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François II d'Allonville d'Oysonville
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Députés de la Noblesse, chevaliers de l'ordre du roi aux Etats-Généraux d’Orléans (1560 - 1561).
16 octobre 1588 : Les États généraux débutent à Blois. Il est député de la noblesse d'Estampes.
François II d'Allonville d'Oysonville est né après 1529 au château d’Oysonville et mort en 1615[1][2].
François II d'Allonville d'Oysonville est chevalier de l’Ordre du Roy, comme certains de ses ancêtres. Il combat en Italie et pendant les guerres de religion. Gentilhomme ordinaire de la chambre du Roi, député de la noblesse aux Etats-Généraux d’Orléans (1560 - 1561) à Orléans (voir gravure Extrait - Députés de la Noblesse, chevaliers de l'ordre du roi et député de la noblesse d'Estampes aux États généraux de 1588-1589 à Blois[3][4], gouverneur des villes et duchés d'Étampes, il a l’honneur de recevoir plusieurs fois Henri IV dans le château de sa famille à Oysonville.
François II d'Allonville est un capitaine catholique qui joue un grand rôle pendant les guerres de la Ligue[5].
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Procession de la ligue dans l'île de la Cité, par François II Bunel, fin du XVIe siècle, musée Carnavalet, Paris.
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BIOGRAPHIE[]
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Famille, château, fiefs[]
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Eglise de Vertron (Montacher).
Son frère, Antoine d'Allonville du Plessis-Saint-Benoît et son épouse. Cette famille d'Allonville est l'une des plus anciennes de la Beauce, selon les Œuvres de Fénélon[6].
On sait peu de choses sur les origines du château d'Oysonville, bon nombre d’archives des lieux ayant été brûlées pendant la Révolution Française. Au XVe siècle, le domaine d’Oysonville consiste en une maison forte et basse-cour, ung cloz de vignes contenant troys arpens, une garenne (enclos à gibier) item ung four (extrait archives d’Oysonville). Vers 1450, le château est brûlé presque entièrement par les armées anglaises commandées par le Comte de Schrewsbury. Sa reconstruction débute aussitôt après par Charles d'Allonville d'Oysonville, Baron d’Oysonville. Au début du règne d'Henri IV, il est achevé par son fils petit-fils François II d'Allonville d'Oysonville, avec quelques modifications et en y laissant les parties respectées par l’incendie[7].
François II d'Allonville d'Oysonville est le fils de François d'Allonville d'Oysonville et Louise de Buz. Au XVe siècle, François d'Allonville d'Oysonville, continue la reconstruction du château d'Oysonville, préalablement brûlé par les Anglais.
Cette branche de la Maison d'Allonville est connue sous le nom de D'Allonville d'Oysonville. Mais Antoine d'Allonville du Plessis-Saint-Benoît l'un des frères de François II, est la tige de la sous-branche des D'Allonville du Plessis-Saint-Benoît.
François II d'Allonville d'Oysonville est seigneur d’Oisonville et de Vertron (hommage 1er avril 1557), du fait en partie de sa deuxième épouse Jeanne de Billy (1540 - 14 avril 1620), dame de Vertron[8][9]. La paroisse de Montacher est le siège d'un fief et d'une seigneurie, qui porte primitivement le nom de Vertron. Elle sera par la suite démembrée entre une série d'héritiers. Vertron est une coseigneurie appartenant à la famille d'Allonville depuis le XIe siècle, selon le Quid. Outre le hameau de Vertron, ce fief est composé de ceux des Entonnoirs, des Brissets, des Étangs, dans la paroisse de Montacher. Les d'Allonville perçoivent 100 livres sur les droits seigneuriaux, afferment les bois, étangs et les terres. Ils touchent aussi les dîmes et les champarts. Cette terre leur rapporte 2.684 livres tous les ans jusqu'à la Révolution[10]. François II d'Allonville rend hommage du fief de Vertron, pour lui et ses frères et sœurs, le 1er avril 1557[11].
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Guerres, honneurs, député de la noblesse...[]
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Henri IV approvisionnant les Parisiens contre l'avis de ses officiers. François II d'Allonville est un chef des ligueurs devenu royaliste.
Les d'Allonville sont chevaliers de l'Ordre de Saint-Michel (du Roy).
François II d'Allonville d'Oysonville est gouverneur à la fin de sa vie des villes et duchés d'Étampes.
François II d'Allonville d'Oysonville est Gentilhomme ordinaire de la Chambre du Roi[12].
Il joue un rôle assez important dans les Guerres d'Italie, en particulier la Dixième guerre d’Italie (1552 - 1556]) et la Onzième guerre d’Italie (1556 - 1559), sous Henri II (1547 - 1559)[13][14]. Il est connu aussi comme l'un des chefs de la ligue pendant les guerres de religion[15][16]. François II d'Allonville joue un grand rôle pendant les guerres de la Ligue[17], puis rallié à Henri IV.
François II d'Allonville a l’honneur d’être fait chevalier de l'Ordre de Saint-Michel (du Roy), le 26 septembre 1570, comme certains des membres de sa Maison[18] : Antoine d'Allonville du Plessis-Saint-Benoist, François d'Allonville d'Oysonville, Jehan II d'Allonville de Louville11), Jehan II d'Allonville de Réclainville.
Comme on l'a vu il est député de la noblesse aux États généraux de 1560 à Orléans, et député du bailliage et duché d'Étampes, secrétaire de la chambre de la noblesse aux États généraux de 1588-1589 à Blois[19]. Jehan II d'Allonville de Réclainville, son cousin sera désigné député aux États généraux de 1593.
François II d'Allonville est gouverneur à la fin de sa vie des villes et duchés d'Étampes[20].
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Les Quatre Épis d'Or[]
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Le Château d'Oysonville est reconstruit par François d'Allonville d'Oysonville. Au début du règne d'Henri IV, il est achevé par son fils François II d'Allonville d'Oysonville, qui y reçoit son ami le roi.
Henri IV aime les paysans.
Les épis d'or font la richesse de la France.
François II d’Allonville a l’honneur de recevoir plusieurs fois le roi Henri IV dans son château de sa familial à Oysonville.
Sur François II d'Allonville et d'Henri IV, l'histoire nous rappelle l'anecdote des Quatre Épis d'Or :
Le roi apprécie beaucoup Jehan II d'Allonville de Réclainville, cousin de François II, ancien gouverneur de Chartres et de Blois, député aux États généraux de 1593. Néanmoins Henri IV préfère la compagnie de François II d'Allonville qui est chevalier de l’Ordre du Roy, et a hérité d’un très beau château à Oysonville. Au commencement du XVIIe siècle, Henri IV y séjourne régulièrement[21]. Lors de l’une ce ces visites à son ami au château d'Oysonville, Henri IV, après le déjeuner, se promène dans le parc, et se plait à admirer les plantes rares dont François II d'Allonville d'Oysonville a décoré ses plates-bandes. Henri IV s'arrête surtout devant les diverses espèces de rosiers, qui ornent les parterres, et fait compliment à son hôte sur la richesse de son jardin. Alors, un laboureur du pays, nommé Cadot, le plus riche tenancier du seigneur d'Oysonville, se hasarde de dire au roi qu'il a de bien plus belles fleurs et en plus grande quantité, et demande au monarque de le suivre, afin de les lui montrer. Henri IV est bon prince. Il consent à accompagner le laboureur. Celui-ci le conduit dans une pièce de blé en fleurs et, lui montrant les épis lui dit :
- Sire, voilà les plus belles fleurs que je connaisse.
- Tu as raison, mon ami, répond Henri, ce sont aussi celles que je préfère.
Et, de retour à Paris, le Roi enverra au laboureur quatre épis de blé en or, que les descendants de ce Cadot ont conserveront pendant longtemps.
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SES MARIAGES ET SA DESCENDANCE[]
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Mariages[]
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Blason des Billy de Prunay.
Tombeau de marbre noir de Geoffroi de Billy, neveu de François II d'Allonville d'Oysonville.
François II d'Allonville épouse d'abord, par contrat du 19 octobre 1559, à Étampes, Jeanne du Monceau (1540 - 11 novembre 1560 château d'Oysonville, dame d'Oysonville. Elle est la fille de François du Monceau, seigneur de Saint-Cyr et de Fontainebleau (en partie), chevalier de l'Ordre de Saint-Michel (du Roy), lieutenant de la compagnie des cent gentilshommes de la maison du roi. Sa mère Antoinette de Courtenay est fille de Jehan de Courtenay, sieur de Blenau[22]. Sa dalle funéraire de Jeanne du Monceau est en l'église d'Oysonville.
- ép. 1) (c.m.) 19/10/1559 (Etampes) Jeanne du Monceau ° 1540 + avant 1564 (Oisonville) (fille de François, seigneur de Saint-Cyr et Fontainebleau, lieutenant de la compagnie des Cent Gentilhommes de la Maison du Roi, et d’Antoinette de Courtenay)[23].
- ép. 2) (c.m.) Veuf, François II d'Allonville d'Oysonville se remarie, par contrat du 14 mai 1564, à Nangis-le-Chastel, avec Jeanne de Billy (1540 - 14 avril 1620) dame de Vertron (fille de Louis, seigneur de Prunay Le-Gillon, chevalier de l’Ordre du Roi, et de Marie de Brichanteau ; veuve de René d’Anglure, vicomte d’Estoges ; nièce de Geoffroi de Billy, Evêque-duc de Laon)[24].
Jeanne de Billy (1545 - 14 avril 1620), dame de Vertron, fille de Louis de Billy, seigneur de Prunay-le-Gillon, gouverneur pour le roi de la ville de Guise, chevalier de l'Ordre de Saint-Michel (du Roy), et de Marie de Brichanteau. Elle est la nièce de Geoffroy de Billy, évêque et duc de Laon, Pair de France et de l’écrivain Jacques de Billy. La dalle funéraire de ses beaux-parents Louis de Billy et Marie de Brichanteau est en l'église de Saint-Denis de Prunay-le-Gillon.
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Descendance[]
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François II et Jeanne du Monceau n'ont qu'une fille[]
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Blason de la Maison de Rochechouart.
- Gabrielle d'Allonville, dame du Monceau, de Saint-Cyr, de Fontainebleau, en partie, terre qu'elle vend à Henri IV. Gabrielle d’Allonville, dite dame de Monceau, touche en 1602 - 1608 des rentes d'une obligation, contractée par Michel de L'Hospital, le 23 septembre 1564[25][26].. Gabrielle se marie avec Guy de Rochechouart, fils de Guillaume de Rochechouart et Antoinette de Jaucourt, le 5 septembre 1577. Guy de Rochechouart est Seigneur de Châtillon-le-Roi et capitaine d'une compagnie de 50 hommes d'armes. La Maison de Rochechouart est la famille la plus ancienne de France après la Maison royale[27]. Cette puissante dynastie d'époque carolingienne remonte à Foucher de Limoges, fidèle de Charles II le Chauve, qui devient vicomte de Limoges en l'an 876. Ses descendants, les vicomtes de Limoges, les Rochechouart, les Mortemart et les Brosse régneront durant plusieurs siècles sur le Limousin et les terroirs périphériques. Ils serviront la France (hommes politiques, armée, fonction publique...) à travers ses différents régimes.
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François et Jeanne de Billy de Prunay ont :[]
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Vieille photo du château d'Arnancourt.
Eglise d'Arnancourt.
Geoffroy et Claude d'Allonville d'Oysonville meurent au service de Rodolphe II.
Armorial d'Hozier 1847.
Des d'Allonville succèdent leur tante, comme abbesse du couvent des Cordelières de Provins.
Couvent des Cordelières, Provins. Plaque.
Le duc, Charles-Emmanuel Ier de Savoie, fait Pierre d'Allonville cornette de ses Gardes Françaises et gentilhomme de sa chambre.
Louise d'Allonville se marie avec Jean Hurault de l'Hospital, petit-fils de Michel de L'Hospital.
L'ancien château de Cheverny, au début du XVIe s..
- Jacques d'Allonville d'Oysonville (1568 - 1668). Anne David, fille de Vincent David, lieutenant-criminel au bailliage de Troyes, président au bureau des Trésoriers de France, et Claude de Hault, épouse, par contrat du 14 septembre 1591, à Oysonville, Jacques d'Allonville, écuyer, baron d'Oysonvile, Sgr de Vertron... Celui-ci succède à ses frères et vend sa terre d'Oysonville). Noble homme demeurant à Chaource 1628, écuyer du roi, Jacques est le père d'Edmé d’Allonville d’Arnancourt, de Vertron et de La Chaise, capitaine-lieutenant de la compagnie d’Origny (1642) Intendant en Champagne (12/1663) (maintenu en noblesse par Caumartin, Intendant de Champagne 1668), ancêtre de la branche des D'Allonville d'Oysonville, puis d'Arnancourt[28].
- Geoffroy d'Allonville d'Oysonville (1565 - 1599). Né au château d'Oysonville, il commande une compagnie de chevau-légers et porte le titre de baron d'Oysonville. Il se met au service de l’empereur Rodolphe II du Saint-Empire, et meurt en 1599 lors de la Bataille de Sellenberk[29].
- Claude d'Allonville d'Oysonville (1569 - 1602), né au château d'Oysonville, est seigneur de Mauregard et baron d'Oysonville. Il se met au service de l’empereur Rodolphe II, et meurt en 1602 dans une bataille en Hongrie, contre les turcs Ottomans. Après un siège de trois semaines, les Turcs reprennent la ville de Székesfehérvár, qui était aux mains des Impériaux[30].
- Jeanne d'Allonville (1572 - 1636) succède indirectement à sa tante, Marguerite de Billy, morte en 1596, comme abbesse de l'abbaye du Mont-Sainte-Catherine de Provins, connue aussi sous le nom de couvent des Cordelières de Provins, laquelle a, après un incendie reconstruit le monastère. Jeanne d'Allonville dirige l'abbaye pendant quarante ans[31], donc à partir de 1596 ou 1597. L'Histoire abrégée… ne donne à son gouvernement qu'une durée de trente trois ans, ce qui, ou bien porte la date de son entrée en fonction vers 1603, ou laisse supposer une interruption très possible de six années environ. L'abbesse d'Allonville gouverne le monastère dans des circonstances difficiles. Il s'est introduit parmi les religieuses des désordres étranges, dont les fauteurs et les complices sont les Cordeliers qui dirigent la maison. Ils font donc leur possible pour écarter Jeanne d'Allonville au profit d'une de leurs créatures, et, plus tard, quand elle essaie des remèdes qu'elle juge nécessaires et fait venir, dans la même intention, une religieuse d'un monastère non contaminé, ils s'opposent à toute réforme. Lorsque meurt Jeanne d'Allonville, en 1636, pour diminuer les pouvoirs de l'abbesse, les cordeliers décident qu'elles ne dureront que trois ans, et, à Anne d'Allonville, sœur de Jeanne, élue pourtant à une énorme majorité, ils opposent une religieuse sur qui ils savent pouvoir compter[32].
- Anne d'Allonville (1580 - 1645), abbesse des cordelières au Mont Sainte-Catherine les Provins, connue aussi sous le nom de couvent des Cordelières de Provins, à la mort de sa sœur, Jeanne d'Allonville, en 1636.Anne gouverne cependant l'abbaye pendant trois périodes successives, de 1636 à 1645. D'ailleurs, la réforme ne se fera qu'un quart de siècle plus tard lorsque sera publié le Factum d'Alexandre Varet, vicaire général de Sens, qui dénoncera les désordres du couvent. Le Gallia christiana[33] et Bourquelot[34] citeront une abbesse d'Ossonville, élue en 1597 et morte en 1636. C'est là semble t-il, un dédoublement dû à quelque mauvaise lecture, de Jeanne d'Allonville, dame d'Oysonville. Jeanne d'Allonville, vers 1630, dresse le cartulaire de son abbaye. Ce travail, qui sera continué après sa mort, restera manuscrit. Il sera conservé à la bibliothèque de Provins, sous le numéro 242. D'une histoire du même monastère qui est écrite par Anne d'Allonville et continuée par l'abbesse Anne de Montbron, il ne restera que des fragments dans le manuscrit n.243 dans la même bibliothèque[35].
- Odette d'Allonville, religieuse à Pont-Sainte-Maxence[36].
- Étienne d'Allonville, seigneur d'Ezeaux, près d'Étampes.
- Pierre d'Allonville est seigneur de Vertron. Le duc, Charles-Emmanuel Ier de Savoie, le fait cornette de ses Gardes et gentilhomme de la chambre. Quand le Savoyard investit la ville de Genève, capitale spirituelle du calvinisme, le 11 décembre 1602 il mène cette entreprise avec des mercenaires menés par d'Albigny, et sa garde. Pierre d'Allonville meurt en Savoie[37].
- Louise d'Allonville d'Oysonville se marie avec Jean Hurault de l'Hospital (1576 - 1636), fils de Robert Hurault de Cheverny et Madeleine de l'Hospital, en 1600. Il est seigneur de Gommerville (Eure-et-Loir). Jean Hurault est le petit-fils de messire Michel de L'Hospital, chancelier de France. En 1637, sa veuve, Louise d'Allonville, dame de Gommerville cède ses droits et le domaine à dame Jeanne de Santeny, femme de messire Louis de Meaux. Un procès lui est intenté par Marguerite Hurault de l'Hospital, veuve de Jean de Gontault de Biron, baron de Salignac, ex ambassadeur en Turquie, par Claire de Jesse, veuve de Pierre Hurault de l'Hospital et par André Hurault de l'Hospital, baron d'Auneux.
- Françoise d'Allonville se marie avec Jacques Lenfant, fils puîné de Pierre Lenfant et Claude de Chivray, en 1609, seigneur de Chivray et de La Patrière[38].
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GÉNÉALOGIE DESCENDANTE[]
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Charles d'Allonville d'Oysonville (1400 - 1479) x Bertrande de Richebourg (1440 - 1528) | | --> Simon d'Allonville (1458 - 1533) x Étiennette d’Autry (1460 - 1493) | | --> François d'Allonville d'Oysonville (1486 - 1536) x Louise de Buz (1510 - ) | | --> Antoine d'Allonville du Plessis-Saint-Benoist (1538 - 1598) | x Jacqueline de L’Isle | | | | --> Sous-branche des d'Allonville du Plessis-Saint-Benoist. | | --> François II d'Allonville d'Oysonville (1529 - 1615) x Jehanne du Monceau (1540 - 1560) x Jeanne de Billy (1544 - 1605) | | --> Jacques d'Allonville d'Oysonville (1568 - 1630) x Anne David | | --> Edmé d'Allonville d'Arnancourt (1592 -1664) x Antoinette de Hérisson du Vigneux | | --> François III d'Allonville d'Arnancourt (1653 - 1694) x Madeleine de Masseron d’Amboise | | --> Edmé II d'Allonville (1694 - 1783) x Antoinette Sauvage du Chatelier (1713 - 1793) Edmé II d'Allonville (1694 - 1783) x Antoinette Sauvage du Chatelier (1713 - 1793) | | --> Armand Jean d'Allonville (1732 - 1811) | x Marie Françoise Jehannot de Bartillat (1744 - 1817) | | | | --> Armand François d'Allonville (1764 - 1832) | | x 1) Charlotte Le Vavasseur (1769 - 1799) | | | | | | --> Marie-Louise d’Allonville (1794 -1877) | | | x Alexandre Louis d’Allonville (1774 - 1852) | | | | | x 2) Céleste Octavie de Munnich (1785 - 1851) | | | | | | --> Pierre d’Allonville (1821 - 1877) | | x Valérie de Lauzières-Thémines | | | | | | --> Emmanuel Armand d'Allonville (1841 - 1912) | | | | --> Alexandre Louis d’Allonville | | | --> Armand-Octave-Marie d’Allonville (1809 - 1867) | | | | --> Louis d'Allonville (1771 - 1814) | |--> Antoine Charles Augustin d'Allonville (1735 - 1792) | |--> Jean Nicolas d'Allonville (1735 - 1792)
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NOTES ET REFERENCES[]
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- ↑ 2004 Etienne Pattou Famille d’Allonville Branches Oysonville, Louville, Réclainville & Plessis-Saint-Benoît.
- ↑ Histoire de Sebastien Le Pelletier: prêtre ligueur et maître de grammaire des enfants de chœur de la cathédrale de Chartres pendant les guerres de la Ligue (1579-1592), Sebastien Le Pelletier, Xavier Le Person, Librairie Droz, 2006.
- ↑ Pourtraict de l'assemblée des estatz, tenuz en la ville d'Orléans, au mois de janvier mil cinq cens soixante. Etats généraux 1560-1561 ; Orléans)
- ↑ Recueil des cahiers généraux des trois ordres aux États généraux d'Orléans en 1560, sous Charles IX.; de Blois en 1576, de Blois en 1588, sous Henri III.; de Paris en 1614, sous Louis XIII ..., Etats généraux, Barrois l'aîné, 1789
- ↑ Histoire de Sebastien Le Pelletier: prêtre ligueur et maître de grammaire des enfants de chœur de la cathédrale de Chartres pendant les guerres de la Ligue (1579-1592), Sebastien Le Pelletier, Xavier Le Person, Librairie Droz, 2006.
- ↑ Œuvres de Fénélon, François de Salignac de La Mothe-Fénelon, Augustin Pierre Paul Caron, Jean Edmé Auguste Gosselin, Publié par J. A. Lebel, 1829, p.334.
- ↑ OYSONVILLE, Bienvenue aux Portes de la Beauce
- ↑ 2004 Etienne Pattou Famille d’Allonville Branches Oysonville, Louville, Réclainville & Plessis-Saint-Benoît.
- ↑ Histoire de Sebastien Le Pelletier: prêtre ligueur et maître de grammaire des enfants de chœur de la cathédrale de Chartres pendant les guerres de la Ligue (1579-1592), Sebastien Le Pelletier, Xavier Le Person, Librairie Droz, 2006.
- ↑ Cahiers de doléances du bailliage de Sens pour les États généraux de 1789, pub. par Charles Porée, archiviste du département de l'Yonne, p. 295/297.
- ↑ 2004 Etienne Pattou Famille d’Allonville Branches Oysonville, Louville, Réclainville & Plessis-Saint-Benoît.
- ↑ Histoire de Sebastien Le Pelletier: prêtre ligueur et maître de grammaire des enfants de chœur de la cathédrale de Chartres pendant les guerres de la Ligue (1579-1592), Sebastien Le Pelletier, Xavier Le Person, Librairie Droz, 2006.
- ↑ Société d'archéologie de Rambouillet. Mémoires et..., t.21, Famille d'Allonville
- ↑ 2004 Etienne Pattou Famille d’Allonville Branches Oysonville, Louville, Réclainville & Plessis-Saint-Benoît.
- ↑ Société d'archéologie de Rambouillet. Mémoires et..., t.21, Famille d'Allonville
- ↑ 2004 Etienne Pattou Famille d’Allonville Branches Oysonville, Louville, Réclainville & Plessis-Saint-Benoît.
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- ↑ Recueil de pièces originales et authentiques, de Duval, Charlemagne Lalourcé, Lalourcé fils, p.36.
- ↑ Histoire de Sebastien Le Pelletier: prêtre ligueur et maître de grammaire des enfants de chœur de la cathédrale de Chartres pendant les guerres de la Ligue (1579-1592), Sebastien Le Pelletier, Xavier Le Person, Librairie Droz, 2006.
- ↑ Archives du diocèse de Chartres, publié par Charles Métais, p.31.
- ↑ Mémoires de la Société archéologique d'Eure-et-Loir, de Société archéologique, p.11.
- ↑ 2004 Etienne Pattou Famille d’Allonville Branches Oysonville, Louville, Réclainville & Plessis-Saint-Benoît.
- ↑ 2004 Etienne Pattou Famille d’Allonville Branches Oysonville, Louville, Réclainville & Plessis-Saint-Benoît.
- ↑ BNF, P.O 962.
- ↑ François II d’Allonville et 1) Jeanne du Monceau et 2) Jeanne de Billy
- ↑ Encyclopédie Universalis
- ↑ François II d’Allonville et 1) Jeanne du Monceau et 2) Jeanne de Billy
- ↑ Société d'archéologie de Rambouillet. Mémoires et..., t.21, Famille d'Allonville
- ↑ François II d’Allonville et 1) Jeanne du Monceau et 2) Jeanne de Billy
- ↑ Factum…
- ↑ François II d’Allonville et 1) Jeanne du Monceau et 2) Jeanne de Billy
- ↑ t.XII. col.255
- ↑ Histoire de Provins, t.ii,p.209
- ↑ Société d'archéologie de Rambouillet. Mémoires et..., t.21, Famille d'Allonville.
- ↑ François II d’Allonville et 1) Jeanne du Monceau et 2) Jeanne de Billy
- ↑ François II d’Allonville et 1) Jeanne du Monceau et 2) Jeanne de Billy
- ↑ François II d’Allonville et 1) Jeanne du Monceau et 2) Jeanne de Billy