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Leibulf des Baux
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Leibulf des Baux, Leybulfus ou Laibulfus est né vers 830[1]. certainement en Arles. Ce seigneur des terres d'Argence[2] meurt au château des Baux, avant 900[3], peut-être au château de Baux.
Leibulf des Baux (ca 830 - ca 900) est fils de Leibulf de Provence et peut-être d'une Balthes, d'où les noms Balz et Baux. Etant certainement leur fils Leibulf est, en 851, mentionné comme tenant du château des Baux[4]
Son épouse (x 875)) est peut-être une princesse médulle et donc l'ancêtre des Mévouillon.
Comte de Provence, Comte d'Arles, ancêtre de la famille des Baux, Leibulf est le premier comte des Baux, Leibulf a un fils Poncius l'ancien d'Arles, qui est possessionné en Provence et sur la rive droite du Rhône[5][6][7].
Un autre fils Guigó de Girona (880 - 941), Guigue, ex-clerc d'Arles, devient évêque de Gérone (907 - 941)[8].
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SA FAMILLE[]
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S'il existe une famille d'importance dans l'histoire du Comtat et de la Provence, c'est celle des Baux. Elle apparaît au sud de la Durance, vers la fin du VIIIe siècle, en la personne du comte Leibulf des Baux, dont on ne connaît que le nom. En 850, son successeur, Poncius, est propriétaire en Argence, région située autour de Beaucaire. Il a deux fils, Ison et Humbert. Ce dernier est évêque de Vaison.
M. Barthélémy, le spécialiste des archives de cette famille, indique que ces premiers Baux accompagnent le comte Guillaume lors de l'expulsion des Sarrasins et le secondent dans toutes ses entreprises guerrières[10].
Le Castrum qui vocatour Balcius est cité en 981. Pons le jeune est déjà un personnage important en Provence. Son nom est cité lors de la donation de terres en faveur de Montmajour (971) et en faveur de l'Eglise d'Arles (975).
Au Xe siècle, les possessions des Baux couvrent déjà l'abbaye de Nyons, le castrum de Mornas , les Baronnies et quelques terres en pays niçois.
Ainsi cette famille grandit loin des terres du Venaissin, entre les collines des Baux et la plaine de la Camargue. - Hugues prit le nom "de Balcio" au XIe.
Une origine légendaire fait remonter cette famille jusqu'à l'un des Rois Mages et nous savons qu'ils ont entretenu cette croyance en adoptant une étoile (annonciatrice) sur leurs armes[11].
Leibulf de Provence, Liebulf, Leibulfe, Laibulf, Leybulf, Letibulf, ou Leyboux... est né vers 780 et mort après les sièges de Béziers ou d’Agde, en 837[12]. Quoique Guerin de Provence, son successeur comme dux et marchio de Provence[13] ne l'est qu'en 841, selon les Chroniques Aquitaines [14]. Il est certainement décédé en 840. Le comte Leibulf de Provence est tout d'abord un missus impérial de la première moitié du IXe siècle, qui apparaît dans divers documents concernant la Provence, la Gothie et la Septimanie[15]. Il est l'un des comtes qui prennent Barcelone, en 801. En 812, Leibulf de Provence se rend à la cour d'Aix-le-Chapelle avec d'autres comtes et ils doivent rendre compte à l'empereur parce qu'un groupe de propriétaires terriens hispaniques se plaint de persécutions. L'Empereur Louis confirme la donation in pago Narbonensi… salinas" designated by "noster missus Leibulfus comes du monasterio Amanense, par une charte datée du 814[16]. Il est Comte en Septimanie (817 - 837) et Dux et marchio de Provence. Leibulf est comte de Narbonne, mais qu'en en 833[17]. C'est un Bienfaiteur de l'Eglise. En tant que comte, en 824, il échange des biens dans la région d'Arles avec Noton, archevêque d’Arles (820 – après 844)[18]. Par contre la donation faite à Lérins par le Comte Leibulf de Provence (824/825) porte en réalité seulement sur ne propriété située dans la région arlésienne[19].
C'est du temps des Leibulf que commence une longue querelle entre les maisons des Baux et de Barcelone pour la suprématie en Provence[20]. Mais ne s'agit-il pas plutôt de Leibulf des Baux (ca 830 - 900), qui est souvent confondu avec son père ?
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Les seigneurs des Baux et Mistral[]
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Une origine légendaire fait remonter cette famille jusqu'à l'un des Rois Mages, Balthazar, et les Baux entretiennent cette croyance en adoptant une étoile (annonciatrice) sur leurs armes qui sont chantées par Frédéric Mistral :
- Ce sont les armes traditionnelles des princes des Baux, la première, par son antique nom comme par sa splendeur, des grandes familles de Provence : race d aiglons, jamais vassale, qui de la pointe de ses ailes, effleura la crête de toutes les hauteurs.
- Selon leur dire et leur croyance, ils comptaient parmi leurs aïeux le mage Balthazar, duquel un descendant était venu d'Ethiopie planter bourdon sur les Alpilles et semer dans leurs flancs pierreux les herbes aromatiques et le sang ardent.
De là venait la Belle Étoile, irradiée en seize rais, dans leur blason ; de là, par campagne et par friches, lorsqu'ils couraient reteindre dans le sang leur gonfaron, et tout culbuter, barons et rois, sans crainte de personne, de là leur cri de guerre : Au Hasard, Balthazar !
- C'étaient des téméraires, des pourfendeurs terribles ; ducs à Naples, vicomtes de Marseille, en Arles podestats, princes d Orange et guerre toujours ! car lutter de tous ses efforts, c'est vivre, disaient-ils : sous terre, en paix, et sur le même flanc, nous dormirons assez… En avant . (Frédéric Mistral. Calendal).
Il est possible que la terre des Baux viennent d'Odda, une noble dame peut-être descendante d'Ardo Balthes (713-720). Baux vient d'audacieux en langue gothique, comme Balthes, ou Rambaud/t. Edward Gibbon écrit :
- Cette lignée illustre continua à s'étendre en France, dans la province gothique de Septimanie, ou Languedoc ; sous l'appellation impropre de Baux ; et un rameau de cette famille s'installa ensuite dans le royaume de Naples. Les seigneurs des Baux, près d'Arles et auprès de soixante-dix neuf lieux dits restèrent indépendants des comtes de Provence[21].
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LEIBULF DES BAUX[]
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Léonce Auzias et Jan Dhont, et Philippe Wolf pensent qu'un Leibulf est associé aux sièges de Béziers ou d’Agde, en 837[22]. Un plaid, daté de 843/844, évoque Leibulf comme comte d'Arles[23]. C'est peut-être Leibulf père, car son fils est trop jeune.
Bernard de Septimanie (795 – 844), obtient les possessions du comte Leibulf de Provence, qui vient de mourir : Narbonne, Béziers, Agde, Melgueil, Nîmes et, probablement, Uzès et Lodève, avec le titre de duc de Septimanie[24]. En 851, un certain Leibulf est mentionné comme tenant le château des Baux[25]. C'est vers l'an 900 qu'on en trouve les premières traces de la Maison des Baux, incertaines d'abord et peu à peu se précisant, dans les chartes précieusement conservées dans les archives des monastères de Saint-Victor, de Montmajour, de Saint-Césaire, de Saint-Trophime d'Arles et patiemment recueillies avec beaucoup d'autres et publiées en 1879 et 1882 par le Dr Barthélémy, bibliothécaire et membre de l'Académie de Marseille[26]). Les premières ne sont guère que des donations aux abbayes. C'et dans ces actes de pieuses offrandes que nous trouvons des indications sur la famille et la filiation des donataires[27].
Certains domaines ayant appartenu à Leibulf des Baux (ca 830 - 900), en Argence et ailleurs dans la vallée du Rhône, sont ensuite détenus par Pons le Jeune (Pontius Juvenis), petit-fils de Poncius d'Arles[28].
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SA DESCENDANCE[]
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Son épouse est-elle une princesse médulle ?[]
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Les Médulles[]
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Les Médulles, ou Medulli, appartiennent aux tribus gauloises montagnardes qui contrôlent l'accès aux cols alpins, aujourd'hui situés en Maurienne (avec les Ceutrons en Vallée de la Tarentaise et Haut-Faucigny et les Salasses en Val d'Aoste). Les Médulles combattent contre les Romains et sont soumis en -16. Cette victoire sur les peuples alpins est commémorée sur l'arc de triomphe de Suse. Les Médulles se retrouvent du temps de l'Empire et au moyen-âge dans les Baronnies et dans le Médoc, dont les habitants sont appelés Méduliens, par certains érudits, en référence à ce peuple antique[29].
Des tribus pastorales s'installent dans les Baronnies, notamment celle des Médulles qui a donné son nom à Mévouillon (anciennement Medullio)[30]. André Lacroix, dans L'arrondissement de Nyons : histoire, topographie, statistique. D'Arpajon à Mirabel, écrit :
- A cette époque, les gouverneurs civils et militaires s'étant rendus maîtres indépendants de leur territoire, le chef de l'ancienne tribu des Médulles construit sur le rocher à pic de Mévouillon (= Medullionis) un château-fort, défiant toute attaque, et s'y établit en souverain de la contrée. Le premier s'appelle Raymond et ses successeurs n'ont pas d'abord d'autre nom patronymique; mais ils prennent par la suite celui de leur terre, sous lequel ils sont mieux connus. Les Mévouillon tirent leur nom d'une terre située entre Saint-Auban et Séderon et leur puissance de quelque concession des empereurs d'Allemagne ou des souverains de Provence[31].
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Les origines gauloises[]
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Tout commence par une forteresse importante sur un roc isolé, le Medullio oppidum, dans l'ancien comté d'Arles construite au démembrement du royaume de bourgogne, lors du traité de Verdun, en 843[32]. Au-delà de la limite extrême de la région des Voconces, se dresse l'oppidum de Mévouillon, assis sous une haute montagne bornée de tout côté par une vaste plaine, Mévouillon est situé non loin du mont Ventoux. Et à notre époque encore, Mévouillon est la capitale de cette région[33].
Par qui se transmettent la terre des Mévouillon et les origines gauloises ? La famille des Mévouillon, la plus célèbre de l'Avignonnais aux temps préféodaux et féodaux, honore particulièrement saint Pons[34].
Trois ancêtres des Mévouillon à Arles adoptent le nom de Pons[35]. Déjà au IXe et au Xe siècles les Pons d'Arles, ancêtres des Mevouillon, sont déjà connus comme princes d’Orange[36].
Le prénom Pons est donc postérieur à l'acquisition de cette terre des Baronnies ou aux liens avec cette famille. Comme il ne n'agit pas d'Odda, femme de Liebulf de Provence, certes noble dame, mais certainement descendante des Balthes, il ne peut s'agir que de la femme de Leibulf des Baux (ca 830-900).
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Ses enfants[]
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Guigó de Girona (880 - 941), Guigue, d'origine noble, ex-clerc d'Arles devenu évêque de Gérone (907-941)[38], cède dans d'étranges conditions vers 922/923 à la cathédrale d'Arles, parmi d'autres alleux, l'abbaye de Saint-André de la Cappe. Ce Guigue apparaît comme un légitimiste dans le conflit qui oppose peu de temps auparavant l'ancienne noblesse aux Bourguignons[39]. Il n'est pas possible que ce Guigue soit un descendant du comte Leibulf, car il décède en 941. Il est plutôt le fils Leibulf des Baux (ca 830-900), qui est souvent confondu avec son père.
Poly 1976, Lorsque sera réglé le contentieux de la crise, en 922/923, il [ndlr : Guigue] donnera à la cathédrale d’Arles son alleu dans ce même « pagus, l’abbaye Saint-André de la Cappe, et tout ce qui lui venait de son neveu défunt, Dalilo ; avec cette étrange condition, qui ressemble fort à de la simonie : son autre neveu, le clerc arlésien Arnoux, possédera ces biens « jusqu’à ce qu’il parvienne, s’il plait à Dieu, au rang épiscopal » . L’archevêque, le bourguignon Manassès, savait ce qu’il lui restait à faire s’il voulait que la donation devint effective ; il plut à Dieu qu’Arnoux devienne évêque d’Apt, et Manassès put donner l’abbaye en bénéfice – en juin 923 – à l’un de ses fidèles, l’ex-clerc arlésien Drogon, évêque ruiné de Marseille.
Autre fils, dans le pagus d'Arles, qui a un fils Dadilo, dont l'oncle Guigó de Girona (880 - 941) hérite le 23 mars 926 :
... Ajambert est comme lui exilé. Ils retrouvent parmi les émigrés provençaux leur compatriote Guigó de Girona (880 - 941), devenu évêque de Gérone. En 897, Guigue, alors clerc arlésien, est encore auprès de l'archevêque Rostaing, mais en 908, au moment où il est consacré évêque de Gérone par Arnuste, on nous dit qu'il arrive de la cour royale ; c'est donc lui aussi un légitimiste et il a été obligé de chercher hors de Provence la place à laquelle sa noblesse le destinait. Lorsque sera réglé le contentieux de la crise, en 922/923, il donnera à la cathédrale d'Arles son alleu dans ce même pagus, l'abbaye de S. André de la Cappe, et tout ce qui lui venait de son neveu défunt, Dadilo ; avec cette étrange condition, qui ressemble fort à de la simonie : son autre neveu, le clerc arlésien Arnoux, possédera ces biens « jusqu'à ce qu'il parvienne, s'il plaît à Dieu, au rang épiscopal. L'archevêque, le bourguignon Manassès, savait ce qui lui restait à faire s'il voulait que la donation devint effective ; il plût à Dieu qu'Arnoux devienne évêque d'Apt, et Manassès put donner l'abbaye en bénéfice — en juin 923 — à l'un de ses fidèles, l'ex-clerc arlésien Drogon, évêque ruiné de Marseille[40].
Arnoux évêque d'Apt 960 — 964 : Arnulphe 966 — 972 : Arnoux Vraisemblablement parent de la famille Castellane-Lacoste. D'après Jean-Pierre Poly, ex-clerc arlésien, il devient évêque à la suite d'une donation conditionnelle de biens de son oncle, Guigue ex-clerc d'Arles et évêque de Gérone, à la cathédrale d'Arles
Poncius l'ancien d'Arles,, Poncio, Pons, est né vers 870 certainement à Arles, dans le quartier du Bourg-Neuf (du fait des Templiers après 1140 le quartier porte le nom de la Cavalerie[41]). Il est peut-être mort, en 955, à Orange. Il est inhumé à Orange dans l'église Saint-Florent.
Poncius l'ancien d'Arles, est viguier d'Arles, époux de Blismodis. Ce seigneur arlésien de la première moitié du Xe siècle est l'un des plus anciens ancêtres de la Maison des Baux[42], mais aussi, selon Marie-Pierre Estienne, auteur des Châteaux, villages, terroirs en Baronnies Xe-XVe siècle, l'ancêtre des Mevouillon et de la Première maison des comtes d’Orange-Nice[43]. Déjà au IXe et au Xe siècles ces ancêtres des Mevouillon sont connus comme princes d’Orange[44].
La famille des Mevouillon, la plus célèbre de l'Avignonnais aux temps préféodaux et féodaux, honore particulièrement saint Pons[45].
Un groupe familial de quatre générations, issu d'un certain Poncius, marié à Blismodis, apparaît dans la seconde moitié du Xe siècle dans la région d'Arles et forme, d'après J.P. Poly, les premiers chaînons de la dynastie des Mevouillon. D'autre part, une fratrie composée de huit sujets dont deux évêques de la région, se révèle en 1023, dans une importante donation autour de Vaison et de Nyons, dans la Drôme[46]. Les historiens modernes ont tendance à faire des huit frères précités les descendants de Ponciuss et Blismodis et les ascendants des Mévouillon.
Certes le Président Berge attribue aux Vicomtes de Marseille une origine commune avec les seigneurs des Baux, mais cela reste à démontrer[47].
L'hypothèse la plus récente et la plus convaincante est celle de Jean-Pierre Poly : Pons II d'Arles, précariste de Nyons, propriétaire à Vaison, est le fils de Poncius l'ancien d'Arles, et Blismodis, et le frère de Humbert, évêque de Vaison, et d'Ison, propriétaire à Uzès, tous les trois précaristes de Mornas[48].
Au niveau de ses petits-enfants Laugier de Nice, Pons III, Féraud de Nice, Pierre de Mirabel, Arnoul, Gérard, Raoul et Rambaud (XIe s.). (ca 960 - après 1023)[49], ils sont de grand propriétaires dans le Nyonsais. Le rang d'évêques de certains de ses fils et petits-fils permettent de rattacher cette famille à un statut social élevé, à un gentilice et à une mutation de la titulature à la fin du XIe siècle[50].
A propos des vicomtes de Marseille Barthélémy croie qu'ils descendent directement par leur père Ison d’Arles (ca 900 - 942) et leur ancêtre le comte Liebulf de Provence[51].
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NOTES ET RÉFÉRENCES[]
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- ↑ The first Count of Les Baux, whose name alone we know, was Leibulf, whose son Pons, or Poncius l'ancien d'Arles, owned large lands in Argence Old Provence - Page 127, de Theodore Andrea Cook - 1905.
- ↑ Les Baux de Provence - Page 6. Lucien Bély · 2003.
- ↑ Histoire de la maison des Baux, Noblemaire, Gustave (1832-19..), E. Champion (Paris) : 1913.
- ↑ Pierre Conso, Les Seigneurs des Baux. Xe XVe siècles, Tarascon, éd. des Consuls, 2010.
- ↑ Bulletin de la Société d’études scientifiques et archéologiques de Draguignan et du Var, Volumes 16 à 17, C. et A. Latil, 1887.
- ↑ Fernand Benoit, Les Baux, éd. Henri Laurens, coll. Petites monographies des grands édifices de la France, Paris, 1928.
- ↑ Old Provence - P. 127, Theodore Andrea Cook - 1905.
- ↑ Gran enciclopèdia catalana, Guiu
- ↑ Jehan aux Baux-de-Provence, J. Martin, B. Fauviaux, Y. Plateau, Casterman. Bande dessinée - 10/04/2008.
- ↑ Grand armorial du Comtat Venaissin, Vaucluse, Principauté d'Orange Famille des BAUX ou de BAUX (del Balzo)
- ↑ Grand armorial du Comtat Venaissin, Vaucluse, Principauté d'Orange Famille des BAUX ou de BAUX (del Balzo)
- ↑ Aux marges méditerranéennes de la Gaule mérovingienne
- ↑ Three Bernards Sent South to Govern II: Counties of the Guilhemid Consanguinity, Volume 12 de Archive for Medieval Prosopography, Donald C. Jackman, Enlaplage, 2015.
- ↑ Histoire de la Provence...., La Provence des origines à l'an mil, histoire et archéologie, Paul-Albert Février, Ouest-France 1989.
- ↑ Février, Paul-Albert, La donation faite à Lérins par le comte Leibulfe Provence Historique, Vol. VI. 1956.
- ↑ "Medieval Lands"
- ↑ Vicomtes et Vicomtés, Tempus (Toulouse), Hélène Débax, Presses Univ. du Mirail, 2008.
- ↑ Joseph Hyacinthe Albanés, Gallia christiana novissima- 1901.
- ↑ Février, Paul-Albert, La donation faite à Lérins par le comte Leibulfe Provence Historique, Vol. VI. 1956.
- ↑ L'âge vivant ..., Volume 266, Eliakim Littell, Robert S. Littell, Making of America Project, Living Age Co. 1910.
- ↑ Edward Gibbon, Histoire de la décadence et de la chute de l'Empire romain chapitre 30, note de bas de page 4.
- ↑ Aux marges méditerranéennes de la Gaule mérovingienne.
- ↑ Jean-Pierre Poly, La Provence et la société féodale 879-1166, Bordas, Paris, 1976.
- ↑ El Domini carolingi a Catalunya, Volume 1 de Catalunya carolíngia, Volume 35 de Memòries de la Secció Històrico-Arqueològica, Jaume Sobrequés i Callicó, Institut d'Estudis Catalans, 1986.
- ↑ Pierre Conso, Les Seigneurs des Baux. xe – xve siècles, Tarascon, éd. des Consuls, 2010.
- ↑ Inventaire chronologique et analytique des chartes de la Maison de Baux
- ↑ Histoire de la maison des Baux, Noblemaire, Gustave (1832-19..), E. Champion (Paris) 1913.
- ↑ Les origines de la famille Mévouillon
- ↑ Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Dictionnaire des pays et provinces de France, Bordeaux, Éditions Sud-Ouest, 2000, 349 p. (ISBN 978-2-87901-367-1).
- ↑ Séderon des origines à la fin du 19e siècle, Lou Trepoun (1989)
- ↑ L'arrondissement de Nyons : histoire, topographie, statistique. D'Arpajon à Mirabel, Lacroix, André (1824-1910), Céas et fils (Valence) 1888-1901.
- ↑ Essai sur la statistique, l'histoire et les antiquités du département de la Drôme, Delacroix, 1817.
- ↑ Bulletin de la Société d'archéologie et de statistique de la Drôme, 1909.
- ↑ L'Auvergne et ses marges (Velay, Gévaudan) du VIIIe au XIe siècle: la fin du monde antique, Christian Lauranson-Rosaz, Les Cahiers de la Haute-Loire, 1987.
- ↑ Marie-Pierre Estienne, Châteaux, villages, terroirs en Baronnies Xe-XVe siècle, Université de Provence, 2004.
- ↑ The Cambridge Illustrated History of the Middle Ages: 950-1250, Robert Fossier, Stuart Airlie, Janet Sondheimer, Robyn Marsack, Cambridge University Press, 1986, p.21.
- ↑ Joan Badia i Homs, L'arquitectura medieval a l'Empordà, 2a ed., 2 vols., Girona, Diputació Provincial de Girona, 1985, vol. II-B.
- ↑ Gran enciclopèdia catalana, Guiu
- ↑ Jean-Pierre Poly, La Provence et la société féodale 879-1166, Bordas, Paris, 1976.
- ↑ La Provence et la société féodale : 879-1166, contribution à l'étude des structures dites féodales dans le Midi. Poly, Jean-Pierre (1941-....). 1976.
- ↑ Chroniques de Haute-Provence: bulletin de la Société Scientifique et Littéraire des Alpes de Haute-Provence, Chroniques de Haute-Provence, 1996, no.330-331, p.132.
- ↑ Pierre Conso, Les Seigneurs des Baux. xe – xve siècles, Tarascon, éd. des Consuls, 2010.
- ↑ Châteaux, villages, terroirs en Baronnies Xe-XVe siècle, Hors collection, Marie-Pierre Estienne, Presses universitaires de Provence, 2013.
- ↑ The Cambridge Illustrated History of the Middle Ages: 950-1250, Robert Fossier, Stuart Airlie, Janet Sondheimer, Robyn Marsack, Cambridge University Press, 1986, p.21.
- ↑ L'Auvergne et ses marges (Velay, Gévaudan) du VIIIe au XIe siècle: la fin du monde antique, Christian Lauranson-Rosaz, Les Cahiers de la Haute-Loire, 1987.
- ↑ Recueil des chartes de l'abbaye de Cluny, désormais CLU.
- ↑ Le rôle de la Vicomté de Marseille dans la formation du Comté de Provence et l'origine de ses vicomtes
- ↑ LDP p. 78 et ss. Partie du tableau de filiation Les Orangeois extrait de J.-P. Poly, L'autre nom du comte Raimon, La Catalogne... 1991. p. 77, cité par Eliana Magnani. MONASTÈRES ET ARISTOCRATIE EN PROVENCE -MILIEU Xe - DÉBUT XIIe SIECLE. Lit Verlag, 10, 1999, Vita Regularis. Ordnungen und Deutungen religiosen Leben im Mittelalter, Gert Melvillle, 3-8258-3663-0.
- ↑ Mémoires et documents, Société de l'Ecole des chartes, Libraire Droz, 1908, Notes sur l'article: v.8, p.36.
- ↑ Châteaux, villages, terroirs en Baronnies Xe-XVe siècle, Hors collection, Marie-Pierre Estienne, Presses universitaires de Provence, 2013.
- ↑ Inventaire chronologique et analytique des chartes de la maison de Baux, Louis Barthélemy, 1882.