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Claude II Leclerc de Pulligny
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Les Leclerc de Pulligny (Nobiliaire de Normandie, Drigon comte de Magny · 1863.
Claude II Leclerc de Pulligny - ou Claude - est né en 1532 à Nancy. Il est décédé le 24 octobre 1598 à Pulligny, où il est enterré dans la nef de l'église.
Claude II Leclerc de Pulligny est un membre de la famille noble Leclerc de Pulligny[1]. Il est le fils de Claude Leclerc de Pulligny et de Catherine de Treves de Xirocourt, fille de Gilles de Trèves.
En 1554 il est auditeur en la cour des comptes de Lorraine, puis conseiller et trésorier général des finances ducales en 1563. Claude est valet de chambre de Charles III (1543 - 1608), duc de Lorraine et de Bar (1545 - 1608) et lui rend foi et hommage pour la terre de Cintrey[2]. Claude II Leclerc de Pulligny (1532 - 1598) est Trésorier de la compagnie du comte de Vaudémont. Nicolas de Lorraine (1524 - 1577).
Il doit quitter les États du duc de Lorraine, étant persécuté du fait de ses convictions protestantes. Il perd à la fois ses terres, ses titres de noblesse, ses fonctions, et ses privilèges[3]. Claude II Leclerc de Pulligny devient, vers 1580, le secrétaire de Charlotte Catherine de La Trémoille (1568 - 1629), princesse de Condé et de Tarente, qui épouse en 1586 du chef des huguenots, le prince Henri de Bourbon-Condé[4].
Sa deuxième épouse, Claudon Mengin de Pulligny, reste catholique[5].
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SA FAMILLE[]
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La noble Berta et son mari Folmar Ier, comte de Metz, de Bliesgau et Saargau, ont remis le domaine royal de Rodena au monastère de Mettlach en tant que dotation pieuse, gravure dorée au dos de la Mettlach Staurothek du XIIIe siècle.
Jean Le Clerc est un membre de la famille noble Leclerc de Pulligny[6].
Mengin Le Clerc, Moingins dis li clers, nous dit le Trésor des chartes de Lorraine, semble être le premier Le Clerc (ou Leclerc) connu. Mengin Le Clerc, de Deyvittei (Deyviller, Vosges, duché de Lorraine). Il vend en 1355, à Jean de Nomeny, deux parts en héritages de feu Philippin de Girecourt, écuyer, en la ville de Folz sous le château de Faucompierre, moyennant 26 petits Florins d'or[7]. Lepage avance que Faucompierre est le chef-lieu d'une seigneurie appelée Folz (Faulx)[8]. Les Le Clerc descendent par Catherine de Haute-Pierre, belle-mère de Mengin Le Clerc, des plus anciennes familles de Lorraine, de croisés et même des comtes palatins de Metz.
La première mention du château de Haute-Pierre remonte à la fin du XIIe siècle. il est alors entre les mains d'Albert de Paroye. A la fin du XIIIe siècle, il est partagé en 2 entre Jean, avoué de Nomeny, et Renaud de Neufchâtel, maris respectifs des deux filles de Liébaut de Haute-Pierre, descendant d'Albert de Paroye, sire de Haute-Pierre.
Le nom Leclerc devient au XIXe siècle Leclerc de Pulligny en partie à cause de sa parenté avec Clémence de Pulligny, selon les Mémoires de la Société des lettres, sciences et arts de Bar-le-Duc.
Article détaillé : Famille Le Clerc
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Ses ancêtres[]
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La femme de Mengin Le Clerc est une descendante des Haute-Pierre, de Toullon, de Paroye et des comtes palatins de Metz. Elle est la sœur de Philippin de Girecourt, écuyer, mari d'une Pulligny. Elle possède et garde le château de Faucompierre avec Mengin Le Clerc[9].
La Famille Le Clerc dans L'Armorial général de la Touraine[10].
Alix Le Clerc (1576 - 1622). Affiche : Alix Le Clerc : la Révolution de l'instruction.
Baie 13. Vitrail de l'église des Cordeliers offert par Catherine de Trèves et Claude Leclerc. 2e quart du XVIe siècle[11].
Claude Le Clerc naît dans une famille noble. Jehan Leclerc de Pulligney est anobli le 3 janvier 1464[12]. Il est au service des ducs de Lorraine. Jean est le petit-fils de Gilles de Trèves, Garde des Sceaux et homme de confiance des ducs de Lorraine. Il est également le frère de Pierre Leclerc du Vivier, conseiller et surintendant des finances du cardinal Charles de Lorraine (1567 - 1607) et du duc Philippe-Emmanuel de Lorraine[13], père entre autres de Chrestienne Le Clerc du Vivier et de la grand-mère maternelle de Marie Madeleine de Castille, femme du célèbre Nicolas Fouquet. On voit, d'après les relations de son oncle avec Charles III de Lorraine, qu'il est aussi son banquier. Les lettres du duc montrent, par exemple, que pour la dote de Madame la grande duchesse, Christine de Lorraine, qui se marie le 2 mai 1589, Pierre Leclerc du Vivier avance la somme[14].
Cette famille Le Clerc', ou Leclerc de Pulligny (1355 - 2019), ou Leclerc, est une famille de la noblesse de Lorraine, mais dont les membres pendant presque sept siècles vont devoir affronter bien des épreuves du fait de leur conversion au protestantisme ou de leurs idées révolutionnaires en 1789.
Saffroy ne se trompe pas quand il écrit :
- Les Le Clerc ont perdu leurs titres du fait des guerres de religion[15].
Effectivement son père est écuyer, seigneur de Pulligny, Ceintrey, Voinémont, Malaucourt-sur-Seille, Chamagne, Érize-Saint-Dizier, Saint-Dizier... Mais, calviniste il perd ses titres, mais aussi ses biens. Cependant il apostasie et ne meurt pas en exil, mais à Pulligny.
Pourtant, la Famille Le Clerc, est d'origines authentiquement nobles. Ils figurent dans Bibliographie généalogique, héraldique et nobiliaire de la France (Paris, 1968-1988). Une douzaine de pages leur sont consacrées dans Le Calendrier de la Noblesse de Touraine, de 1868, de Carré de Busseroles. François-Alexandre de la Chenaye-Aubert parle d'eux et de leurs alliances, et Badier aussi dans son Dictionnaire de la noblesse. Il figure tout naturellement dans le Nobiliaire de Lorraine et du Barrois d'Ambroise Pelletier, car ils vivent longtemps dans le du Barrois. Nous les retrouvons dans le Grand dictionnaire historique de Louis Moréri, l'Armorial de Rielstrap. Leurs blasons figurent aussi chez Charles René d'Hozier, comme celles de tous leurs familles alliées. De nos jours les Le Clerc sont présents dans différents numéros d’Héraldique et généalogie, et dans Le Nobiliaire de Normandie d'Edouard de Magny. Les lettres de noblesse de leurs ancêtres sont déposées aux archives de la préfecture du département de la Meurthe. À voir aussi sur les Le Clerc :
¤ Comte Doynel de La Sausserie, Postérité de Philippe Louis Thibault de Senneterre, marquis de la Carte et de la Ferté,
¤ d’Armagnac del Cer, comte de Puymege, Les vieux noms de la France du Nord et de l’Est,
¤ Tisseron, Annales historiques, nobiliaires et biographiques,
¤ Répertoire des généalogies françaises imprimées du Colonel Arnaud.
Son oncle, Pierre Leclerc du Vivier a une descendance illustre.
Article détaillé : Mengin Le Clerc
Article détaillé : Alix Le Clerc
Article détaillé : Pierre Leclerc du Vivier
Article détaillé : Jean Le Clerc
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Mengin Le Clerc ∞ Catherine de Gircourt │ ├── Colin Le Clerc, échevin ∞ N des Petitgoust anoblis │ ├── Jacques Le Clerc, conseiller │ ├── Jehan Leclerc de Pulligney ∞ N de Pulligny ??? │ ├── Nicole Le Clerc, prêtre │ ├── Mengin II Le Clerc[16][17]. ∞ Mengette N │ ├── Thierry Le Clerc de Roville │ │ │ ├── Pierre Le Clerc de Roville[18]. │ │ ∞ Alix de Billy │ │ │ │ │ ├── Marguerite Le Clerc[19]. │ │ ∞ Nicolas de Gondrecourt, ambassadeur[20]. │ │ │ │ │ │ ... --> Descendance Gondrecourt... │ │ │ ├── Demange Le Clerc │ │ │ ├── Jean Le Clerc (1500-1602) │ │ ∞ Anne Sagay │ │ │ │ │ ├── Alix Le Clerc │ │ │ │ │ │ --> Père de six enfants[21]. │ ├── Claude Leclerc de Pulligny ∞ Catherine de Treves de Xirocourt │ │ --> Claudon Le Clerc │ x 1546 Nicolas de Lescut de Saint Germain │ │ --> Barbe Le Clerc │ x 1554 Jean de Lescut de Saint Germain[22]. │ │ │ │ ... --> Descendance de Rennel, de Rutant, de Bermand... │ │ --> Jean Le Clerc[23]. │ x 1567 Élisabeth Champenois de Nogent[24]. │ │ --> Marie Le Clerc[25]. │ x Nicolas Humbelot[26]. │ │ │ │ ... --> Descendance Humbelot... │ │ --> Pierre Leclerc du Vivier │ x 1561 Anne Fériet de Varangéville │ │ --> Claude II Leclerc de Pulligny │ x (1) 1580 Claudon Galland de Pulligny[27]. │ x (2) 1583 Claudon Mengin de Pulligny[28].
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BIOGRAPHIE[]
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Avant sa conversion[]
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Claude II Leclerc de Pulligny (1532 - 1598) est Trésorier de la compagnie du comte de Vaudémont.
Claude II Leclerc de Pulligny est mineur en 1549 (- 25 ans) et écuyer. En 1554 il est auditeur en la cour des comptes de Lorraine, puis conseiller et trésorier général des finances ducales en 1563. Claude est valet de chambre de Charles III (1543 - 1608), duc de Lorraine et de Bar (1545 - 1608) et lui rend foi et hommage pour la terre de Cintrey[29]. Claude II Leclerc de Pulligny (1532 - 1598) est Trésorier de la compagnie du comte de Vaudémont. Nicolas de Lorraine (1524 - 1577), né à Bar-le-Duc en 1524, mort le 12 juin 1577, est d'abord évêque de Verdun de 1544 à 1547 et de Metz de 1543 à 1548, puis comte de Vaudémont de 1548 à 1577, seigneur de Mercœur de 1563 à 1569, puis duc de Mercœur de 1569 à 1577. Il est fils d'Antoine, duc de Lorraine et de Bar, et de Renée de Bourbon-Montpensier.
Il devient par son mariage vers 1580 coseigneur de Pulligny.
Claude est le frère de Pierre Leclerc du Vivier. Ses héritiers confirment la cession par eux d'une part de la seigneurie de Cumières.[30].
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Après sa conversion[]
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Charlotte Catherine de La Trémoille (1568 - 1629).
Claude Leclerc de Pulligny, sa 1re épouse et le grand-père de celle-ci sont enterrés dans l'église de Pulligny[31].
Selon le Nobiliaire de Normandie :
- Il embrassa la religion protestante et perdit sa noblesse. Ses biens furent confisqués<ref>Nobiliaire de Normandie. Tome 1 / publ. par une société de généalogistes, avec le concours des principales familles nobles de la province ; sous la dir. de É. de Magny. Librairie héraldique d'A. Aubry (Rouen). 1863, p.321 et 322.</ref>. Il doit quitter les États du duc de Lorraine, étant persécuté du fait de ses convictions protestantes. Il devient le secrétaire de Charlotte Catherine de La Trémoille (1568 - 1629), princesse de Tarente, qui épouse en 1586 le chef des huguenots, le prince Henri de Bourbon-Condé[32].
Au mois de novembre 1583, Mengin Le Clerc, abbé de Saint-Thiéry au Mont-d'Or-les-Reims; Pierre Leclerc du Vivier, écuyer ; Jean Le Clerc, auditeur des Comptes de Lomat: Claude Le Clerc, écuyer ; Claudon Le Clerc, Jean de l'Escut, auditeur des Comptes ; Barbe Le Clerc, veuve de Jean de l'Escut, seigneur de Pixerécourl, aussi auditeur des Comptes, et Nicolas Humbert, à cause de Marie Le Clerc, sa femme, donnent leur dénombrement pour moitié de la terre et seigneurie de Vittonville, dite le ban de la Roue, à eux obvenue par le décès de Gilles de Trèves.
Il est parfois écrit :
- Du fait de sa foi RPR, il doit s'exiler. Il quitte Metz vers 1600, part à l'étranger et disparaît.
C'est faux. Claude n’est pas mort en exil. Selon les Mémoires de la Société d'archéologie lorraine :
- En 1598 , mourut Claude Leclerc, seigneur en partie de Pulligny, dont la pierre tombale est dans l'église de Pulligny[33].
Cette costigneurie lui vient certainementde son épouse. Il est enterré en 1598 dans la nef 'église de Pulligny, où sa plaque subsiste encore en 1893.
Les héritiers Claude Le Clerc, dont Jean Le Clerc, confirment de la cession par eux d'une part de la seigneurie de Cumières-le-Mort-Homme, le 30 juin 1598[34]. Cela n'est certainement qu'une partie de son héritage.
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MARIAGES ET DECENDANCE[]
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Claude II Leclerc de Pulligny (1532 - 1598) se marie deux fois et a huit enfants de sa deuxième épouse, Claudon Mengin de Pulligny.
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Premier mariage (1580)[]
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Claude II Leclerc de Pulligny (1532 - 1598), se marie vers 1580 avec Claudon Galland de Pulligny (1552 - 1582), inhumée, comme lui, dans la nef de l’église de Pulligny, fille de Mengin (dont le père est anobli le 15 novembre 1531) et Françoise du Gaillard[35].
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Second mariage (1583)[]
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Son beau-p(re est coseigneur de Pulligny.
Veuf il se remarie, en 1583, avec Claudon Mengin de Pulligny (1550 - 1626). Il s’agit de deux personnes totalement différentes. La première Claudon est morte, selon sa plaque mortuaire, en 1582. Jean Le Clerc naît en août 1586 d'une deuxième épouse descendante d’une famille d’ancienne noblesse qui tire son origine de la Lorraine allemande, où est située la baronnie de Mengin ou de Menghen, sur la Sarre, dont les barons sont reconnus chevaliers libres dès le XIIe siècle. Son père est capitaine dans les bandes de Piémont. Elle reste attachée à la religion catholique même après la conversion de son mari.
Sa deuxième épouse, Claudon Mengin de Pulligny, Jean Le Clerc et ses huit enfantss sont restés dans la religion romaine[36][37]. Jean Le Clerc est le fils de cette Claudon Mengin, fille de Jean, coseigneur de Pulligny, capitaine au service de la France dans les Bandes noires de Piémont[38].
Catherine de Lorraine (1573 -1648) songe à donner à Nancy un pendant au couvent des Capucins, en créant une maison pour des capucines. Précisément, de l'autre côté de la rue de Grève, s'étend un vaste terrain appartenant à la Famille Le Clerc, et celle-ci s'empresse de lui faire des offres de vente; mais la princesse, alors à court d'argent, préféré louer sur la rue de l'Église une maison appartenant à Jean des Porcelets de Maillane, maréchal de Lorraine. Elle s'y installe en 1609, avec cinq ou six filles, ses anciennes demoiselles d'honneur.
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RÉFÉRENCES[]
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- ↑ Œuvres d’artistes français, ou d’une nation proche, visibles à Rome: de la Renaissance à 2020, François Chartrain, Atramenta, 2021. ISBN 9523409425, 9789523409422.
- ↑ Les Communes de la Meurthe: journal historique des villes, bourgs, villages, hameaux et censes de ce département, Henri Lepage. Éditeur : A. Lepage, 1853, p.214.
- ↑ Œuvres d’artistes français, ou d’une nation proche, visibles à Rome: de la Renaissance à 2020, François Chartrain, Atramenta, 2021. ISBN 9523409425, 9789523409422.
- ↑ Bénézit Emmanuel, Dictionnaire critique et documentaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs de tous les temps et de tous les pays, Gründ, 1976, v.6.
- ↑ Œuvres d’artistes français, ou d’une nation proche, visibles à Rome: de la Renaissance à 2020, François Chartrain, Atramenta, 2021. ISBN 9523409425, 9789523409422.
- ↑ Œuvres d’artistes français, ou d’une nation proche, visibles à Rome: de la Renaissance à 2020, François Chartrain, Atramenta, 2021. ISBN 9523409425, 9789523409422.
- ↑ Le département de Vosges: description, histoire, statistique, Volume 6, Léon Louis, E. Busy, 1887.
- ↑ Dictionnaire du département : Vosges
- ↑ Mémoires de la Société des lettres, sciences et arts de Bar-le-Duc, 1898 (SER3,T7).
- ↑ Armorial général de la Touraine ; précédé d'une notice sur les ordonnances, édits, déclarations et règlements relatifs aux armoiries avant 1789. Tome 18, publié par la Société archéologique de Touraine, Carré de Busserolle, Jacques-Xavier (1823-1904). Impr. de Ladevèze (Tours) : 1866-1867.
- ↑ Hérold Michel. Les vitraux disparus de l'église des Cordeliers de Nancy. In: Bulletin Monumental, tome 142, n°2, année 1984. pp. 159-172
- ↑ Carré de Busseroles Le Calendrier de la Noblesse de Touraine (1868). p.272 et suivantes, et Nobiliaire de la Lorraine et du Barrois, Ambroise Pelletier, Félix Collin de Paradis, Henri Lepage, Léon Germain de Maidy, Paul Lallemand, Éditions du Palais Royal, 1974
- ↑ Étienne Delcambre, Marie-Thérèse Aubry, Inventaire-sommaire des Archives départementales antérieures à 1790 - page 114,– 1949.
- ↑ Recueil de documents sur l'histoire de Lorraine de Société d'archéologie lorraine p.76n, p.76 et 77, p.85 et suivantes.
- ↑ Bibliographie généalogique, héraldique et nobiliaire de la ... - Page 308. Gaston Saffroy · 1968.
- ↑ Il est anobli par le duc Antoine de Lorraine le 1er mars 1512 avec son frère Thierry et ils portent d'or au léopard de gueule, armé, lampassé et couronné d'azur au chef de même chargé de trois besants d'or. Société d'archéologie lorraine. Mémoires de la 1893 (SER3, VOL21 = T43), p.103.
- ↑ Hérold Michel. Les vitraux disparus de l'église des Cordeliers de Nancy. In: Bulletin Monumental, tome 142, n°2, année 1984. pp. 159-172
- ↑ Ce fief de Roville est situé à proximité d'Épinal.
- ↑ Marraine en 1606, Nobiliaire de Saint-Mihiel de Dumont, 1864, page 217, mariage Dictionnaire de la noblesse contenant les généalogies, l'histoire & la ... de François-Alexandre de La Chenaye-Aubert|La Chesnaye-Desbois]], Badier, 1774- page 278.
- ↑ Avocat à Saint-Mihiel. Conseiller à la Cour des Grands Jours. Président des Grands Jours de Commercy en 1633. Conseiller d'État de Lorraine et ambassadeur à Mayence, fils d'un conseiller d'État sous le duc Charles III, il est envoyé en Espagne en 1606. D'après François-Alexandre de La Chenaye-Aubert, il est le 8e degré issu de Humblet de Gondrecourt, administrateur des finances de Robert, comte de Bar, conseiller des États du Barrois en 1358 et décédé en 1360.
- ↑ Ascendant des familles Vaudré et Puis, banquiers d’Épinal, de Gironcourt, de Saint-Haouen, de Sury-Apemont, de Villentroys, Bastien, Delsart, Collet, Fefvrel... (Renard Edmond, La Mère Alix Le Clerc... , p.6n.)
- ↑ Vice-bailli de Nancy, Tabellion à Nancy et Lieutenant de bailli, comte du Saint-Empire romain germanique, seigneur de Pixéricourt et de Malzéville.
- ↑ Argentier de Charles III de Lorraine (1543-1608), conseiller, auditeur en la Chambre des Comptes de Lorraine. Bulletin de la Société d'archéologie lorraine, de Société d'archéologie lorraine - 1855, p.249.
- ↑ Créancière du duc qui lui constitue une rente de 367 écus (en plus de celle de 1607 qu'elle perçoit déjà de concert avec son frère), assignée comme la première sur la recette du comté de Vaudémont. Nobiliaire de la Lorraine et du Barrois, Ambroise Pelletier ; préf. d'Otto de Habsbourg-Lorraine ; introd. de Jacques Choux, Paris : Éditions du Palais royal. Descendante de Wambert de Soissons, comte de Chaumont, baron de Nogent, marié en 1243 julien avec Sophie de Rynel.
- ↑ Jean Le Clerc est allié par elle à diverses bonnes maisons de Paris.
- ↑ Son père est écuyer et seigneur de Sergueux et Langres en Champagne. Nicolas est bailli de Châtillon-sur-Seine. Il est anobli par lettres de noblesse de Charles III de Lorraine, le 23 février 1565. Source : François-Alexandre de La Chenaye-Aubert.
- ↑ Inhumée nef de l’église de Pulligny, fille de Mengin et Françoise du Gaillard. Société d'archéologie lorraine. Mémoires de la 1893 (SER3, VOL21 = T43), p.103.
- ↑ Il s’agit de deux personnes totalement différentes. La 1er Claudon est morte selon sa plaque mortuaire en 1582. Jean Le Clerc naît en 1586. Cette deuxième femme est la descendante d’une famille d’ancienne noblesse qui tire son origine de la Lorraine allemande, où est située la baronnie de Mengin ou de Menghen, sur la Sarre, dont les barons sont reconnus chevaliers libres dès le XIIe siècle. Son père est capitaine dans les bandes de Piémont. Elle reste attachée à la religion catholique après la conversion de son mari.
- ↑ Les Communes de la Meurthe: journal historique des villes, bourgs, villages, hameaux et censes de ce département, Henri Lepage. Éditeur : A. Lepage, 1853, p.214.
- ↑ Inventaire-sommaire des Archives départementales antérieures à 1790 - Page 114 de Archives départementales de Meurthe-et-Moselle, Etienne Delcambre - 1949.
- ↑ Mémoires de la Société d'archéologie lorraine, Palais des ducs de Lorraine-Musée lorrain (Nancy). Éditeur : A. Lepage (Nancy). Éditeur : G. Crépin-Leblond (Nancy). Éditeur : R. Wiener (Nancy). Société d'archéologie lorraine : 1893.
- ↑ Bénézit Emmanuel, Dictionnaire critique et documentaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs de tous les temps et de tous les pays, Gründ, 1976, v.6.
- ↑ Mémoires de la Société d'archéologie lorraine 1893 (SER3,VOL21 = T43), p.25.
- ↑ Étienne Delcambre, Marie-Thérèse Aubry, Inventaire-sommaire des Archives départementales antérieures à 1790- 1949, page 114.
- ↑ Société d'archéologie lorraine. Mémoires de la 1893 (SER3, VOL21 = T43), p.103.
- ↑ Carré de Busseroles, Le Calendrier de la Noblesse de Touraine (1868), p.272 et suivantes.
- ↑ Œuvres d’artistes français, ou d’une nation proche, visibles à Rome: de la Renaissance à 2020, François Chartrain, Atramenta, 2021. ISBN 9523409425, 9789523409422.
- ↑ Dictionnaire de la noblesse, contenant les généalogies, l'histoire & la chronologie des familles nobles de France, l'explication de leur armes, & l'état des grandes terres du royaume ... : On a joint à ce dictionnaire le tableau généalogique, historique, des maisons souveraines de l'Europe, & une ..., Franc̜ois Alexandre Aubert de La Chesnaye-Desbois, Badier, La veuve Duchesne, 1775, v.10, p.36.