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Les Rambaud de Pertuis
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Les Rambaud de Pertuis
Le 15 septembre 1788, Benoît de Rambaud, écuyer, chevalier de Saint-Louis, et colonel, fait faire une recherche concernant ses origines nobles par un Révérend-Père, Auguste de Manosque, capucin définiteur, du Couvent des R.P. Capucins d'Aix-en-Provence. La réponse est encourageante. Le Définiteur dit que si Benoît et sa famille peuvent prouver leurs origines depuis 1274 cela leur évitera des frais très importants pour rien.
Les blasons des Rambaud de Marseille, de Maillou, de La Roque se ressemblent beaucoup et ressemblent au premier sceau des Mevouillon. Si la branche des Rambaud restée dans le Dauphiné - Montgardin, Ancelle, Furmeyer, Beaurepaire - est éteinte, cependant des actes notariés et des livres ou revues nous mènent de nobles à Marseille à une famille de juristes à Pertuis, écuyers selon les actes notariés et ancêtres des Rambaud encore existants.
Voir article détaillé : Benoît de Rambaud.
Les Rambaud de Pertuis font partie de la Prosopographie des Rambaud, car descendants des Rambaud de Guyenne, puis des Rambaud de Montgardin et d'Ancelle. Etienne Rambaud est le fils de Guillaume Rambaud d'Ancelle. Son fils et son petit-fils sont écuyers selon les actes retrouvés par Monsieur Barby et des étudiants marseillais.
Voir article détaillé : Prosopographie des Rambaud
Au XVIIe siècle Saint-Chamas connaît un nouvel essor à partir de 1514, où le seigneur Esperit de Rousset agit avec un repeuplement de nouveaux habitants, dont sont issue les ancêtres de Velauxiens d'aujourd'hui, arrivant essentiellement des Hautes-Alpes. Les Rambaud s'installent donc dans un village peuplé de Hauts-Dauphinois.
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ÉTIENNE RAMBAUD (° 1505)[]
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Etienne Rambaud de Pertuis est né vers 1505, peut-être à Ancelle ou à à Esparron-de-Pallières. Il est le fils de Guillaume Rambaud, noble d'Ancelle. Il se marie par contrat de mariage, le 6 décembre 1523, à Pertuis (pays d'Aigues)[1]. Ses parents, Guillaume et Béatrice, sont décédés.
Pertuis, au cœur de la Provence, en bordure de la vallée de la Durance et aux portes du Luberon, Pertuis est située en pays d'Aigues, dont elle est la capitale. Mais, comme la peste sévit gravement en Provence en 1520, alors qu'il n'y a que quelques victimes en pays d'Aigues cela incite le Parlement d'Aix à se retirer à Pertuis, en 1546, pour fuir une nouvelle épidémie de peste et les guerres de religion[2].
Son épouse est Jehanne de Pont, de Cucuron, village du Lubéron voisin de Pertuis. Elle est la fille de Ricau (Richard) de Pont, de Cucuron, et de Andriève Lantelme, fille Agnel ou Alginus Lantelme, décédé avant 31 janvier 1527 (1526/7) julien à Cucuron.
Etienne Rambaud de Pertuis et Jehanne de Pont sont les parents de :
- Guillaume Rambaud (ca 1525 - 1560/1565), qui suit.
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GUILLAUME RAMBAUD (ca 1525 - 1560/1565)[]
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Biographie de Guillaume Rambaud[]
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Guillaume Rambaud (après 1523 - 1560/1565), Noble et Écuyer, selon son contrat de mariage avec Étiennette Ensuque à Saint-Chamas[3], est né à Pertuis après 1523. Quand le Parlement d'Aix s'instale à Pertuis, en 1546, il est adulte.
La ville est encerclée en mai 1562, pendant dix-huit jours, par Emmanuel-Philibert de Savoie, comte de Tende et les troupes de Paulon de Mauvans, capitaine protestant[4].. Elle résiste victorieusement au siège, mais Guillaume est malade depuis en 1551, selon le testament de sa mère[5]. Guillaume Rambaud est-il mort lors du siège de 1562 ? Son épouse ne se remarie qu'en 1666.
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Mariage de Guillaume (1552)[]
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Guillaume est qualifié Noble et Écuyer dans son contrat de mariage, et aussi bourgeois de Pertuis, dans son contrat de mariage avec Estiennette Ensuque (1535 - 1594), signé le 4 décembre 1552 à Saint-Chamas[6].
Étiennette est la fille de Claude et Trophimette Pichatte, de Martigues. Sa tante Pichatte est mariée à Noble Bertrand Archambaud. Nous avons aussi comme parent Robert Pichatte, écuyer de Martigues[7]. Sans oublier un Pierre Pichat que devient propriétaire de la terre de Pohan[8].
Nous avons au Moyen-Age le seigneur Urbain Ensuque, alias de Finet, chapelain de Ferrière, à Martigues[9]. Rostang Ensuque, en 1382, de Ferrières, est détenu aux prisons de l’Isle pour avoir sans la permission du juge de l’Île de Martigues pris du bois, de la chaux et pierre à la Montagne Saint-Genest et au terroir appelé Contrast. Rostang Ensuque est relaxé[10]. En 1441, Jolian de Donino possède 6 cayrats de la galiote de Johan Ensuque, de Martigues[11]. Ces types de contrats sont biens connus[12]. Le registre de la douane de Gênes de 1459 signale l'arrivée de Guilhem de Donino, l'un des fils du plus important marchand de l'époque.
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Remariage de la veuve de Guillaume[]
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Veuve de Guillaume Rambaud, Étiennette Ensuque se remarie à Antoine Surian. C'est un membre de la famille Surian qui possède et administre la seigneurie de Suro (aujourd’hui Tyr) sous souveraineté vénitienne, en 1124. Lors de la guerre entre les Génois et les Vénitiens en 1255 les Surian se divisent. Les uns rentrent à Venise et à Rimini où ils possèdent des fiefs avec de grandes richesses. Ils figurent déjà au nombre des patrices et des nobles de Venise au moment du premier changement constitutionnel oligarchique en 1297. De cette famille éteinte à Venise au XVe siècle est issue la branche provençale anoblie en 1777 « de Surian de Bras » qui étaient les seigneurs des marquisats de Bras et de Montvert dans le Var. Cette riche famille donna à la France de nombreux conses, un premier échevin de Marseille (Joachim de Surian) et d'Arles, un évêque de Vence membre de l’Académie française : Mgr Jean-Baptiste Surian ; un député, collectionneur et membre de l’Académie de Marseille : Alfred de Surian, le commandant Gustave de Surian, marquis de Surian-Bras dont la fille épouse le comte Olivier d’Ormesson, député. Le Pont Flavien est aussi appelée Pont Surian, du nom d'un consul de la ville de Saint-Chamas, nommé Surian, qui empêche son effondrement en ordonnant des travaux de restauration[13].
¤ Leur fille, Marguerite Surian, se marie avec Guillaume Dedons (1565 - 1636)[14]. Etienne Dedons est le noble cousin de l'épou.xLa famille Dedons d'Istres est de très ancienne noblesse, comme le montre L'Etat de la Provence... , de Robert de Briançon :
- La Maison de Dedons, en latin "Dedonis", est originaire du Lieu d'Istres, & des plus anciennes du Pais. Dans une Chartre de l'an 963, par laquelle il conste, que Bertrand Comte de Provence, fit don à l'Eglise de Montmajour-lès-Arles, des Terres qu'il possedoit au susdit Lieu, on trouve un Guillaume Dedons, Chevalier parmi plusieurs Seigneurs de Provence; & dans celle des Croisades de l'an 1096, rapportée par le Moine Hardouin, il est dit que Dedons d'Istres vint à la tête de 300 Croisés, de la principale noblesse de Provence, se ranger sous la Croix de l'Archevêque d'Arles... .
La Maison de Dedons, en latin Dedonis, est originaire d'Istres, selon Artefeuil et Boisgelin. On trouve ceux de cette Famille, cités fréquemment avec les mêmes qualifications dans les Chartres du XII et XIIIe siécles. II est fait mention d'une délibération prise par la Communauté d'Istres, dans laquelle il est dit, qu'en 1285 Hugues Dedons, Damoiseau, Domicellus, est député pour transiger sur un procès que les habitants avaient avec les Prieurs Prébendes du Chapitre de l'Eglise d'Aix & l'on a produit un rouleau en parchemin qui renferme 42 reconnoissances faites par les habitants d'Istres à EIzear Dedons, qui en etait Seigneur en 1357.
Voir article détaillé : Famille Surian
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Descendance de Guillaume[]
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Guillaume Rambaud et Étiennette Ensuque laissent au moins quatre enfants :
¤ André Rambaud (° 1554), qui suit.
¤ Madeleine Rambaude (1555 - 1610) épouse, par contrat passé le 15 février 1569, devant Anglez, Notaire à Aix, Antoine de Rians (1550 - 1610), qualifié Noble et Écuyer dans son contrat de mariage, ainsi que dans tous ses actes antérieurs à la date de 1574. Rambaude cela correspond à une tradition de féminiser le patronyme des femmes (Rambaude/Rambaud)). Il est reçu Secrétaire du Roi en Chancellerie, près la Cour du Parlement de Provence. D'après les généalogies écrites Antoine de Rians est le fils de Jean de Rians, Secrétaire du roi en Chancellerie prés la Cour du Parlement de Provence, Conseiller du Roi et général de Ses monnaies en Provence. C'est un membre de la famille de Rians :
- Raimond de Rians possédoit la quatrième partie du lieu de Rians en 1246 tems auquel il n'étoit permis qu'aux seuls Nobles d'avoir des Fiefs. C'est ce qui est prouvé par un Cartulaire de l'Archevêché d'Aix, déposé aux Archives du Roi en Provence. Ce titre communiqué à l'Auteur est ligné par Roux, Archiviste de la Cour des Comptes, et collationné par Adaoust, Secrétaire du Roi[15].
- ¤¤ Leur fils, Joseph de Rians (1570 - 1630), écuyer se marie à Sibylle d'Etienne, d'où descendance. LES Rians sont un maillon essentiel entre les Estienne et les Mazargues[16].
Les Defcendans d'Antoine de Rians portent le champ de gueules à leurs armes.
¤ Un fils de Guillaume Rambaud (° 1555) se marie en 1576 à Aix-en-Provence à une de Beaumont (° ca 1560). Cette famille de Beaumont anoblie en 1508 possède des charges dans le Parlement d'Aix, selon Henri de Boulainvilliers[17]. Elle semble être une des filles de Béraud de Beaumont, écuyer d'Aix, seigneur de Fonscolombe, lieutenant des galères du roi, tiers consul d’Aix en 1576, décédé avant 1598, qui épouse par contrat du 16 juillet 1557 à Aix (Borrilli notaire), Jehanne du Puy de Châtellerault, fille de Louis, seigneur de Souffray, et de Martine Goury.
¤ Un autre fils de Guillaume Rambaud (° 1560) se marie en 1588 à Aix-en-Provence à une de Saint-Honoré, famille de marchands d'Aix-en-Provence.
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ANDRÉ RAMBAUD (1554 - après 1586)[]
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Biographie d'André Rambaud[]
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André Rambaud, né en 1554 à Pertuis (pays d'Aigues), est qualifié d'Écuyer dans son contrat de mariage[18]. Il st aussi notaire à Pertuis.
Pendant la grande peste de 1580, le parlement d'Aix se divise en trois chambres dont une vient siéger dans ses murs, sous la présidence du baron de Lauris.
En 1585, de Vins, essayant une levée de boucliers pour la Ligue, se présente devant Pertuis avec le comte de Sault ; mais on lui ferme les portes. Trois ans après, les Ligueurs triomphent à Aix. Le duc de la Valette, gouverneur de la Provence, se retire à Pertuis, où il convoque l'assemblée générale des Etats. Pertuis devient le centre des opérations du gouverneur ; c'est là que se retirent les magistrats , restés fidèles au parti du roi. De Vins s'approche, comptant sur la trahison ; il est repoussé, grâce à l'intrépidité de la dame de la Valette. Les Ligueurs n'ont pas craint de faire appel à un prince étranger (1590). Pertuis ferme ses portes au duc de Savoie et le force de lever le siège, à deux reprises[19].
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Mariage et descendance d'André Rambaud[]
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André signe le 24 avril 1583 son contrat de mariage avec Antoinette Bedos, dans l'études de Maître Perrier, à Miramas[20]. Il signe un autre contrat pour la dot, le 27 février 1584, chez le même notaire de Miramas[21]. Le père de la mariée, Imbert Bedos, est de Saint-Chamas et est cité parmi les propriétaires imposables, comme Jehan, Auzias et Philibert Bedos, de sa famille, dans Le Saint-Chamas médiéval du Baou: VIIe siècle - XVIIe siècle[22].
Il existe une famille de très vieille noblesse aux armoiries ainsi définies : De gueules, à trois croissants d'argent, surmontés de trois étoiles de même, à l'orle de huit coquilles d'argent. L'Histoire héroïque et universelle de la noblesse de Provence, Volume 4, nous dit qu'elle est de la ville de Marseille[23], mais les seules généalogies existantes parlent des branches de Celles et de Riqueirols. Il existe bien aussi une incertitude sur des descendants protestants de nobles devenus marchands. André Rambaud et Antoinette Bedos, mariés en 1583, ont quatre fils :
¤ Melchior Rambaud (1584 - 1649), qui suit.
¤ Jean de Rambaud ou Raimbaud ou de Rimbaud est né à Pertuis après le 24 avril 1583 et décédé après le 1er décembre 1679. Il est armateur, premier échevin de Marseille. Il se marie avec Honorade Giraudon en 1614[24]. Il est bourgeois de Marseille et porte, comme son fils, D'azur, à un arbre arraché d'or, au chef cousu de gueules chargé de deux étoiles d'or. Ils sont les parents de :
- Antoine de Rimbaud (1620 - 1689, jurisconsulte, échevin de Marseille, se marie le 1er décembre 1679 à Marseille (St Martin) avec Antoinette de Mignot (1620 - après 1679), "survivante de cette ville de Marseille", fille de Jean Antoine de Mignot, bourgeois. Ils sont les parents de Claire de Rambaud, épouse de Joseph de Borely (1642 - 1733), Premier échevin de Marseille, et de Thérèse de Rimbaud qui épouse Gérard-Hillière Barrigue de Fontainieu, marchand drapier et banquier à Marseille. Il achète la bastide de Fontainieu à la famille Bayon de Libertat et fonde la branche ainée Barrigue de Fontainieu.[25].
- Jean II de Rimbaud, Premier échevin de Marseille, père d'une autre Clere de Rimbaud, mariée à Louis de Callamand, trésorier de France au bureau d'Aix-en-Provence. La fille de Gérard-Hillière Barrigue de Fontainieu et Thérèse de Rimbaud se remarie avec ce Trésorier.
¤ Pierre Rambaud (1590 - 1670) marié à Marquize de Fabry (1625 - 1680), d'Aix-en-Provence, une membre d'une des familles de Fabry. Leur fille :
¤¤ Catherine Rambaud (1655 - 1715) se marie le 24 avril 1583 avec François Barlatier, bourgeois de Rognes, dont les titres de noblesse sont égarés[26]. Il est le fils d'un écuyer, et frère d'un frère d'un procureur.
¤ Paul Rambaud (15 septembre 1586) : acte de naissance - Rambaud Pau/lN1586/Bouches du Rhône/Saint-Chamas.
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LES RAMBAUD DES BORDS DE L'ETANG DE BERRE[]
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Melchior Rambaud (1584 - 1649)[]
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Melchior Rambaud est né après le 24 avril 1583 à Pertuis, dans le Pays d'Aigues (au sud du Vaucluse). Il décède le 20 février 1649 à Saint-Chamas. Melchior Rambaud est marchand. Melchior Rambaud (1584 - 1649) se marie avec Alexandra de Lavison (1605 - 1654), de la Famille Lavison, mais fille aussi de Madeleine de la Famille Surian. Elle même fille de Louis Surian, écuyer, capitaine, bourgeois, viguier, soeur de Claude écuyer, capitaine, grand-père du savant Joseph-Donat de Surian, parent de Joachim de Surian, seigneur de Bras et de Monseigneur Jean-Baptiste Surian, né à Saint-Chamas, évêque de Vence et membre de l'Académie française.
La Famille de Lavison -Lawson - est originaire de l'Ecosse. Elle vient s'établir, parait-il, en France à la suite du Prince Noir (1330 - 1376), mais ils se fixent avant cela d'abord en Guyenne, où se trouve encore, près de Saint-Macaire, leur château de Lavison. Ils y demeurent jusqu'en 1519[27][28].
Certains de ses membres viennent s'installer à Saint Chamas, en Provence. Ils ont eu plusieurs membres de leur famille comme Consuls et Maires de Saint-Chamas. M. Paul de Lavison a exercé ces fonctions pendant longtemps[29].
Melchior Rambaud et Alexandre de Lavison (1605 - 1654), mariés en 1624 à Saint-Chamas, ont huit enfants, une famille bien trop nombreuse. Cette famille va donner des capitaines de barque et des négociants avec l'outremer installés à Saint-Chamas, puis à Martigues et enfin à Marseille. Dans cette ville ils s'intègrent dans la très privilégiée bourgeoisie de Marseille, avec Jean de Rambaud, capitaine, négociant, armateur, capitaine des gardes côtes qui meurent capitaine corsaire. Puis un de ses fils, Benoît de Rambaud, redevient noble comme les Rambaud du Pertuis, est ingénieur, colonel, gouverneur du royaume de Galam, selon les registres paroissiaux, les actes notariés et d'état-civil, son dossier au CAOM et les historiens. Sans oublier son beau-frère, Georges Pléville Le Pelley, gouverneur du port de Marseille,
Voir article détaillé : Melchior Rambaud.
Voir article détaillé : Famille Lavison.
Voir article détaillé : Famlle Surian
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NOTES ET RÉFÉRENCES[]
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- ↑ [boite 43 - Pays d'Aigues (Vaucluse, France) - Fonds d'érudits 1511 - 1530].
- ↑ Robert Bailly, Dictionnaire des communes du Vaucluse, Avignon, A. Barthélemy, 1986.
- ↑ Saint-Chamas, Bouches-du-Rhône, 412 E 197 F ° 453.
- ↑ Dictionnaire géographique, historique, archéologique et biographique de Communes du Département de Vaucluse, Jul Courtet, Bonnet, 1857.
- ↑ Pertuis - Testaments 1551-1560. 3 E 56 n°548 f°1204.
- ↑ Julian : Contrat de mariage de Guillaume III (avec Étiennette Ensuque) - Saint-Chamas, 13250, Bouches-du-Rhône, 412 E 197 F ° 453.
- ↑ Collection des inventaires sommaires des archives départementales ... Bouches-du-Rhône, Ministère de l'intérieur, Typ. et lith. Cayer et ce., 1884. f° 19 v°).
- ↑ Inventaire sommaire des Archives départementales antérieures à 1790: Chambre des comptes de Provence Nos 1 à 1499, Blancard, Archives départementales des Bouches-du-Rhône, Impr. et librairie administratives de P. Dupont.
- ↑ L'encadrement religieux des fidèles au Moyen-Age et jusqu'au Concile de Trente: la paroisse, le clergé, la pastorale, la dévotion, Volume 109, Numéro 1 de Congres National des sociétés savantes. Section d'histoire médiévale et de Philologie, Volume 1, Comité des travaux historiques et scientifiques. Section d'histoire médiévale et de philologie, C.T.H.S., 1985.
- ↑ Naissance et développement d'une ville
- ↑ Arch. dép. B.-du-Rh., 40j E 116.fb 41 vol 87.
- ↑ ARLES ET LE RHÔNE A LA FIN DU MOYEN AGE LES LEVÉES ET LE PORT
- ↑ Le pont Flavien. (monument historique).
- ↑ 17 mars 1585 : Contrat de mariage (avec Marguerite SURIAN) - Miramas, 13140, Bouches-du-Rhône, Provence-Alpes-Côte d'Azur, 412 E 76 F° 34 ME MAYMBERT Pierre.
- ↑ Dictionnaire de la noblesse, contenant les généalogies, l'histoire et la chronologie des familles nobles de France, François-Alexandre Aubert de La Chesnaye Des Bois, Édition 3, Schlesinger Frères, 1872. p.86 et suivantes.
- ↑ Le Notaire, la famille et la ville: Aix-en-Provence à la fin du XVIe siècle, Histoire Notariale, Claire Dolan, Presses Univ. du Mirail, 1998.
- ↑ Volume 8 de Etat de la France, dans lequel on voit tout ce qui regarde le gouvernement ecclésiastique, le militaire, la justice, les finances, le commerce, les manufactures, Henri de Boulainvilliers, Henri de Boulainvilliers 1752.
- ↑ Archives Bouches-du-Rhône, 412 E 85 F° 344.
- ↑ Dictionnaire géographique, historique, archéologique et biographique de Communes du Département de Vaucluse, Jul Courtet, Bonnet, 1857.
- ↑ Archives Bouches-du-Rhône, 412 E 85 F° 344.
- ↑ 412 E 86 F° 51.
- ↑ Le Saint-Chamas médiéval du Baou: VIIe siècle - XVIIe siècle, Paul Lafran, Amis du Vieux Saint-Chamas, 1993. p.81.
- ↑ Histoire héroique et universelle de la noblesse de Provence, Artefeuil, Louis Ventre (seigneur de la Touloubre), Ernest Rozière (vicomte de), la veuve Girard; se vend chez F. Seguin, 1901. p.94.
- ↑ Jean Rimbaud conjoint GIRAUDON HONORADE p. 552 An 1614 Numéro/Source 363E-95.
- ↑ Livre de raison d'un notable et académicien aixois: Casimir de Barrigue, comte de Montvalon, 1774-1845. Claude-Alain Sarre. Mémoire & documents, 2003.
- ↑ Annales de la Faculté de droit et de science politique d'Aix-Marseille, Numéro 58, Presses universitaires de France, 1972.
- ↑ L'Ancienne Principauté de Dombes Et Son Parlement: La Famille Cachet de Montézan, Des Cotes de Garnerans... Livre broché – 1 février 2012, Edition Français de Eudoxe de Lombardon-Montezan.
- ↑ Le pays des quatre reines, Bernard Falque de Bezaure, A. Reynaud, 1973.
- ↑ L'Ancienne Principauté de Dombes Et Son Parlement: La Famille Cachet de Montézan, Des Cotes de Garnerans... Livre broché – 1 février 2012, Edition Français de Eudoxe de Lombardon-Montezan.