une licence de my Lord Archevêque, adressée au Docteur Law, recteur de St. Marie, j’ai béni le mariage de Mr. Jean Rambaut, sucrier, natif de Duras en France, et de Marie Hautenville, de cette eglise. F. Bessonnet, Pasteur.

Lié par alliance à la famille Marland, Jean Rambaut épouse lui-même Marie Hautenville, dont les membres de la famille sont les principaux marchands de soie huguenots de Dublin[28] [29].

La famille Hautenville vivant à Blackrock sont des descendants d'huguenots d'ascendance noble française. La famille Hautenville déménage de Lisburn à Dublin. La famille de sa femme, les Hautenville, basée à Dublin, fabrique des textiles en soie et en popeline. Selon Bertrand Romney Robinson Rambaut, historien de notre famille les Hautenville sont de Dublin, et de Normandie, et se rattachent à la famille Wilkins et aux Cromwell.


David Hautenville est né vers 1650 et vient de Rouen à Londres vers 1680, et de là à Lisburn. On pense qu'il s'est marié à Lisburn en 1680. En 1690 les listes de l'armée font apparaître l'enseigne Hautenville au régiment du colonel de Caillemotte[30]. De nombreux soldats sont revenus à Lisburn après la campagne de 1690, certains n'y restant que quelques années, comme les familles Mangin, Le Blanc, des Brissay et Hautenville, qui ont ensuite choisi de rejoindre des relations dans la capitale et la ville huguenote de Portarlington.

David Hautenville a deux fils et quatre filles.

L'aîné, Daniel, né en 1681, n'a laissé aucun héritier.

Samuel Hautenville, né en 1690 à Lisburn, épouse Elizabeth Wilkins, fille du révérend Josiah Wilkins, recteur de Lisburn et doyen de Clogher, en 1694. Il est le père de :

Marie Hautenville (1752 - 1822), mariée à Jean Rambaut.
Rawdon Hautenville, descendant de John Rawdon (1742 - 1815), troisième baronnet de Moira, fils de Sir Arthur Rawdon, 2e Bt. et Helena Graham. Il est marié à Dorothy, fille de sir Richard Levinge, premier baronnet.

Rawdon Hautenville, petit-fils du premier comte de Moira, est officier dans le 4e régiment d'infanterie, plus tard au West Yorkshire Regiment, en 1739. Il épouse Abigail Jeffrey, la fille de Robert Jeffrey de Lisburn. Sa grand-mère est Dorothy, fille de Sir John Rawdon, premier comte de Moira. Rawdon Hautenville est le petit-fils du 1er comte de Moira. Il épouse Abigail Jeffrey, la fille de Robert Jeffrey de Lisburn.


Parmi les collections de manuscrits figurent des papiers de la famille Hautenville et des familles apparentées de Rambaut et Cope. Les articles de Grace Lawless Lee relatifs à ses recherches pour son livre Huguenot settlements in Ireland (Londres, 1936), généreusement offert par son fils le Dr Robin Gwynn en Nouvelle-Zélande ; et des lettres de TP Le Fanu à Albert Carré relatives à son livre, L'influence des huguenots français en Irlande… (Paris, 1937).

Jean apparaît comme titulaire d'un bail au 18 Prussia Street, à Dublin, le 15 juin 1789, et au 25 Coles Lane, selon l'annuaire de Dublin de 1792. L'histoire de sa fuite et les traditions de son ascendance est racontée par des réfugiés de la noblesse, qui fuient pendant la période révolutionnaire. Il est l'un des anciens s de l'église française qui réside au 77 Upper Dorset Street, Dublin. Son épée va être est en la possession de son arrière-petit-fils, le Major Bertrand Rambaut, et le Dr Daniel Rambaut possèdera sa Bible. C'est un homme distingué, avec du bon goût et de nombreuses réalisations.


De son mariage sont issus six enfants :

I. Pierre Rambaut — Ce jourdhuy 2 Octobre, 1783, moi, pasteur soussigné, certifie avoir administré le St. Baptême au fils de Mr. Jean Rambaut, natif de Dures en France, sucrier, et Dame Marie Hautenville, son épouse ; né le 2 du mois dernier ; a eu pour parrains, Messrs. Higgins et Cope, et pour maraine, Made Wilkins, qui lui ont donné le nom de Pierre. Franc. Bessonnet, Pasteur[31].

II. Catherine Rambaut — Ce jourd’huy Jeudi 16 Septembre, 1784, moi, pasteur sousigné certifie avoir administré le St. Baptême a la fille de Mr. Jean Rambaut, natif de Duras en France, et de Dame Marie Hauttenville, de Dublin, son épouse ; née le Lundi 6 du courant ; a eu pour parains, Monsieur Guillaume Hautenville, et pour maraines, Mesdames Wilkins et. Marie Cope, qui lui ont donné le nom de Catherine. C’est ce que j’atteste. Franc. Bessonnet, Pasteur. Elle décède le 20 février 1785[32].

III. Isabelle Rambaut — Ce jourdhuy 2 May, 1786, moi, pasteur sousigné, certifie avoir administré le St. Bapteme a la fille de Mr. Jean Rambaut, sucrier, et de Marie Hautenville, son épouse ; née le du mois dernier ; a eu pour parain, son oncle le Capitaine Rawdon Hautenville et Guillaume Hautenville, ses oncles maternels, et pour maraines, les Dames Isabelle et Susanne Cope, qui lui ont donné le nom d’Isabelle. Franc. Bessonnet, Pasteur[33].

IV. N. Rambaut, né vers juillet 1787 et décédé en avril 1788 à l’âge de 10 mois. Fils de Mr. Jean Rainbaut, ancien de cette eglise, mort en Avril et enterré le ... âgé de 10 mois. Franc. Bessonnet, Pasteur[34].

V. Elizabeth Eliza Isabelle Rambaut (1792 - 1839), parrain Rawdon Hautenville se marie à St. George's Church, Dublin, avec John Thomas Romney Rev Robinson (1792 - 1882) astronome et physicien irlandais du XIXe siècle. Il est longtemps directeur de l'Observatoire astronomique d'Armagh, l'un des principaux observatoires astronomiques du Royaume-Uni à son époque.

VI. William Rambaut (1795 - 1833), qui suit.

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William Rambaut (1795 - 1833)[]

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Durhamstown/Dormstown Castle.

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Reverend William Hautenville Rambaut (Apr 13, 1822 - Aug 26, 1893), astronome irlandais.

Aaprambaud94

Portrait de Jonathan Osborne MD.

Aaprambaud95

Réminiscences de Miss Rambaut qui vit à Templeville, Killiney Hill Road vers 1930.

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Carysfort Chapel. 1871 - 1893 Rév. Edmund Francis Rambaut.

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Daniel Rambaut, psychiatre et rugbyman.

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Daniel Frederick Rambaut (1865 -1937) et son équipe de Trinity-Rugby. 1886/1887.

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Marmion Lodge/Oak Lodge demeure de Romney Rambaut (1871 - 1872).

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Thomas Grubb (1800 - 1878) est le beau-père de Romney Rambaut (1871 - 1872).

William Rambaut est le plus jeune fils de Jean Rambaut, huguenot, devenu sucrier, puis marchand de vin à l'époque de sa naissance. Sa mère, Marie Hautenville, est d'une famille noble normande réfugiée à Lisburn, puis à Dublin.

William Rambaut est né vers 1795 et décédé le 3 mai 1833 à Blackrock, paroisse St George's Church. Il est enterré à Merrion Row.

William Rambaut se marie, le 1er août 1821, à Maryanne Gibney (1793 - 1862), sa cousine germaine, et la fille aînée de Michael Gibney du château de Dormstown, comté de Meath. Elle est décédée le 2 juin 1862 à Leeson Park à Dublin.


De leur mariage en 1821 sont issus six enfants :


1 Rev William Hautenville Rambaut est né le 13.04.1822 épouse Alice Catherine Osborne, fille de Jonathan Osborne MD le 20.07.1861 à Booterstown. Rambaut est le premier assistant de Lord Rosse au château de Birr, travaillant de janvier à juin 1848. Il fait de beaux dessins à la craie (sur carton noir) de nébuleuses observées avec le réflecteur 72", qui n'ont pas été publiés. De gauche à droite : M 51, M 64, M 97, M 99, M 42 (c) W. Steinicke. Le 1er avril 1848, Rambaut découvre la galaxie NGC 4110 à Coma Berenices avec le 72 pouces. William Hautenville Rambaut (1822 - 1911), est assistant observateur à l'Observatoire d'Armagh de 1849 à 1868[35]. Jonathan Osborne MD FRCPI (1794 - 1864) est un éminent crypto-neurologue et chirurgien irlandais. Avec sa femme Catherine, Jonathan Osborne MD a un fils, Verney, et une fille Florence (qui épouse le révérend William H. Rambaut), tous deux décédés en tant que jeunes adultes et enterrés avec lui dans le caveau familial à l'église St. Michan de Dublin[36]. William est décédé le 26.08.1893 et ​​Alice est décédée le 26.01.1911. Il est l'auteur de : The Writings of Irenæus (1868)


2. Frederick Robinson Rambaut né le 18.09.1823. Frederick est agent foncier et importateur de vins fins. Il épouse Margaret Elizabeth Read, née vers 1835, décédée en 1910. Frederick est décédé le 21.10.1906 à Templeville, Killiney.


3. John Rambaut MD né le 11.11.1825 est colonel marié Melacina Eleanor Birley Thornton], fille de Colonel William Henry Thornton et veuve de Francis Bradkirk Birley (1817 - 1855), le 02.07.1859, à St Peter’s, Dublin. John meurt le 23.11.1893 et est enterré à Londres.


4. Rev Edmund Francis Rambaut 4e fils né le 28.11.1827 à Lower Dorset Street épouse sa cousine germaine Madeline Marlande le 13.09.1853 à l'église de Rathfarnham. Le frère de la mariée, le révérend John Marlane officie. Madeline née vers 1829 est décédée le 13.12.1887. Edmond est le titulaire de Christ Church Blackrock de 1871 jusqu'à sa mort en 1893. Edmund est décédé à 13 Idrone Terrace, Blackrock le 26.02.1893 et est enterré à Deansgrange. Mémorial d'autel, chaire et bureau de lecture érigés à sa mémoire dans l'église de Carysfort. Avant que l'Église ne soit démolie, ces monuments sont donnés à la petite église de Drumcar, Co Louth.

Eliza Gibney Rambaut est la fille du révérend Edmund Francis Rambaut. Elle épouse Henry Beresford Brasier-Creagh, fils de George Washington Brasier-Creagh et d'Averina Sherlock, le 19 décembre 1893. Elle meurt le 22 septembre 1953. À partir du 19 décembre 1893, son nom d'épouse devient Brasier-Creagh. Ils sont les parents du Colonel Edmond Beresford Brazier-Creagh.
Arthur Alcock Rambaut (1859 - 1923) est un astronome irlandais. Il est élu membre de la Royal Society en 1900 et siège deux fois au comité de la Royal Astronomical Society. En 1883, il épouse Emily Longford, avec qui il a trois fils. Arthur Alcock Rambaut est né le 21.09.1859 à Waterford. Arthur a épousé Emily Longford, fille de J.H. Longford le 02.01.1883 à St Philip & St James, Booterstown. Il obtient une première bourse scientifique en 1880 au Trinity College et obtient son diplôme en 1881. Cette même année, il est médaillé d'or en mathématiques et en physique mathématique. Il obtient sa maîtrise à la Royal School d'Armagh et en 1882, il est nommé assistant à l'Observatoire de l'Université de Dublin, à Dunsink, sous Sir Robert Ball. Il est à l'origine des Dunskink Observations and Researches répertoriant près de 3.000 étoiles. Arthur est décédé dans une maison de retraite d'Oxford le 14.10.1923 et est enterré à Holywell, Oxford. Emily Rambaut, née Longford est décédée le 4 août 1948 à Hornsey Lane, Highgate. Arthur Alcock Rambaut est 6e professeur Andrews d'astronomie, 5e astronome royal d'Irlande, observateur à l'observatoire Radcliffe, Université d'Oxford.
Dr Daniel Frederick Rambaut (1865 -1937), fils cadet né le 06.08.1865 au 3 Newtown Buildings à Waterford. Au cours de ses années d'études à Trinity, il joue un rôle central dans un match de rugby. Il joue au rugby pour Monkstown et l'Université de Dublin et représente l'Irlande en tant qu'international en 1887 et 1888. Il est également un coureur de haies et un joueur de cricket. Il étudié à l'hôpital psychiatrique de Wakefield et à l'université de Vienne. A son retour en Irlande, il est devenu médecin adjoint et pathologiste au district de Richmond Lunatic Asylum, Grangegorman, Dublin. Daniel Frederic Rambaut (6 août 1865 - 30 novembre 1937) est un psychiatre irlandais, l'un des pionniers de la psychiatrie moderne. En 1909 il épouse Esther Graham Ling la plus jeune fille de Christopher Ling de Sandridge, à Birkdale en 1909. Daniel est décédé le 30.11.1937 à Northampton. Daniel Frederick Rambaut est un éminent médecin d'asile à la fin du XIXe et au début du XXe siècle. D'origine irlandaise et huguenote, sa carrière le mène de l'asile de Richmond à Dublin au poste de surintendant médical résident dans le plus grand hôpital privé d'Angleterre. Le Dr Daniel Frederick Rambaut est décédé à l'âge de 72 ans à St. Andrew's Hospital, Northampton, dont il est le surintendant médical, le 30 novembre. Il est membre de la Société des Huguenots depuis 1933 et est apparenté à un certain nombre de familles huguenotes, en plus des distinguées de Hauteville et de Rambaud. Il est décrit dans la longue notice nécrologique parue dans The Times du 1er décembre dernier comme un pionnier dans le traitement moderne des maladies mentales.


5. Romney Rambaut (1829 - 1896) né au 73 Upper Dorset Street. Romney épouse la sœur, Mary Anne, de Howard Grubb[37]. Elle est donc la fille de Thomas Grubb de Leinster Square, le 16.08.1860 à la cathédrale de Bangor, North Wales. Romney est un marchand de vin décédé le 24.01.1886 à Ballawley Park, Dundrum et enterré dans le Huguenot Cemetery, à Merrion Row.

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Rambaut of Baythorne[]

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GM Rambaut of Baythorne.

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Blason des Rambaut of Baythorne Park.

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Baythorne Park en 1793.

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Baythorne Park et la rivière Stour serpentant à travers le parc.

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Le mari de Priscilla Mary Frederica Rambaut descend du roi Henry VII.

Bertrand Romney Robinson Rambaut (31 décembre 1874 - 20 avril 1953) est né à Dublin, en Irlande. Il s'enrôle dans la Royal Garrison Artillery et obtient à la fin de sa carrière le grade de major. Après sa retraite de l'armée, il s'installe à Durham. Bertrand Rambaut est répertorié comme directeur de Hour Mills, Durham (dit capitaine de l'armée à la retraite dans le recensement de 1911.

le roi George VI lui décerne la [https://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9daille_de_George George Medal (GM), une décoration du Royaume-Uni et du Commonwealth , décernée pour bravoure, généralement pour des civils, ou dans des circonstances où les honneurs militaires ne sont pas appropriés.

Les articles écrits par Bertrand Romney Robinson Rambaut, membre du Conseil de la Huguenot Society of London, incluent :

Notes on the Family of Pelissier in Ireland Huguenot Society of GB & Ireland Proceedings, Vol. 17 (1942–46)[38].
THE HUGUENOT FAMILY OF RAMBAUT. By MAJOR BERTRAND R.R. RAMBAUT
The Huguenot Society's Badge 431 Illustrations, &c FOLDING PEDIGREE OF THE HUGUENOT FAMILY OF RAMBAUT AFTER LEAVING FRANCE IN 1754
HISTORICAL AND GENEALOGICAL ACCOUNT OF THE HUGUENOT FAMILY OF RAMBAUT IN FRANCE. Compiled by MAJOR BERTRAND R.R. RAMBAUT
THE HUGUENOT FAMILY OF HAUTENVILLE IN IRELAND AND SOME OF ITS CONNEXIONS. By MAJOR B. R. R. RAMBAUT


Bertrand Romney Robinson Rambaut épouse Mabel Awmack Robson (1884 - 1973) en 1909. Elle est la fille de Stephen Edward Robson est né le 11 mai 1853, au 14 John Street, à Sunderland, comté de Durham, meunier employant 10 hommes et des domestiques. Sa mère est Mary Louisa Trewhitt, fille de John Trewhitt, décédée 1919 vers l'âge de 66 ans à Sunderland, comté de Durham. Robson possède certainement le MS de la Flore, qui passe à sa fille Mabel Awmack (1884 - 1973) qui épouse le Major Bertrand R. R. Rambaut (1874 - 1953).

Dans les années 1930, Baythorne Park est la demeure du Major Bertrand et de Mme Rambaut, qui est dame du manoir de Baythorne End. A Baythorne Park, Halstead, Essex, Angleterre est née :

Priscilla Mary Frederica Rambaut, née après 1909, épouse le 10 septembre 1938 John Vaughan Campbell-Lambert, fils d'Archibald Vaughan Campbell-Lambert et de Gertrude Hall Attye, le 10 septembre 1938. de Lyston Hall et Foxearth Hall (27 octobre 1868 - 12 février 1964); m.22 mai 1902 Gertrude Hall Attye (décédée le 6 avril 1909). Il est un des descendants du Roi Henry VII (1457 - 1509). À partir du 10 septembre 1938, le nom d'épouse de Priscilla Mary devient Campbell-Lambert.
Mariage à Birdbrook de M. John Vaughan Campbell Lambert fils unique de M. AVC Lambert de Foxearth Hall et Lyston Hall, à Priscilla Mary Frederica Rambaut, fille du Major Bertrand RR Rambaut, feu de l'Artillerie royale et de Mme Rambaut de Baythorne Park, Halstead. La lune de miel s'est déroulée en voiture en Suisse.
Enfant de Priscilla Mary Frederica Rambaut et John Vaughan Campbell-Lambert :
John Rambaut Vaughan Campbell-Lambert est né le 2 mars 1940. Il est le fils de John Vaughan Campbell-Lambert et de Priscilla Mary Frederica Rambaut. Il vit à Foxearth Hall, Sudbury (Suffolk). Il vit à Lyston Hall (Essex). Il vit aussi à Burton Hall (Shrewsbury, Shropshire). Il a fait ses études au Lancing College, Lancing (Sussex).

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Andrew Rambaut[]

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Andrew Rambaut.

Andrew Rambaut FRS FRSE est un biologiste évolutionniste britannique, depuis 2020 professeur d'évolution moléculaire à l'Université d'Edimbourg.

Science rapporte le 11 janvier 2020 que ce Rambaut est le premier à publier le génome du coronavirus COVID-19 après qu'il lui ait été envoyé par Edward C. Holmes. Holmes a dit qu'il a fallu 52 minutes entre la réception du code de son collègue chinois, le professeur Yong-Zhen Zhang et sa publication sur Virological.

Rambaut a été élu membre de la Royal Society (FRS) en 2022, après avoir été membre de la Royal Society of Edinburgh (FRSE) depuis 2014. Rambaut est membre du Groupe consultatif scientifique britannique pour les urgences (SAGE).

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Lien généalogique Stephen.

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Baythorne Park.

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LES RAMBAUT AUX USA[]

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RICHARD RAMBAUD (1733 - 1827)[]

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Portrait de Richard Rambaut (1733 - 1827). Le 2e étage de Café Hiram Haynes, où il se suicide[39].

Richard Rambaut (1733 - 1827) fuit la persécution des idées huguenotes en France. Négociant de Bordeaux, il passe à Saint-Domingue en 1775 pour y revendiquer ses biens, pour lesquels il reçoit 40.000 livres d'un docteur Oisnaud (d'après son testament fait en janvier 1826)[40]. Richard Rambaut (1733 - 1827) rencontre Elizabeth de La Roche, veuve du comte La Rochefoucauld (1775 - 1847)[41], chez Mme Garriques à Baltimore, ville où il vient acheter du blé. Richard Rambaut (1733 - 1827) veut assurer un train de vie à la comtesse Elizabeth de La Roche, veuve La Rochefoucauld (1775 - 1847) qui ne lui fasse pas trop regretter ses châteaux et ses domaines en France et à Saint-Domingue[42]. Richard Rambaut (1733 - 1827) est décédé le 12 janvier 1827 à Petersburg. Il se suicide au deuxième étage du Hiram Haines Coffee and Ale House, où Edgar Allan Poe et son épouse séjournent pendant leur lune de miel[43]. Richard Rambaut (1733 - 1827) et Elizabeth de La Roche, veuve du Comte de La Rochefoucauld (1775 - 1847), ont trois enfants, dont : Gilbert V. Rambaut père (1799 - 1874) marié à Jane Maria Hammond (1816 - 1876), qui suit.

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Richard Rambaut avant son arrivée aux USA[]

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Les Rambaut aux USA.

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Gravure représentant un des massacres de blancs à Saint-Domingue en 1791.

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Blason des La Rochefoucauld.

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Madame Élisabeth à La Conciergerie. Les prisons sous la terreur sont un lieu d'où on ressort mort ou très souvent agonisant.

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Vue de Baltimore depuis Chapel Hill5 , par Francis Guy, 1802-03 (Brooklyn Museum).

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Gravure montrant les esclaves révoltés massacrant les blancs à Saint-Domingue.

Richard Rambaut (1733 - 1827) fuit la persécution des idées huguenotes en France. Négociant de Bordeaux, il passe à Saint-Domingue en 1775 pour y revendiquer ses biens, pour lesquels il reçoit 40.000 livres d'un docteur Oisnaud (d'après son testament fait en janvier 1826)[44]. On a aussi Rambaud un Rambault/Rambaut Jean-Paul de la Gironde dont la plantation de café est séquestrée en 1794[45]. La famille Rambaut y possède des terres par concession royale. Richard Rambaut (1733 - 1827) a t'il une relation avec une belle fille de l'île de La Martinique connue sous le nom d'impératrice Joséphine ? Des historiens américains en parle sans preuves[46].

Richard Rambaut (1733 - 1827) s'embarque pour Saint-Domingue, avec Jehan de La Rochefoucauld et le duc de La Rochefoucauld, descendant et héritier du célèbre écrivain. Ce dernier est plus distinctement apparenté à la future Madame Rambaut que son cousin Jehan de La Rochefoucauld. Celle-ci, Elise de La Roche (1775 - 1847), née à Saint-Domingue, fille du comte Guillaume de La Roche, est fiancée de bonne heure à un cousin Eugène, fils aîné et héritier du marquis de Tour La Roche, elle est envoyée enfant au château de son oncle pour y être éduquée comme future épouse du jeune héritier. Elle est réputée pour être l'une des plus belles femmes de son époque. La révolution éclate en France et son oncle, le comte de La Roche, est guillotiné[47].

Elle retourne à Saint-Domingue. L'horrible révolte des noirs éclate à Saint-Domingue. Le comte Guillaume de La Roche est assassiné, et une fidèle vieille nourrice sauve le jeune duc et sa future épouse d'une mort horrible. Jean Michel Rambaud (1738-1792), cousin issu des branches des Alpes et de Provence de Richard Rambaut (1733 - 1827), capitaine et homme politique non-esclavagiste est massacré.

Elise de La Roche (1775 - 1847) s'échappe miraculeusement de Saint-Domingue. Le père de Jehan, un marquis, est guillotiné. C'est ce Français dont parle Abbott dans son histoire des aristocrates français. Il a la réputation d'être l'homme le plus poli de France. Il se dirige vers l'échafaud, son chapeau de dentelle sous le bras, une rose à la boutonnière, pour laquelle il a donné son dernier franc et s'incline devant son bourreau. La marquise meurt dans l'affreuse prison de la Conciergerie.

Jehan de La Rochefoucauld et elle sont seuls descendants restants de ces deux familles françaises. Un mariage est arrangé entre eux. Elise est sauvé par le dévouement d'une négresse fidèle, sa Mammy, comme on dit aux Antilles. Cette ancienne nounou transporte sa jeune maîtresse dans un chariot chargé de linge sale jusqu'au château familial du sud de la France, et de là elles s'enfuient en Angleterre.

Le jeune mari retourne à Saint-Domingue, dans l'espoir de sauver ses biens et ses bijoux précieux. Hélas ! le fatal édit de Toussaint-Louverture est publié :

Tous les blancs doivent quitter l'île, ou subir la mort.

Jehan de la Rochefoucauld est tué. Il renvoie, avant sa mort, à sa femme et à sa mère quelques objets de valeur, des miniatures, des meubles anciens, des bijoux, et un coffret contenant les titres de propriété, les anciens registres et lettres de famille, et les lettres patentes d'un roi de France au comte de La Roche, lui accordant le domaine à lui et à ses héritiers pour toujours, portant des dates plusieurs centaines d'années plus tôt.

La Mammy d'Elise et son mari Jaques trouvent un petit navire. Elise de La Rochefoucauld et sa mère sont recueillies en mer par un navire à destination de Baltimore, déjà rempli de réfugiés fuyant vers ce port loin de Saint-Domingue. Ces deux dames sont laissées seules à Baltimore avec leurs deux fidèles nègres, Lucinde et Jaques, qui contribuent à leur subsistance en travaillant, Jaques comme calfeutrant et Lucinde comme blanchisseuse et raccommodeuse de vieilles dentelles. Beaucoup de vieux aristocrates, qui aussi ont fui, les connaissant dans leurs jours de grandeur, leur restent fidèles et hospitaliers. Le marquis de Monmomier et Madame Menissier sont les plus proches d'entre eux. Les Quintard, les Carrière et les Balarand, noms familiers aujourd'hui à Baltimore, comptent parmi leurs meilleurs amis[48].

Richard Rambaut (1733 - 1827) fuit lui-aussi le massacre de la population blanche de Saint-Domingue. Il se réfugie à Petersburg, en Virginie, où il construit de grands moulins et est riche pendant de nombreuses années. Il donne de l'argent à la cause royaliste en France sans recevoir aucune faveur, jusqu'à ce qu'il soit sollicité pour plus d'argent. Cela le dégoûte et il met fin à son soutien - un acte qu'il va regretter par la suite[49].

De nombreux sudistes vont craindre une répétition du massacre d'Haïti de 1804 (appelé à l'époque les horreurs de Saint-Domingue), dans lequel d'anciens esclaves assassinent systématiquement la plupart de ce qui reste de la population blanche du pays - y compris des hommes, des femmes, des enfants et même de nombreux sympathisants de l'abolition, comme le frère d'un de mes ancêtres, Jean Michel Rambaud (1738-1792)[50][51].

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Le meunier et la comtesse[]

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Les Rambaut à Petersburg (inspiré du Corbeau d'Edgar Allan Poe's)[52].

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Texte sur son hôtel et ses entreprises.

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L'Édifice Baird-Drummond, 426, avenue Grove, Petersburg.

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Le meunier et la comtesse vivent dans cette maison à Petersburg[53].

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Le meunier et la comtesse vivent dans la Maison Baird-Rambaut-Lemoineà Petersburg.

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Rambaut's Hotel à Petersburg qui va devenir le Café Hiram Haynes, où Edgar Allan Poe et son épouse séjournent pendant leur lune de miel[54].

Richard Rambaut (1733 - 1827) rencontre Elizabeth de La Roche, veuve du comte de La Rochefoucauld (1775 - 1847)[55], chez Mme Garriques à Baltimore, ville où il vient acheter du blé. Il tombe amoureux d'elle et la convainc de l'accompagner chez lui en Virginie en tant qu'épouse. Petersburg, ville défendue par Lafayette, accueille de nombreux émigrés venant de France ou de Saint-Domingue. L'un des plus connue est Richard Rambaut (1733 - 1827)[56]. Un émigré en novembre 1802 écrit au Président Jefferson :

Si vous me faites l'honneur d'une réponse, je vous serais obligé si vous pouviez l'envoyer aux soins de M. Richard Rambaut, marchand à Pétersbourg[57].

Richard Rambaut (1733 - 1827) est d'abord un meunier, mais il place son argent dans toutes les activités qui rapportent. Il achète et vend de la farine, fabrique des médicaments, achète et vend des biens immobiliers, possède en partie un moulin sur l'Appomattox River et importe des marchandises d'Europe[58].

Drummond, qui possède un magasin au coin des rues Cross et Old, loue la propriété de grande valeur à Richard Bate en 1796 et la vend à Richard Rambaut (1733 - 1827), un homme d'affaires ayant de solides relations françaises et haïtiennes, en 1801. Bate, maire de Petersburg en 1791, et Rambaut, patron à Pétersbour, de la grande communauté d'émigrés français/haïtiens, sont tous deux impliqués dans la meunerie et le commerce du blé entre la Virginie, la France et Haïti et peuvent avoir été associés à cette époque. Richard Rambaut (1733 - 1827) perd brièvement la propriété en 1807, mais il la racheter avec un nouvel associé, Baltazard Maurice Daufossy. Daufossy et un autre nouvel associé, Henry Moreno, acquièrent l'immeuble de Rambaut en 1812, lorsque ce dernier loue la maison du lot 32 à George Pegram, avant son achat en 1817[59].

En 1806, George Dillworth et John Priest annoncent leur intention de faire du commerce, près de Rambaut. Gemon. & Co's Store, dans la Vieille Rue[60].

Le Café Hiram Haynes est en 1814 un hôtel et un restaurant de luxe en 1814, créé et exploité par un émigré français, Richard Rambaut et sa jeune épouse, la Comtesse de La Rochefoucauld, le Rambaut's Hotel[61]. En 1829, il est repris par le poète pétersbourgeois et rédacteur en chef de la Constellation américaine, Hiram Haines.

En 1825, Samuel Caldwell, fabricant de meubles à Petersburg s'installe en bas de la Bank Sreet, à quelques porte du coin de Sycamore, naguère occupé par la bourse de M. Rambaut[62].

Richard Rambaut (1733 - 1827) veut assurer un train de vie à la comtesse Elizabeth de La Roche, veuve La Rochefoucauld (1775 - 1847) qui ne lui fasse pas trop regretter ses châteaux et ses domaines en France et à Saint-Domingue[63]. Leur maison construite par Baird d'un étage et demi est typique des habitations de la fin du XVIIIe siècle dans la région. En 1817, cette maison est achetée aux héritiers de Pegram par le meunier marchand Richard Rambaut (1733 - 1827), qui a acheté le magasin/résidence au 426 Grove Avenue de John Baird en 1801. Le riche Rambaut ajoute la section de deux étages, avec son intérieur en plâtre ornemental élaboré, vers 1818, ainsi que plusieurs dépendances[64].

John Donnan, propriétaire en partie de Donnan and Johnston, une société de courtage de coton, achète en 1847 la Résidence Rambaut-construite vers 1810 sur la rue Perry 26-28 qui a 2 étages, un toit à faible pente, un porche à 3 baies, de style géorgien. Bien construite, pendant la guerre civile, son sous-sol sert d'abri anti-bombes.


Leur petite-fille, Mme Maria Morrison, décrit Elizabeth de La Roche, veuve de La Rochefoucauld (1775 - 1847) âgée :

... toujours vêtue de soie ou de satin noir, de fines pantoufles à talons hauts, ses délicates vieilles mains presque recouvertes de vieilles bagues, et entourées de volants de dentelle ancienne rare. Alors qu'elle s'assoit et fabrique des fleurs de tarleton (?), un travail de fantaisie qu'elle avait appris à faire en France, ou des bandes ajourées de fin fil de batiste, elle avait l'air de sortir d'un vieux tableau. Je me souviens du soin que mon père prenait toujours d'une vieille boîte ou coffre vert, portant les armes de La Rochefoucauld et de la Roche sur son écusson d'argent. Celui-ci contenait les reliques de nos gloires passées. Hélas, il a été mis en pièces pendant notre dernière guerre ! (Nord contre Sud). Il avait été placé dans le sous-sol de la résidence de mon père dans la rue Henry à Petersburg pour être gardé en lieu sûr pendant le siège, tandis que mon père se réfugiait en Caroline. Un obus frappa le mur inférieur et pénétra dans le sous-sol juste à l'endroit où la précieuse boîte fut détruite et tout ce qui se trouvait sur son passage. Voilà pour les distinctions terrestres[65].

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Décès de Richard Rambaut (1733 - 1827)[]

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Le Café Hiram Haynes, où Richard Rambaut (1733 - 1827) se suicide.

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Palais de justice de Petersburg.

Richard Rambaut (1733 - 1827) est décédé le 12 janvier 1827 à Petersburg. Il se suicide au deuxième étage du Hiram Haines Coffee and Ale House, où Edgar Allan Poe et son épouse séjournent pendant leur lune de miel[66].


Richard Rambaut (1733 - 1827) et Elizabeth de La Roche, veuve La Rochefoucauld (1775 - 1847), ont trois enfants :

Gilbert V. Rambaut père (1799 - 1874) marié à Jane Maria Hammond (1816 - 1876), qui suit ;
Eliza W Rambaut mariée à Jeffers, qui a une nombreuse famille ;
Rosetta Eleanor Rambaut (1800 - 1842) est née le 2 août 1800 à Petersburg, en Virginie. Vers 1817 épouse James Bowdoin (de Bowdoin) Kendall, fils de Bowdoin Kendall et Sarah Teackle, vers à Petersburg. Rosetta Eleanor Rambaut est décédée le 19 avril 1842 à Baltimore, à l'âge de 41 ans. Elle a cinq fils et un fille.


Richard Rambaut and the Countess Elise de la Rochefoucauld' : flight from the French Revolution, San Domingo Uprising, and Civil War bombardment at Petersburg, Va. : their descendents (Richard Rambaut et la comtesse Elise de la Rochefoucauld : fuite de la Révolution française, soulèvement de Saint-Domingue et bombardement de la guerre civile à Petersburg) (1973).

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Petersburg (Virginia).

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GILBERT VINCENT RAMBAUT PÈRE (1799 - 1874)[]

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Gilbert Vincent Rambaut est garde du corps du marquis de Lafayette pendant que ce dernier visite les États-Unis (1824/1825).

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Plantation de tabacs.

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Annonce pour du tabac de Gilbert Vincent Rambaut dans The Weekly Standard (Raleigh, N.C.) datant de 1847.

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Gilbert Vincent Rambaut.

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Daniel Cleveland Hill.

Le père du major Gilbert Vincent Rambaut JR, le capitaine Gilbert Vincent Rambaut (1799 - 1874), né le 30 octobre 1799 à Petersburg City (Virginie), est éduqué pour être révérend, mais disant qu'il connait trop bien l'Église, il devient marchand de tabac à Petersburg, en Virginie. Selon les historiens, le tabac de Virginie ne commence à être cultivée en Amérique qu'après la guerre de 1812 dans l'Ohio, la Pennsylvanie et le Maryland. Ce tabac de Virginie ne débarque sur le marché qu'en 1839. Tl est dans le commerce du tabac jusqu'après la guerre civile, quand il déménage à Memphis, Tennessee, où il s'associe et vit avec son fils Gilbert Vincent Rambaut JR.

Le 31 octobre 1824, La Fayette visite Petersburg : puis il revient à Richmond, d'où il part, le 3 novembre, pour Monticello. Il est reçu avec effusion par Thomas Jefferson, qui attend, depuis longtemps, la venue de son ami. Rambaut est garde du corps du marquis de Lafayette pendant que ce dernier visite les États-Unis (1824/1825).

Gilbert est le premier et le seul commandant des Petersburg Guards. Il est fait capitaine dans les Petersburg Greys. Il sert dans ce régiment pendant très longtemps. Bien qu'âgé de 62 ans, entre au service confédéré en tant que capitaine d'artillerie en 1861. La Virginia Petersburg Cockade Artillery Battery a comme capitaine Gilbert V. Rambaut père et est assigné en January-February 1862 à Jamestown Island (Carter's Command), Department of the Peninsula. Elle fait partie du 10e bataillon d'artillerie lourde de Virginie d'Allen. Compagnie indépendante de Rambaut, Artillerie lourde de Virginie. Ce Rambaut commande une batterie à Jamestown en 1863 à l'âge de 64 ans.

Après la mort de sa femme, Gilbert Vincent Rambaut père revient à Petersburg, où il meurt le 20 novembre 1874. Il est enterré au Cimetière de Blandford, Petersburg.

Gilbert Vincent Rambaut père (1799 - 1874) épouse Jane M. Hammond, de qui viennent :

Jane Hammond Rambaut, décédée jeune en 1854 ;

Gilbert Vincent Rambaut JR, qui suit ;

Robert ;

Marie Elizabeth Rambaut (1832 - 1904), mariée William Edwin Morrison (1831 - 1896), de Brunswick County, ne laisse aucun enfant

Rosetta Rambaut (1832 - 1904), mariée à Warrington, de Ruxton (Maryland), et a un enfant ;

Richard Rambaut m. (nom d'épouse inconnu),

Rosa Rambaut,

Maud Rambaut

Marie Rambaut;

Anna Hammond “Nannie” Rambeau (1848 - 1921) épouse Daniel Cleveland Hill (1842 - 1912) Confédéré de Caroline du Nord, 13e Régiment. Décédé au foyer des soldats confédérés à Richmond, comté d'Henrico, Virginie. Ils ont un enfant.

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Planteurs de tabac (Virginia).

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GILBERT VINCENT RAMBAUT JR (1837 - 1896)[]

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Major Gilbert V. Rambaut, chef d'état-major du Général Forrest.

Le major Gilbert Vincent Rambaut JR est aide de camp du lieutenant-général Général Nathan Bedford Forrest depuis le tout début jusqu'à la fin de la guerre civile, principalement en tant que chef commissaire des guerres. Il a surtout l'importante tâche de nourrir les troupes et les chevaux du Général Nathan Bedford Forrest, mais écrit des courriers ou commande brillamment des unités de sa cavalerie.

Le général Nathan Bedford Forrest est l'ami très fidèle d'un petit groupe d'officiers d'état-major dévoués qui sont restés avec lui depuis la formation même de son vieux régiment jusqu'à la fin de la guerre et même l'après-guerre. Cette loyauté et cette amitié sont réciproques chez ses officiers.

Voici une brève biographie d'un officier clé, le major Gilbert Vincent Rambaut JR de la cavalerie sudiste, et un exemple de la façon dont Forrest est apprécié et complimenté par ses officiers d'état-major.

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Petersburg, puis Memphis (1837 - 1861)[]

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Sketches of Prominent Tennesseans..., William S. Speer, Genealogical Publishing Com, 2010.

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Gilbert Vincent Rambaut JR. Vers 1860 carte publicitaire pour Worsham House Hotel, Memphis, Tennessee. Rambaut & Cox, Proprietors - corner Main and Adams Streets.

Né le 13 février 1837, à Petersburg, Gilbert Vincent Rambaut JR déménage à Memphis, en 1857 l'âge de 20 ans[67]. Avant cela il ne va pas à l'école, mais étudie avec d'excellents professeurs, puis va dans une école militaire jusqu'à l'âge de 17 ans[68].

À sa sortie de cette école militaire Gilbert Vincent Rambaut JR se lance dans le commerce du tabac avec son père. Cela le conduit à avoir une série d'entreprises commerciales avec une belle réussite et a un contrat avec Hopper & Co pour construire un chemin de fer à travers le comté d'Attala.

Rambaut & Cox dirige la maison Worsham vers 1859 ou 1860 (après l'avoir achetée au propriétaire d'origine John Worsham) jusqu'au début de la guerre civile en 1861, lorsque Rambaut quitte le partenariat commercial de Worsham House pour s'enrôler dans l'armée confédérée[69].

Gilbert Vincent Rambaut JR laisse M. Cox gérer le grand hôtel pendant la guerre civile. Le Général Nathan Bedford Forrest estime que son expérience hôtelière d'avant-guerre lui sera bien utile.

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Début de la Civil War (1861 - 1865)[]

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Billet de 10 $, signé par Robert J. Rhodes, 3e (Forrest's Old) Cavalry Regiment, connu sous le nom de McDonald Battalion après la bataille de Shiloh, les 6 et 7 avril 1862.

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Le général Forrest, Gilbert Vincent Rambaut JR (au centre) et un autre officier de son état-major à Lee County, Mississippi.

Le 9 juin 1861, le Tennessee organise un référendum qui décide que l'État doit se séparer de l'Union. Gilbert Vincent Rambaut JR a déjà voté deux fois contre la sécession. Néanmoins, Gilbert Vincent Rambaut JR s'enrôle au début de la Guerre de Sécession (du 12 avril 1861 au 9 avril 1865) comme simple soldat dans la compagnie H, commandée par le capitaine McDonald. C'est le futur vieux régiment du Général Nathan Bedford Forrest, de la cavalerie du Tennessee, état qui a son armée. Rambaut, comme Forrest, ne va pas rester longtemps soldat sans grade. Il a fait une école militaire jusqu'à l'âge de 17 ans[70] et est rapidement repéré comme étant un jeune homme intelligent avec de grandes capacités d'organisation, mais aussi un bon cavalier et un guerrier.

Forrest amène une compagnie du Kentucky, qui est rejointe par une deuxième compagnie à Memphis, et au début d'octobre, un bataillon de 650 personnes, composé de 8 compagnies, est formé. Le même mois, le bataillon est envoyé à Fort Donelson.

Gilbert Vincent Rambaut JR est attaché à l'état-major du Général Nathan Bedford Forrest à travers toutes leurs différentes promotions. Il jouit de la pleine confiance de ce général. Le major Rambaut rédige souvent les rapports de Forrest que le lieutenant-colonel - plus tard général - lui dicte. Cela comprend le rapport de Forrest sur l'action à Fort Donaldson (9 février 1862).

Là bas, les généraux sudistes Floyd, Pillow et Buckner décident de capituler. Forrest proteste, insistant sur la possibilité de quitter le fort et déclare qu'il n'est pas venu au fort pour se rendre. Sa cavalerie quitte le fort sans encombre, et Forrest écrira plus tard que les deux tiers de l'armée auraient bien pu sortir du fort, attaquer l'ennemi et le vaincre. Forrest fait sortir les 500 personnes de son détachement du fort, ainsi que d'autres militaires de différentes unités[71].

Rambaut est nommé major le 20 juillet 1862 et chef des subsistances, lors de la promotion de Forrest à Brigue. Il est donc major et l'équivalent d'un commissaire des guerres (puis intendant militaire dans l'armée française). Le major Gilbert Vincent Rambaut JR est pour les historiens un membre de la famille militaire de Forrest.

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Bataille de Shiloh (6/7/8 avril 1862)[]

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Forrest est une partie de ses cavaliers à la bataille de Shiloh.

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Cheatham bouscule les troupes nordistes.

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Gilbert Vincent Rambaut JR est blessé à la bataille de Shiloh, comme Forrest qui n'est encore que colonel.

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Le combat de Fallen Timbers : le colonel Nathan Bedford Forrest et le capitaine John Hunt Morgan à la bataille de Shiloh, le 8 avril 1862.

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Born to Battle: Grant and Forrest--Shiloh, Vicksburg, and Chattanooga.

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Hommage au Général Forrest à la bataille de Shiloh.

En mars, on apprend que l'armée de Buell va s'unir à l'armée de Grant, et les sudistes décident d'attaquer Grant avant que Buell ne s'approche. Les 4 et 5 avril, le régiment de Forrest déclenche une fusillade avec des nordistes, puis il reçoit l'ordre de défendre le flanc droit de l'armée.

Le 6 avril 1862, la bataille de Shiloh commence. Comme rien ne se passe dans la zone sous la responsabilité de Forrest, il conduit son régiment sur le champ de bataille principal et rejoint l'attaque de la division du général Cheetham, puis participe aux batailles avec la division fédérale de Prentiss.

Au fur et à mesure que la cavalerie de Forrest et Rambaut arrive, elle rencontre les hommes de Cheatham's division, qui viennent d'être repoussée. Le major Gilbert Vincent Rambaut JR écrit :

Nous sommes passés devant Cheatham à un endroit un point où il y avait juste devant un champ, puis un fourré. A gauche du terrain se trouvait une orée de bois - terrain avec un sous-bois considérable, et à la à droite un petit verger de pêchers, et plus loin en arrière un autre bosquet. À travers ce champ, deux batteries ou plus ont été plantées, et un au bord du verger de pêchers. Alors que nous arrivions en vue, les canons d'une de ces batteries nous étaient braqués. Pour le reste est monté jusqu'au général Cheatham et lui a demandé s'il le donnerait l'ordre de recharger la batterie, en disant, je ne peux pas permettre mes hommes restent ici sous le feu ; Je devrais soit déménager pour vers l'arrière ou vers l'arrière.

Cheatham répond :

Je ne peux pas vous en donner l'ordre ; si vous faites la charge, ce sera sous votre propre responsabilité.

Forrest répond :

Alors je vais le faire.

Il a tout de suite ordonné à son régiment d'avancer. En atteignant le champ, ils reçoivent un tir du la batterie. Par cette décharge trois hommes et quatre chevaux sont tués. Le clairon a sonné la charge, et la cavalerie descend sur eux à toute allure. Ils ont fait n'a pas eu le temps de tirer un deuxième coup, car les soldats se sont précipités sur les artilleurs, courant sur et à travers la batterie. Les fusiliers à la droite se sont échappés, car ils étaient protégés par un épais sous-bois par lequel les chevaux ne pouvaient pas passer. L'infanterie arrive et prend possession des canons, et les cavaliers tombent de nouveau derrière eux. Peu de temps après cet épisode, un ordre est venu à Forrest pour passer à cette partie du champ.


Le 8 avril, les forces de l'Union commandées par Sherman et Wood entament une poursuite des forces confédérées. La force de couverture de Breckinridge comprend environ 350 cavaliers commandés par le colonel Forrest. Ce groupe est un mélange des hommes de Forrest, de la cavalerie du Kentucky de John Hunt Morgan, des Rangers du Texas, et la 1er cavalerie du Mississippi (cavalerie d'Adams). Ils sont armés de revolvers et de fusils de chasse et ne peuvent donc tirer que lorsque l'ennemi se trouve à moins de 20 pas.

Sur la droite, un groupe dirigé par Forrest attaque les hommes de Sherman en sortant d'un bois, près d'un petit ruisseau, obligeant certains d'entre eux à courir pour sauver leur vie. Les pertes non officielles de l'Union sont de 15 tués, 25 blessés et 53 prisonniers. Parmi les quelques blessés confédérés se trouve Forrest, qui s'est échappé après avoir été abattu à bout portant. Sherman met fin à la poursuite de Breckinridge et continue vers le sud.

Rambaut est légèrement blessé à la main à la bataille de Shiloh.

Dans Forrest at Shiloh, le Major Gilbert Vincent Rambaut JR narre un incident amusant survenu la nuit précédant le premier journée la bataille. Vers minuit, le camp est réveillé par l'officier aux commandes de l'avant-poste avec l'ordre de récupérer leurs chevaux aussi vite que possible. Certains entendent parfaitement le martèlement régulier des pieds de l'infanterie ennemie se déplaçant le long des rives du ruisseau. Cependant et imaginez leur soulagement quand les Sudistes s'aperçoivent que ce n'est qu'un cheval d'artillerie échappé qui s'est éloigné de l'une des batteries de l'Union.

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Bataille de Murfreesboro (31 décembre 1862)[]

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Nathan Bedford Forrest the Distant Storm : The Murfreesboro Raid of July 13, 1862 Hardcover (January 1, 1997).

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Hommage à Nathan Bedford Forrest pour ses exploits à Murfreesboro par des descendants de sudistes.

Peu après Shiloh, le général Beauregard, à la demande des représentants de l'Alabama, invite Forrest à quitter son régiment et à mener les opérations de cavalerie près de Chattanooga. Mais, Forrest ne veut pas quitter son régiment, alors Beauregard promet de lui donner le grade de général de brigade et de lui rendre son régiment dès que l'occasion se présentera.

Il est autorisé à former une compagnie d'escorte d'environ 20 hommes parmi les meilleurs de son régiment, dont fait partie Gilbert Vincent Rambaut JR.

Le 11 juin, Forrest quitte le Mississippi et arrive à Chattanooga le 19 juin. Il y dirige une brigade de plusieurs régiments, entre 1.400 à 1.600 personnes

Gilbert Vincent Rambaut JR et un autre officier d'état-major de Forrest, le major John P. Strange, ainsi que le Nathan Bedford Forrest sont eux-aussi promus à des grades supérieurs pour bravoure à la bataille de Murfreesboro le 31 décembre 1862.

Strange est fait colonel et Rambaut lieutenant-colonel. Néanmoins ces deux promotions les auraient envoyés aux commandes d'un régiment sur le terrain. Comme le Général Nathan Bedford Forrest leur fait remarquer que leur conseils et leur talents lui manqueraient beaucoup, Rambaut et Strange refusent leurs promotions afin de rester dans l'état-major du général Forrest, Strange en tant qu'adjudant général adjoint et Rambaut en tant que commissaire des guerres. Ils y serviront tout au long de la guerre.


Dans Forrest at Murfreesboro, nous trouvons cet extrait :

Lors de la retraite de l'armée du général Toutant de Beauregard de Corinth, Forrest a continué sur ses arrières et ses flancs avec les escarmouches et lutte. Il est arrivé à Tupelo à la fin du mois de mai et a campé juste de l'autre côté du lagon, de ce qui était alors le célèbre chemin de fer David Crockett.

Cela se passe après le 4 octobre 1862.

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Raids dans l'ouest du Tennessee (déc. 1862 - jan 1863)[]

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Le général Nathan Bedford Forrest se place pour le tester sous les ordres de Gilbert Vincent Rambaut JR à Kenton Station.

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Gilbert Vincent Rambaut JR capture 250 nordistes à Kenton Station.

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Volontaire noir de l'armée confédérée à Murfreesboro.

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CL Stevenson.

Après le raid sur Murfreesboro, Forrest harcèle dérangé l'ennemi avec de petits raids pendant encore deux mois : le 18 juillet, il attaque la périphérie de Nashville, et plus tard attaque Manchester. En août, 7.000 soldats fédéraux tentent en vain de le faire prisonnier. Le 21 juillet, Forrest est promu général de brigade.

Pendant ce temps, à la fin du mois, Bragg lance une invasion du Kentucky, parallèlement à l'invasion du Maryland par le général Lee (Campagne du Maryland). Le 3 septembre, l'escouade réduite de Forrest rejoint l'armée de Bragg et Forrest rencontre ce général à Sparte.

Le premier combat des confédérés noirs entrant au combat avec Forrest se produit lors de ce premier raid à l'ouest du Tennessee. Gilbert Vincent Rambaut JR les commande.

Le matin du 21 décembre, Forrest reprend son avance vers Union City tandis que Dibrell reste en arrière-garde. À sept milles au nord, près de Dyer, dans le Tennessee, Forrest capture une garnison de 30 hommes et son ravitaillement.

Tandis que Forrest est avec le reste de ses troupes, détruisant le chemin de fer, Le major Gilbert Vincent Rambaut JR, chef de l'économat (commissaire des guerres), est envoyé le long d'une route de campagne que l'on croie bien éloignée de tout Yankee. Les seuls hommes blancs avec le major Rambaut sont une poignée de soldats dont les montures sont devenues boiteuses, de nombreux hommes débarqués et de la batterie de Morton de quatre canons et 45 conducteurs de chariots noirs. Lorsque le chemin de campagne atteint le chemin de fer à Kenton Station le groupe est très surpris de voir une palissade avec les étoiles et rayures volant toujours au-dessus. Rambaut ordonne aux conducteurs de chariots de mettre pied à terre et il envoie les quelques troupiers avec des chevaux boiteux entourer la palissade, tout en restant à distance des tirs d'armes légères, pour empêcher l'évasion des nordistes dans les Obion Bottoms. En ouvrant le feu, cette force de harcèlement cloue la garnison le long de la palissade s[72].

Pendant ce temps un charretier noir dételle une mule, la monte, et s'en va au trot pour trouver Forrest et ses troupes. Les autres conducteurs de chariots tirent sur la palissade des ennemis avec des fusils.

Gilbert Vincent Rambaut JR et sa poignée de combattants avancent et commencent à repousser les tirailleurs fédéraux... lorsque le général Forrest arrive au galop et lui demande où il en est. Après que Rambaut ait énoncé son plan, le Général Nathan Bedford Forrest lui a dit de l'exécuter, et au lieu de prendre lui-même le commandement, Forrest déclare qu'il servira dans l'état-major du major Rambaut avec un autre de ses officiers d'état-major, le major CS Shay, servant d'adjudant temporaire de Rambaut.

Une salve d'artillerie est tirée par les quatre canons de Morton et le drapeau nordiste descend d'au-dessus de la palissade. Le major Rambaut est autorisé par son général à accepter la reddition. C'est un moment de fierté pour ce commissaire qui commandant 45 noirs conducteurs de chariots le 21 décembre 1862, fait se rendre 230 nordistes[73][74].

Cette nuit-là, le colonel Starnes reçoit l'ordre de détruire tous les rails le long du tronçon de 15 milles des Obion Bottoms. Forrest écrit :

Mon chef d'état-major, le major CL Stevenson, et le major GW Rambaut, commissaire des subsistances, ont été très utiles et utiles pour rassembler et prendre soin des biens capturés appartenant à leurs départements respectifs.

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Shelbyville (24 June 1863)[]

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Wheeler saute dans la rivière Duck et rejoint Gilbert Vincent Rambaut JR.

À un moment donné, Wheeler, vêtu de son uniforme complet, devient une cible, mais il survit lorsque certains de ses hommes se précipitent devant lui pour former un bouclier humain. Coupés du pont du Skull Camp, ils doivent traverser la rivière Duck en crue. Wheeler avec soixante hommes charge la cavalerie de l'Union. Selon le soldat John A. Wyeth du 4th Alabama Cavalry, Wheeler charge avec son épée et son chapeau à la main. Les rebelles percent les lignes ennemies et sont poursuivis. Martin est sauvé lorsque le sergent Phil Duncan du 8 cavalerie confédérée chasse un cavalier de l'Union. Wheeler plonge dans la rivière d'une hauteur de quinze pieds. Martin monte son cheval moins violemment. Sur les soixante hommes que Wheeler a entrainé menés dans sa fuite, seuls treize survivent.

Le 27 juin 1863, Forrest rejoint Polk, mais bien qu'il ait entendu le tir, il ne peut participer au combat car la cavalerie de Stanley a repoussé les hommes de Wheeler très rapidement. Alors que l'après-midi avance, Wheeler comprend que Forrest ne viendra pas et se retire sur le pont de Skull Camp. Juste au moment où les confédérés sont sur le point de brûler le pont, Gilbert Vincent Rambaut JR arrive au galop et lui dit que Forrest est en vue de Shelbyville et veut traverser ce pont.

Dans de nombreux récits d'après-guerre, il est affirmé que Wheeler, après avoir traversé la rivière Duck, est informé par le major Gilbert Vincent Rambaut JR de l'état-major du Général Nathan Bedford Forrest que Forrest approche avec son état-major. Forrest veut savoir s'il peut traverser la Duck en utilisant le pont du Skull Camp, qui vient alors de tomber aux mains de l'Union.

Wheeler décide alors d'attaquer à nouveau avec 400 volontaires.

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Prison d'Alton (1863)[]

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La prison d'Alton où est détenu Gilbert Vincent Rambaut JR.

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Lettre de l'état-major du Général Forrest où Gilbert Vincent Rambaut JR est mentionné (1964).

Pendant la retraite de Douvres, le colonel Charles M. Carroll et le major Gilbert Vincent Rambaut JR, de l'état-major du général Forrest, marchent avec un petit détachement de troupes devant leur armée, mais se perdent dans les lignes ennemies. Les majors Rambaut et Caroll sont capturés le 8 février 1863 au retour du deuxième combat à Fort Donaldson, près de Columbia, dans le Tennessee, en février 1863.

Le Major Gilbert Vincent Rambaut JR est envoyé rejoindre le Major JP Strange dans la prison d'Alton, Illinois, et est échangé avec lui, quatre ou cinq mois plus tard. En effet, après un bref séjour au Camp Chase, puis à Fort Delaware, tous deux sont échangés après environ trois mois, à temps pour rejoindre le Général Nathan Bedford Forrest dans sa poursuite du raid de Streight (19 avril - 3 mai 1863)

Gilbert Vincent Rambaut JR reprend sa progression, enfonçant les tirailleurs ennemis, puis fait intervenir son artillerie. A la seconde décharge des canons, les fédéraux se rendent. La capture réelle des forces de Streight est réalisée par une ruse astucieuse, Forrest le convainc qu'il est opposé à une force bien supérieure en nombre.

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Fin de la guerre (1864)[]

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Le Général Snowden et son état-major, dont Gilbert Vincent Rambaut JR debout (en haut) à droite.

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Lettre de l'état-major du Général Forrest où Gilbert Vincent Rambaut JR est demandé.

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Major Gilbert V. Rambaut et le Général Nathan Bedford Forrest.

Gilbert Vincent Rambaut JR est de nouveau blessé lors de la marche de Pontotoc (Mississippi) avant la bataille d'Harrisburg-Tupelo (14 au 15 juillet 1864).

En 1864, l'état-major de Forrest et ses officiers se comportent toujours avec un grand courage et une efficacité remarquable, et tous ses plans sont habilement préparés par son état-major immédiat, à savoir le major J. P. Strange, son adjudant général, le capitaine Charles W. Anderson, A. D. C, et le major Gilbert Vincent Rambaut JR[75].

Rambaut est blessé au genou lors d'une escarmouche à Dillard's Plantation, près de Harrisburg, le 12 juillet 1864, mais ne quitte pas la bataille. Pendant la campagne dans le "district ouest", il participe à 17 combats en 13 jours.

Il reste le bras droit du général Nathan Bedford Forrest jusqu'à la fin de la guerre, son commissaire en chef des guerres, réussissant à ravitailler les sudistes et à leur fournir des chevaux, des armes et des munitions.

Général Nathan Bedford Forrest fait de grands compliments à son officier d'état-major loyal et précieux, qui ravitaille son armée, trace des plans de bataille et commande avec bravoure les unités qu'il lui confie.

Strange envoie ce courrier de Gainesville, Alabama, 13 avril 1865 :

Le lieutenant-général ordonne que vous n'envoyiez pas le chariot à cet endroit comme ordonné hier, mais que vous les envoyiez à Finch's Ferry. Il enverra les provisions cet après-midi sur le vapeur Lilly à Finch's Ferry, où elles pourront être délivrées et évitera la peine d'envoyer les wagons à cet endroit. Le vapeur arrivera demain soir à Finch's Ferry. Il ne veut que ses propres wagons de quartier général avec les majors Mason et Rambaut pour venir ici. Il enverra tous les équipements dont il dispose et vingt cartouches d'armes légères aux hommes et cinquante cartouches d'artillerie à chaque pièce, et vous prendrez des dispositions pour transporter cette quantité[76].

Forrest veut juste que ses propres wagons de quartier général avec les majors Mason et Rambaut le rejoignent.


Gilbert Vincent Rambaut JR se rend aux nordistes à Gainesville, le 13 mai 1865, après Lee (9 avril), Taylor (4 mai) et même Forrest.


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Après la guerre (1865)[]

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Appel du Memphis Daily, 22 juillet 1877, Frank P. Cahill, sénateur de l'État. Lettre de Gilbert V. Rambaut au général Nathan Bedford Forrest.

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Hommage au Général Forrest.

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Le major Gilbert Vincent Rambaut JR.

Après la guerre, le major Gilbert Vincent Rambaut JR retourne à Memphis, se lançant finalement dans le négoce d'épicerie et le commerce du coton avec son beau-père. Il fonde ensuite la société (ironiquement nommée) Union Stockyards and Fertilizer Company, est membre et président du conseil scolaire de Memphis, administrateur de la compagnie d'assurance Planters de Memphis et forme la Mechanics Building and Loan Association en 1877. Il siège à de nombreux conseils culturels et éducatifs, dont la Société Mozart, où il revigore son Conservatoire de musique, ce qui en fait l'un des joyaux culturels du sud. Le major Rambaut est décédé en 1896 et sa femme lui survit jusqu'en 1923.

En 1883, la législature a adopté une loi abrogeant la loi de 1869, ou la modifiant au point d'équivaloir à une abrogation, et créé un nouveau conseil d'éducation, composé de cinq commissaires, ayant les pouvoirs possédés par l'ancien conseil, mais avec des modifications. Les officiers de l'école doivent recevoir des salaires - le président 500 $ par an et chacun des autres membres du conseil 200 $ par an. Le premier conseil de ces commissaires d'école, qui sot Gilbert Vincent Rambaut JR , R. D. Jordan, P. M. Winters, Henry J. Lynn et Alfred Froman, ont été nommés par le gouverneur et ont occupé leurs fonctions jusqu'à ce que leurs successeurs soient élus en 1884 par le peuple, trois d'entre eux pour mandats de deux ans et deux pour des mandats de quatre ans

Le major G. V. Rambaut est président du conseil, en 1893. L'autre membre étant le capitaine A. B. Hill, le secrétaire.

Le major Rambaut est un homme très occupé et actif, et donc ne commencé à écrire ses souvenirs du Général Nathan Bedford Forrest qu'au printemps de 1895.

Gilbert Vincent Rambaut JR, de Memphis Tennessee, au moment de sa mort (février 1886) prépare une série d'articles sur Sketchs of the Forrest's Campaign (les campagnes du général Bedford N. Forrest). Il le fait à la demande urgente de la Confederate Historical Society, parce que il n'y a personne d'autre ayant les informations nécessaires. Il est le seul survivant de l'entourage du Général, sauf le Dr JB Cowan, qui, en tant qu'officier d'état-major, est avec Forrest pendant toutes ses campagnes. Il est particulièrement apte au travail qu'il a commencé, et personne d'autre ne peut le terminer pour lui comme il l'aurait fait. Il est l'un des premiers membres de Confederate Historical Society

Peu de temps après avoir commencé a rédaction de ses souvenirs, il tombe soudainement malade et meurt en quelques jours. C'est une perte irréparable pour sa famille, et pour ses anciens camarades et de nombreux amis. Gilbert Vincent Rambaut JR est décédé le 29 février 1896 (âgé de 59). Il est enterré à Memphis, Shelby County, au Cemetery.


Source : Sketches of Prominent Tennesseans : contenant les biographies et les dossiers de nombreuses familles qui ont acquis une notoriété dans le Tennessee. William S. Speer ; Société d'édition généalogique, Nashville, 1888. Dernière édition par Mike Ventura ; 11/01/2012.

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Mariage et descendance (1860)[]

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Mariage (1860)[]

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Tombes des Rambauts à Memphis, Shelby County.

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Plaque funéraire de Edmond Minetry Apperson (1814 Richmond - 1890 Memphis), à Memphis, Shelby County.

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Edmond Minetry Apperson est un président de la Memphis City Fire Insurance Company.

Gilbert Vincent Rambaut JR est marié à Susan (Sue) Apperson de Memphis en 1860. Les Appersons ont de grandes plantations et des intérêts dans les banques de la région. Six enfants naissent, le premier en mars 1861, au début de la guerre et le second en août 1865, juste après la fin de la guerre. Les quatre autres suivent par intervalles jusqu'en 1873.

Susan A. "Sue" Apperson a comme père Edmond Minetry Apperson (1814 Richmond - 1890 Memphis) enterré au Cimetière d'Elmwood à Memphis.

Edmond Minetry Apperson (1814 Richmond - 1890 Memphis), membre important de la société EM Apperson & Co., est venu pour la première fois à Memphis en 1838 et s'y installe en 1840, sélectionnant cet endroit parmi de nombreux qu'il a visités dans le Sud. En 1841, il forme la société Allen & Apperson, qui existe jusqu'en 1847, date à laquelle il achète la participation d'Allen et forme la société actuelle, bien que ses associés souvent changent. Ses partenaires sont les suivants : CD Laach, David Adams, WA Jones, GB Rambeau et JD Crigley, ce dernier étant le partenaire actuel. Edmond Minetry Apperson (1814 Richmond - 1890 Memphis) est originaire de Virginie et est né près de Richmond le 13 juillet 1814. À l'âge de dix ans, il est resté orphelin et est allé vivre avec un parent en Caroline du Nord. Pendant son séjour à Memphis , il aide à construire le premier pont sur la rivière Roanoke et à construire le chemin de fer Wilmington & Welston, et la troisième route construite aux États-Unis. Ses parents sont John et Susan (Morecock) Apperson, natifs de Virginie et agriculteurs de profession. Le père est mort en 1825 et la mère en 1827 ; le premier étant d'origine écossaise et la seconde anglaise. En 1831, ce futur beau-père épouse Mlle Susan B. Morecock, qui donne neuf enfants à son mari, dont trois seulement survivent. Edmond Minetry Apperson (1814 Richmond - 1890 Memphis) est un ancien président de la Banque nationale allemande et de la Memphis City Fire Insurance Company. Avant que la concurrence dans le commerce ne devienne si forte, il vend annuellement jusqu'à 1.500.000 $ de marchandises et traite annuellement jusqu'à 43.000 balles de coton. Son CA n'est plus à la fin de sa vie que d'environ 200.000 $. Avant la guerre, il possède jusqu'à 300 esclaves. Apperson est franc-maçon.

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Descendance (1860)[]

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Monument funéraire des Appersons à Memphis, Shelby County.

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Tombe de Marguerite Elise Rambaut, épouse Hill.

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A genealogy of the Philbrick and Philbrook families, descended from the emigrant, Thomas Philbrick, 1583-1667.

Aaprambaud203

Tombe de Gilbert Vincent Rambaut III.

Gilbert Vincent Rambaut JR et Susan A. "Sue" Apperson ont sept enfants :

Lorsque Susan Harriet Rambaut Williamson est née le 10 février 1861, dans le Tennessee, aux États-Unis, son père, Gilbert Vincent Rambaut JR, a 23 ans et sa mère, Susan A. "Sue" Apperson, a 21 ans. Elle a au moins 1 fils et 1 fille avec James Monroe Williamson. Elle vit à New Haven, Connecticut, en 1930. Elle est décédée le 2 août 1944, à New Haven, Connecticut, à l'âge de 83 ans, et enterrée à Beaverdale Memorial Park, Hamden, New Haven, Connecticut.
Lorsque Marguerite Elise Rambaut est née le 6 août 1865, à Memphis, Shelby, Tennessee, son père, Gilbert Vincent Rambaut JR, a 28 ans et sa mère, Susan A. "Sue" Apperson, a 26 ans. Elle épouse William Vilas Hill le 13 décembre 1887, à Shelby, Tennessee. Ils sont les parents d'au moins 1 fils et 1 fille. Elle est décédée le 25 décembre 1950, en Floride, à l'âge de 85 ans, et inhumée au cimetière de Pompano Beach South Lawn, Pompano Beach, Broward, Floride.
Lorsque Susan Harriet Rambaut Williamson est née le 10 février 1861, dans le Tennessee, son père, Gilbert Vincent Rambaut JR, a 23 ans et sa mère, Susan A. "Sue" Apperson, a 21 ans. Elle a au moins 1 fils et 1 fille avec James Monroe Williamson. Elle vit à New Haven, New Haven, Connecticut en 1930. Elle est décédée le 2 août 1944, à New Haven, Connecticut, à l'âge de 83 ans, et enterrée à Beaverdale Memorial Park, Hamden, New Haven, Connecticut.
Quand Edna Rambant est née en 1868, dans le Tennessee, son père, Gilbert Vincent Rambaut JR, avait 31 ans et sa mère, Susan A. "Sue" Apperson, avait 29 ans. Elle épouse le Dr Thomas O. Hunter le 30 décembre 1889, à Shelby, Tennessee. Ils sont les parents d'au moins 1 fils et 1 fille. Elle vità Memphis, Shelby, Tennessee, en 1880 et Beat 1, Panola, Mississippi, en 1900. Elle est décédée en 1958, à l'âge de 90 ans et enterrée à Memphis, Shelby, Tennessee.
Lorsque Vinnie Belle Rambaut est née en 1871, en Virginie, son père, Gilbert Vincent Rambaut JR, a 34 ans et sa mère, Susan A. "Sue" Apperson, a 32 ans. Elle épouse Alvah Alva Philbrick le 24 décembre 1902. Ils sont les parents d'au moins 1 fille. Elle vit à Saint Francisville, West Feliciana, Louisiane en 1935 et à La Nouvelle-Orléans, Orléans, Louisiane, en 1940. Elle est décédée le 5 juin 1956, à East Baton Rouge, Louisiane, à l'âge de 85 ans.
Lorsque Maybelle Rambaut est née le 9 mai 1871 à Memphis, Shelby, Tennessee, son père, Gilbert Vincent Rambaut JR, at 34 ans et sa mère, Susan A. "Sue" Apperson, a 32 ans. Elle épouse Wrennie Williams le décédé le 8 janvier 1902 à Panola, Mississippi. Ils sont les parents d'au moins 1 fils et 2 filles. Elle vit à Beat 1, Panola, Mississippi, en 1900 et Biloxi, Harrison, Mississippi, pendant environ 20 ans. Elle est décédée en 1961, à l'âge de 90 ans, et enterrée à Biloxi, Harrison, Mississippi.
et Gilbert Vincent III Rambaut, qui meurt le 3 septembre 1889.


Le Major Gilbert Vincent Rambaut JR meurt le 29 février 1896, et avec lui se termine la branche de Richard Rambaut aux USA.


¤ A Rebel Born (2019)

¤ Confederate Song - I Wish I Was In Dixie Land (with lyrics)

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Le Général Forrest et son état-major.

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THOMAS RAMBAUT ET SON ÉPOUSE[]

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Thomas Rambaut[]

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Le Dr Thomas Rambaut est un huguenot qui vient de France et d'Irlande.

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Thomas Rambaut est Président du William Jewell College (1868 - 1873).

'Thomas Kellett Rambaut est né le 25 août 1819 à Dublin[77] et originaire de l'île d'Émeraude. Il est mort à Hamilton le 15 octobre 1890, et est enterré près de Colgate, au Woodlawn Cemetery, Hamilton, Madison County, New York.

Son père, Peter Rambaut, veut qu'il entre dans l'armée britannique et il est préparé pour entrer à l'Académie royale militaire[78]. En 1829, il est à l'école huguenote de Portarlington, dont le révérend Henry Lyon est alors directeur. Il la quitte en 1836 et entre au Trinity College de Dublin, et y étudie jusqu'en 1841.

Après avoir lu les lettres du prince Achille Murat à son père, il caresse depuis son enfance le rêve de s'établir dans le Nouveau Monde. Il agit très tôt pour concrétiser cette idée et navigue de Liverpool pour Savannah en 1841, accompagné de sa jeune épouse, Eliza Ann Wright, fille de Richard, par sa femme, Frances Kelly. Ils se sont mariés le 20 octobre 1839, à St. Peter's, Liverpool, Lancashire.

À Savannah, il étudie le droit avec l'hon. Robert L. Charlton. Il devient directeur de la Beach Island Academy, en Caroline du Sud. Il es ordonné le 9 juin 1843 et détient les diplômes de D.D. et LL.D. Il y a un portrait de lui au William Jewell College, à Liberty, Kansas City, Missouri.

Thomas Rambaut en 1888 épouse Mary Lucinda Bonney (1816 - 1900), de Hamilton, N.Y. C'est une éducatrice américaine du XIXe siècle et une défenseur des droits des Amérindiens.

Norman Fox écrit sa vie, qui est publié par Fords, Howard et Hulbert, New York, 1892[79]

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Sa jeunesse[]

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Ses parents[]

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Un membre de la famille Kellett, l'amiral et explorateur Henry Kellett (1806 - 1875) né au château de Clonacody.

Pierre Louis (Peter) Rambaut, le fils aîné de Jean Rambaut (1743 - 1810), fait ses études au Trinity College de Dublin. Il épouse, suite à un attachement amoureux né de sa passion dans le domaine de la chasse, dès son plus jeune âge, Jane Kellett, fille unique de Lawrence Kellett (1766 - 1840) et Mary Wright. Les Kellett sont une vieille famille de la noblesse terrienne du comté de Tipperary. C'est un Gentleman qui est décrit dans un acte de cession, daté du 20 novembre 1816, de Golden Bridge, comté de Dublin.

Bellair/Ballair est situé entre Moynalty et Carlanstown. Les cartes des années 1830 montrent un pigeonnier à l'ouest du bâtiment principal. Il semblerait que la maison actuelle soit érigée pour remplacer une habitation plus ancienne entre 1836 et 1854. Vers 1760, Edward Kellett vit à Bellair. Bellair House appartient un temps à la famille Walker de Zephyr Lodge, Williamstown. En 1854, Alexander Walker loue Bellair/Ballair House et 217 acres de terrain. Alexander Walker de Bellair possède 119 acres de terre dans le comté de Meath en 1876. Son fils également Alexander et sa fille Annie vivent à Glebe House, Kilbeg. En 1901, Charles Walker et sa sœur, Eliza, vivent à Bellair/Ballair. En 1911, Robert Kellet, Steward, vit à Bellair/Ballair House, ex-propriété de C.E. Walker. La maison compte huit pièces, cinq fenêtres à l'avant et dix-neuf dépendances.

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1819 - 1840[]

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Le Dr Thomas Rambaut est originaire en partie de l'île d'Émeraude.

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Preacher and Teacher: A Sketch of the Life of Thomas Rambaut ..., Norman Fox · Edité par Fords, Howard and Hulbert, New York, 1892.

Son père veut qu'il entre dans l'armée britannique et Thomas Rambaut est préparé pour entrer à l'Académie royale militaire.

En 1829, il fréquente l'école huguenote de Portarlington, dont le révérend Henry Lyon est alors directeur. Il la quitte en 1836 et entre au Trinity College de Dublin, où la plupart des membres de sa famille vont faire leurs études et qu'il quitte en 1841.

Après avoir lu les lettres du prince Achille Murat à son père, Thomas Rambaut caresse depuis son enfance le rêve de s'établir dans le Nouveau Monde. Il le réalise très tôt idée et navigue de Liverpool pour Savannah en 1841, accompagné de sa jeune épouse (x 24 octobre 1840), Eliza Ann Wright (1821 - 1877), fille de Richard Wright, et Frances Kelly. À Savannah. Il étudie le droit avec l'hon. Robert L. Charlton. Il devient directeur de la Beach Island Academy, en Caroline du Sud. Il est ordonné le 9 juin 1843 et détient les diplômes de D.D. et LL.D. Il y a un portrait de lui au 'William Jewell' College, à Liberty, Kansas City, Missouri, U.S.A.

Norman Fox a écrit sa vie, qui est publié par Fords, Howard et Hulbert, New York, 1892. L'écrivain a entendu le Dr Thomas Rambaut dire un jour qu'il est Français, mais, comme l'a dit un jour un Irlandais, il n'est pas né dans son pays natal. De pur sang français, il est né à Dublin d'ancêtres huguenots. Ils sont de ceux qui ne se soumettent pas aux mandats du Pontife Romain. Le Dr Norman Fox, dans sa vie du Dr Rambaut mentionne des faits intéressants concernant l'ascendance du sujet de cette esquisse.

Avant que le jeune Rambaut n'ait 9 ans, il a reçu une formation approfondie en latin, en français et en mathématiques à l'Académie royale militaire de Woolwich, mais ses parents sont décédés et d'autres dispositions ont pu être prises. Ses tuteurs décident qu'au lieu d'être éduqué pour l'armée, il devra être formé pour le ministère dans l'Église épiscopale, qui est alors l'Église établie en Irlande. Mais, comme nous l'apprendrons bientôt, ce n'est pas là qu'il va être pasteur.

Après une préparation approfondie, Thomas Rambaut entre à l'Université de Dublin en 1837. Il y resta trois ans et demi, lorsque ses amis lui demandèrent de s'inscrire au cours de théologie. Ce qu'il refuse de faire, et comme ce refus déplait à ses tuteurs et ses proches, il décide de se fier à ses propres ressources et de faire son propre chemin dans le monde.

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Mariages et descendance (1839)[]

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Mariage et descendance avec Elizabeth Wright[]

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Thomas Daniel Rambaut éminent avocat de New York.

A cette époque de sa vie, il se marie le 20 octobre 1839 à St Peter, Liverpool, Lancaster. Sa femme est la fille d'un gentilhomme, éminent notaire de Dublin.

Pendant trente-sept ans de vie conjugale, elle a partagé sa fortune, et dans la mémoire de ses enfants, ainsi que de tous ceux qui l'ont connue, le nom d'Elizabeth Wright Rambaut est béni.

Sa première femme décède en 1878, alors que Thomas Rambaut est pasteur de l'église Newark Baptist Church à Newark. Il a des descendants uniquement de sa première femme :

Robert, décédé à l'âge de 4 ans (inhumé à Barnwell, Caroline du Sud) ;
Charlotte F. Rambaut est née vers 1844 en Caroline du Sud et décédé à l'âge de 12 ans (inhumée à Hamilton) ;
Richard R. Rambaut, né en 1847, en Caroline du Sud. Il épouse Elizabeth (Naney) Chambers le 30 mars 1891 en Géorgie, 3e fille de John Easter Chambers, et Eliza Martin, qui réside à Gordon, Géorgie. Il est mort le 6 mai 1913. C'est un planteur de coton. Quand il est enfant, il sert dans les Patillo Home Guards, protégeant les femmes et les enfants sans défense laissés dans le sillage de l'armée de Sherman lors de la marche à travers la Géorgie vers la mer. Richard R. Rambaut est décédé en 1913 dans le comté de Gordon, en Géorgie.
Eliza Anna (1849 - 1927), mariée le 4 octobre 1871, à Liberty, Clay County, Missouri, à Edward Terry Toomer, fils aîné du major Benjamin Toomer, et de Lucinda Huddleston. Ils ont des problèmes et ont vécu en 1913 à Mobile, Alabama. Eliza Ann Rambaut est décédée en octobre 1927. Eliza a été enterrée au cimetière Magnolia, Mobile, comté de Mobile, Alabama. Lors du recensement du 5 mai 1910, Eliza Ann Rambaut s'appelle Anna Rambaut.
Thomas Daniel Rambaut, initialement nommé Thomas Romney Robinson, né le 17 novembre 1857, éminent avocat de New York. Il épouse sa cousine, le 10 septembre 1892, Frances/Fanny Rambaut, fille de John Rambaut, et Matilda McEntire. John Rambaut est membre des London-Irish Volunteers, 28th Middlesex. Il avait une très belle voix et chante devant le roi George IV. Il compose, entre autres musiques, une valse Bel-air, il écrit aussi Original Sacred Melodies (publié en 1864, dont un exemplaire se trouve à la British Museum Library. Frances/Fanny Rambaut est décédée sans enfant le 2 avril 1909 des suites de blessures subies lors d'un incendie de forêt, alors qu'elle dirige d'autres personnes pour le combattre dans les Breakness Mountains, près de Paterson, aux États-Unis. Il possède une ferme à Wortendyke, New Jersey, et a un bureau au 120 Broadway, New York. Il rend visite à son cousin, le major Major Bertrand R-R. RAMBAUT, descendant des Rambaud de Guyenne (31 décembre 1874 - 20 avril 1953), en Angleterre en 1911, et se remarie, le 27 août 1914, à New York, comté de New York, avec Margaret Batchelder</ref>Proceedings of the Huguenot Society of London, by Huguenot Society of London. 1886.</ref>.

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Savannah, en Géorgie[]

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Ancienne église baptiste de Savannah, en Géorgie.

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L'église baptiste d'Augusta, en Géorgie.

La première maison du Dr Thomas Rambaut en Amérique est à Savannah, en Géorgie. Il commence immédiatement l'étude du droit, mais :

les nécessités de la cause, ainsi que ses propres goûts savants, le conduisirent également à s'engager dans l'enseignement, et il fit entrer plusieurs jeunes hommes au collège.

Il est bientôt choisi comme Principle of Beach Island Academy en Caroline du Sud, près d'Augusta, en Géorgie. Peu de temps après, il écoute la prédication du révérend Richard Fuller, alors pasteur à Beaufort, en Caroline du Sud, qui aboutit à sa conversion. Il est pendant avant cela un homme d'une conduite des plus exemplaires, mais maintenant désormais il acquiert une compréhension spirituelle des enseignements du Christ qui imprègnent son être de nouvelles impulsions. Il et maintenant un enfant de Dieu par la Nouvelle Naissance, car uni à l'église baptiste d'Augusta, en Géorgie, et baptisé par le révérend WF Brantly, Jr.

Le Dr Norman Fox rapporte que :

Trente-six ans plus tard, à la mort du Dr Fuller, le Dr Rambaut était l'un des orateurs lors d'un service commémoratif tenu à l'église baptiste du Calvaire à New York, et ses paroles brillaient avec le plus profond sérieux. et l'amour le plus tendre en parlant du grand prédicateur par lequel il avait lui-même été conduit à une foi vivante en Christ.

Le mercredi soir suivant son baptême du dimanche, Thomas Rambaut prononce son premier sermon :

Il a été autorisé à prêcher par l'église d'Augusta le 15 juin 1842, et à Barnwe Court House le 9 juin 1843, il a été officiellement ordonné ministre de l'Évangile[80].

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Son premier pastorat[]

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Thomas devient le président du Cherokee Baptist College à Cassville, en Géorgie.

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Il est l'agent général du Home Mission Board de la Southern Baptist Convention.

Un ancien membre de cette Eglise écrit :

Je pense souvent, à cette scène où le cortège, composé de planteurs princiers avec leurs familles et serviteurs, conduit par le pasteur et les diacres, marchait de l'église au bord de l'eau, où devaient se faire d'heureux convertis. le bon métier."

Alors qu'ils marchent, blancs et noirs, tous se joignirent à l'hymne : Dans toutes les voies désignées par mon Seigneur, je poursuivrai mon voyage.

Un groupe de plusieurs personnes à la fois entrait dans le ruisseau conduit par le grand vieil oncle Jack, un nègre de l'ancien temps. L'administrateur, qui les attendait, les enterrerait à la ressemblance de la mort du Christ, puis, après un bref intervalle, tous se rendaient à l'église une fois de plus pour s'asseoir à la table du Seigneur. Dans la confusion sauvage de la guerre, l'édifice est détruit, le service de communion d'argent emporté et les grands vieux chênes ont été abattus, mais l'église à l'époque de laquelle nous écrivons a fourni l'une des meilleures images du sud de l'ancienne jour.

Thomas Rambaut a toujours estimé que sa plus grande perte est l'incendie de sa bibliothèque par l'armée fédérale. Il a dit un jour à Norman Fox que sa bibliothèque lui avait coûté 9.000 dollars et que sa destruction n'était en aucun cas une nécessité militaire, mais une simple destruction gratuite de ce qui avait une grande valeur.

Après cinq ans à Robertville, il est pasteur à Savannah, Géorgie. Après plusieurs années de travail pastoral à Savannah, il devient le président du Cherokee Baptist College à Cassville, en Géorgie. En reconnaissance de ses réalisations académiques, il reçoit le diplôme de AM de l'Université Mercer de Géorgie, LLD de Madison, maintenant Colgate, Université de Hamilton, New York. Après cela, le diplôme de D..D. lui est également conféré.

Vers la fin de la guerre civile, Thomas Rambaut devient l'agent général du Home Mission Board de la Southern Baptist Convention et accomplit un service héroïque dans ce domaine à une période critique de l'histoire des Home Missions dans les États du Sud.

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Dr Rambaut dans le Missouri[]

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Les bâtiments de Carthage, Missouri, sont presque totalement détruits pendant la guerre civile.

C'est la partie de sa vie qui intéresse le plus les Missouriens.

Les bâtiments du William Jewell College à Liberty, Missouri, sont presque totalement détruits pendant la guerre civile. Une grande partie de la dotation est perdue. L'école est suspendue. Mais les baptistes de l'État sont déterminés à ce qu'elle ne disparaisse pas. Ils commencent aussitôt à chercher un homme capable de rebâtir l'école et la remettre sur les rails.

Après une enquête approfondie, leur choix s'est porté sur le Dr Thomas Rambaut. En 1867, il est élu président du Collège et entreprend les préparatifs nécessaires à la réouverture de l'école. Il reste une grande partie de l'amertume générée par quatre années de conflit sanglant. Les soldats qui viennent de combattre dans des camps opposés sont d'anciens des amis. Ils ont fait tout pour défendre leurs principes les plus chers, mais maintenant ils doivent se dire :

Que le passé soit enterré.

Mais pour ceux qui ont perdu l'être cher, ce n'est pas si facile à oublier. Les éléments discordants doivent être harmonisés si tout grand mouvement en avant veut réussir.

Dans ce travail, pleinement conscient de tous ses obstacles, mais avec la foi en Dieu qui règne sur tout, le nouveau président met toute sa force. Ce n'est pas facile de récolter des fonds à des fins éducatives. Le Missouri a été le champ de nombreux conflits. Les deux armées ont sillonné sans cesse l'État. De nombreuses bandes, parfois composées de déserteurs des deux armées, ont traversé de nombreux comtés dans le but de piller et de se venger de ceux pour lesquels elles ont une haine mortelle. Les fermes sont dans un état de désolation. Les maisons, les granges, les clôtures et toutes sortes d'animaux domestiques ont disparu. L'homme qui a un cheval aveugle pour labourer son blé, a de la chance. S'il a une bonne équipe, il est sûr de se faire enlever ses bêtes de somme, et tout effort pour les récupérer peut lui coûter la vie.

Et pourtant, malgré toutes ces entraves, le travail de réhabilitation est entrepris. Une certaine aide est reçue de l'extérieur de l'État, et les Baptistes du Missouri donnent comme ils n'ont jamais donné auparavant, et, tout compte fait, comme ils n'ont pas contribué depuis.

Le docteur Rambaut rassemble autour de lui une forte faculté de jeunes hommes qui étaient à tous égards parfaitement équipés pour le travail qui leur est assigné. Il organise également et élargit le programme d'études de manière à ce que l'institution soit véritablement un collège et se classe comme telle parmi les principales écoles des États-Unis.

Après cinq ans de labeur incessant dans le Missouri, sa santé s'est tellement détériorée qu'il est contraint de prendre deux ans de repos, qu'il passe principalement en Europe. Il a éveillé les baptistes du Missouri à une certaine appréciation de ce qui est nécessaire pour faire un collège. Et les idéaux ainsi formés prennent racine dans l'État et sont maintenant plus proches d'une pleine réalisation qu'ils sont à la fin de la vie de celui qui cherche si ardemment à imprimer ces idéaux dans le cerveau et le cœur du peuple.

Dans sa grandeur actuelle, le William Jewell College doit beaucoup aux efforts du Dr Thomas Rambaut. La grandeur actuelle de l'école est établie sur des fondations qu'il a si bien construites. Il est vrai que le Collège a toujours eu de bons et de grands hommes dans tous les départements de sa faculté, et jamais plus ou mieux que maintenant, mais ceux-ci savent que l'homme qui a pris le petit reste de l'entreprise à la fin de la guerre civile l'a lancé sur la grande voie de la grandeur. Il est digne de beaucoup d'honneur, et les louanges qui lui sont dues ne sont ni limitées ni données à contrecœur.

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Président du William Jewell College (1868 - 1873)[]

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Le révérend Thomas Rambaut inaugure comme Président le William Jewell College.

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Le révérend Thomas Rambaut est Président du William Jewell College (1868 - 1873).

Les services de cet éminent ministre et éducateur, en tant que président du William Jewell College, sont très estimés dans l'histoire de cette institution. Dr Rambaut est originaire de l'île d'Émeraude et diplômé du Trinity College de Dublin, sa ville natale. Après avoir obtenu son diplôme, il est venu aux États-Unis et s'est installé à Savannah, en Géorgie, avec l'intention de se consacrer au droit. Mais, comme tant d'autres qui ont commencé par la loi, il fut bientôt impressionné par la conviction solennelle qu'il était de son devoir de prêcher l'Evangile. Depuis son ordination jusqu'à son acceptation de la présidence de William Jewell, il a été pasteur d'un certain nombre d'églises en Caroline du Sud et en Géorgie, acquérant une large réputation d'orateur comsummate.

Éducation : École française huguenote en Irlande, Trinity College à Dublin Profession(s) antérieure(s) : tuteur ; ministre ordonné, pasteur en Géorgie et en Caroline du Sud; président, Cherokee Baptist College; professeur, Institut militaire de Géorgie

Rambaut est le deuxième président né à l'étranger. Il est réputé pour son ascendance huguenote française et sa relation avec la femme de Napoléon Bonaparte, Joséphine. Il a fait la transition de la réouverture du Collège après la guerre civile.

Après la guerre civile, notre dénomination a repris son travail en missionnaires et l'éducation avec une vigueur renouvelée. En 1869 le plus grande réunion à cette date de son histoire a été tenue par le Association générale de Colombie. Une grosse somme d'argent a été abonné au William Jewell College, auquel la présidence Rev. Thomas Rambaut, D. D., avait été appelé et le l'institution a pris un nouveau souffle. Il a maintenant une dotation et propriété d'une valeur d'un million de dollars et une fréquentation de 550 étudiants.

Après un mandat de président du Cherokee Baptist College, il devint professeur à l'Institut militaire de Géorgie à Marietta, institution avec laquelle il était lié au déclenchement de la guerre entre les États.

L'église, pendant la plus grande partie de l'année, s'efforce de trouver un pasteur qui répond aux demandes croissantes du peuple. N'y ayant pas réussi pour le moment, ils incitent le docteur Rambaut, président du collège, à assumer les fonctions de pasteur, en plus de ses fonctions sur la Colline et dans l'État. Ils ont ainsi obtenu un prédicateur remarquable, mais sa santé va rapidement se détériorer et il est contraint de démissionner en mars 1872.


De 1867 à 1874, il est président du William Jewell College. Après sa démission de cette institution, il va dans l'Est et servi comme pasteur d'églises à Brooklyn, NY ; Newark, New Jersey ; Albany, New York et ailleurs.


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Mariage avec (1878)[]

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Sa seconde épouse est Emilie Virginia Taylor (1828 -1887), de Brooklyn, Kings Co., LI, NY, veuve de John Cortelyou, de Brooklyn. Elle meurt en décembre 1887, .

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Travail dans l'est (après 1874)[]

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La Tabernacle Baptist Church à Brooklyn.

Après avoir passé environ deux ans à l'étranger, le Dr Rambaut est retourné en Amérique et est devenu pasteur de la Tabernacle Baptist Church à Brooklyn, New York. Il continue dans ce pastorat pendant environ six ans, puis prend la direction de la First Baptist Church de Newark, New Jersey. Comme dans tous ses anciens pastorats, son travail ici se caractérise par une grandeur intellectuelle et une grande force spirituelle.

Le docteur Rambaut est un éducateur d'une capacité des plus remarquables. Il est trop consciencieux pour consentir à autre chose qu'à la rigueur dans toutes ses instructions. Son érudition est d'un ordre élevé et il cherche par tous les moyens possibles à amener ses élèves au même niveau. Mais il est plus grand en tant que prédicateur de l'évangile. Sa propre expérience de la grâce de Dieu est si profonde, si abondante les puissances de soutien du Christ toujours présent, que son âme est enflammée lorsqu'il supplie les hommes de parvenir à la pleine assurance de la foi.

Il laisse sur ceux qui le connaissent le mieux l'empreinte d'une vie noble ; et son influence pour la bonne volonté s'attarde sur la vie des milliers qui ont entendu de lui le message de l'évangile, aussi longtemps que la mémoire occupe son siège. Il porte une couronne riche des trophées qu'il a remportés pour le Maître.

En raison de l'état instable du pays jusqu'en 1867, il n'a pas été jugé sûr de rouvrir l'institution, mais en juin de la même année, le révérend Thomas Rambaut LL. D., a été appelé à la présidence. C'était un homme extrêmement fort, intellectuellement, dépassant la plupart des hommes mûrs en connaissances et en érudition, mieux adaptés peut-être par la nature et la formation pour la chaire d'une grande église de la ville, que d'entrer en contact avec les manières de l'étudiant moyen. Le collège a rouvert en 1868 avec le docteur Rambaut, président.

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Sa fin de vie (1873 - 1890)[]

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Tombe du Dr Thomas Rambaut.

Les dernières années de sa vie se passent tranquillement. Thomas Rambaut passe ses derniers jours à Hamilton, New York, où il a la société de la faculté de l'Université Colgate et les soins affectueux et tendres de sa dernière épouse. Presque son dernier cri pour Travail», afin qu'il puisse honorer le Seigneur à qui il avait donné son cœur, et pour qui il a peiné pendant tant d'années.

Thomas Rambaut meurt le 15 octobre 1890, et est enterré près de Colgate, Hamilton.

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Mary Lucinda Bonney (1888)[]

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Mary Lucinda Bonney jeune.

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Mary Lucinda Bonney épouse son vieil ami le révérend Thomas Rambaut.

Mary Lucinda Bonney (après le mariage, Mary Lucinda Bonney Rambaut) est née le 8 juin 1816 à Hamilton, New York et décédée le 24 juillet 1900. Son père est un riche agriculteur. Sa mère est enseignante avant son mariage. La religion et l'éducation occupent une place importante dans leurs pensées et dirigent la formation de leur fils et de leur fille.

Thomas Rambaut en 1888 épouse Mary Lucinda Bonney (1816 - 1900), de Hamilton, N.Y. C'est une éducatrice américaine du XIXe siècle et une défenseur des droits des Amérindiens. Elle est considérée comme la femme la plus importante du mouvement amérindien pour protéger leurs terres tribales. Elle est également impliquée dans le premier mouvement pour assurer l'éducation des filles. Avec la collègue enseignante Harriette A. Dillaye, en 1850, elle fonde un séminaire de femmes à Philadelphie. Elle est devenue connue sous le nom d'école Ogontz pour jeunes filles après avoir déménagé dans un endroit de la banlieue du même nom. Après un second déménagement, le dernier campus aménage après 1950 dans l'État de Penn Abington. En collaboration avec Amelia Stone Quinton, Bonney fonde la Women's National Indian Association, qui d'abord travaille pour défendre les droits fonciers des Amérindiens contre l'empiètement des colons. Ils vont finalement soutenir l'assimilation des Amérindiens à la culture majoritaire, y compris le soutien à la loi Dawes de 1887. Cette proposition d'attribution de terres dans le territoire indien à des familles indiennes, la fin des gouvernements tribaux et le soutien aux tribus pour qu'elles adoptent l'agriculture de subsistance.

Mary Lucinda Bonney est élève pendant plusieurs années de la Female Academy à Hamilton et aussi sous la direction de Mme Emma Willard, au Troy Seminary, à l'époque la meilleure institution pour jeunes filles de ce pays.

La mort de son père survient alors qu'elle était toute jeune, l'obligeant à embrasser le métier d'enseignante[81].

En 1850, elle décide de fonder sa propre école et d'héberger sa mère. En relation avec Mlle Harriette A. Dillaye, l'une des enseignantes du Troy Seminary, et une amie de ses débuts, elle fonde le Chestnut Street Seminary, situé pendant trente-trois ans à Philadelphie et plus tard, en 1883, agrandi en Ogontz Séminaire, à Ogontz, Pennsylvanie, l'une des célèbres écoles pour filles aux États-Unis[82].

Pendant près de quarante ans Mary Lucinda Bonney préside l'Ogontz Séminaire. Son attention est d'abord attirée sur la cause des Indiens par un article de journal concernant les efforts du sénateur Vest pour que les terres de l'Oklahoma soient ouvertes à la colonisation par les Blancs. C'est à cette époque que Mlle Bonney se lie d'amitié avec Mme AS Quinton, et ces deux femmes qui ont commencé leur tâche d'aider à redresser les torts faits par le gouvernement aux Indiens[83]. Mary Lucinda Bonney donne une partie de son propre revenu à cette cause. Elle est devenue la première présidente de la société et consacre les dernières années de sa vie à ce travail. Pendant son séjour à Londres, en 1888, en tant que déléguée à la Conférence missionnaire mondiale, Mlle Bonney rencontre et épouse le révérend Thomas Rambaut, DD, LL. D., un ami de longue date et également délégué à la conférence. Mme Rambaut est décédée en 1900[84].

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William Jewell College, President's Mansion (manoir).

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NOTES ET RÉFÉRENCES[]

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  3. Une Famille du Lyonnais. Les Rambaud,... : Émile Salomon (1888-1945). Aix-les-Bains 1910.
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  5. Une Famille du Lyonnais. Les Rambaud,...: Émile Salomon (1888-1945). Aix-les-Bains 1910.
  6. Une Famille du Lyonnais. Les Rambaud,...: Émile Salomon (1888-1945). Aix-les-Bains 1910.
  7. "Proceedings of the Huguenot Society of London." Historical and Genealogical Account of the Huguenot Family of Rambaut in France.... Major Bertrand R-R. RAMBAUT, descendant des Rambaud de Guyenne.
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