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Charles d'Allonville d'Oysonville
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Un des combats auxquels Charles d'Allonville participe.
Charlot est conseiller et chambellan du roi Louis XI, mais aussi son maître d’hôtel, capitaine de 100 lances, gouverneur de Montlhéry[1].
Par lettres du 29 août 1461 le Roi Louis XI confie à son Chambellan et conseiller, Charles d'Allonville, la conduite de 100 lances (600 hommes d’armes), sous les ordres du comte Jean de Dunois[2][3][4][5][6].
Le commandement de 100 lances est reconduit par Louis XI les 19 janvier 1474 et 8 décembre, sous les ordres du comte du Maine[7][8][9][10].
Les D'Allonville d'Oysonville[11].
Charles d'Allonville, dit Charlot est né après 1398, dans la Beauce, et mort au mois d’août 1479[12][13]. Il gist en l'église de Poinville (Beauce, de nos jours Eure et Loir).
Charles d'Allonville descend des premiers d'Allonville (XIe/XVe siècle). C'est un membre de la Maison d'Allonville.
Charles d’Allonville, seigneur d’Allonville, cousin germain de Pierre d'Allonville de Louville, occupe d’abord les fonctions d’Écuyer des Écuries du Roy, puis de Maître d'Hôtel du Roy et Grand Panetier de la Maison du roi[14][15][16][17].
Par lettres du 29 août 1461 le Roi Louis XI confie à son Chambellan et conseiller, Charles d'Allonville, la conduite de 100 lances (la lance fournie, en 1445, est formée de 6 hommes d'arme, tous montés à cheval), sous les ordres du comte Jean de Dunois. Puis le commandement est reconduit par Louis XI les 19 janvier 1474 et 8 décembre, sous les ordres du comte du Maine[18][19][20][21][22].
Par la suite Charles d'Allonville est Gouverneur de Montlhéry et de Meulan (1479)[23][24][25].
La terre d'Oysonville entre dans la Maison d'Allonville par le premier mariage de Charles d'Allonville avec la petite-fille d'Adam de Crosnes, seigneur d'Oysonville en 1386, Marguerite de Crosnes[26]. Au XVe siècle, François d'Allonville d'Oysonville, débute la reconstruction du château d'Oysonville, préalablement brûlé par les Anglais. Au début du règne d'Henri IV, il est achevé par son fils François II d'Allonville d'Oysonville, avec quelques modifications. Cette branche de la Maison d'Allonville est connue sous le nom de D'Allonville d'Oysonville.
Charles d'Allonville est seigneur d'Allonville, de Chamblay (Berchères-les-Pierres), d'Ésclimont (à Saint-Symphorien-le-Château), de Moreaulieu[27], de La Ronce, du Plessis-Saint-Benoist, du Bréau et de Basmeville[28], et de La Prevosté, mais également seigneur d'Oysonville, du fait de sa première femme, Marguerite de Crosnes.
Il achète Bretonville, Ansonville, Bois-Saint-Martin, et il hérite de nombreuses terres et hostels[29][30][31]. Il paie le relief en 1446 de la seigneurie de La Roüe-en-Linois, mouvant de Montlhéry que sa veuve vend à Amauri de Garlande. Il achète 13/08/1454 à ses cousins Jehan et Hutin de L’Estendart 1/3 du fief noble du Plessis-Saint-Benoît à Authon-La-Plaine, provenant de leur tante Marguerite de Trie du Baullay-Thierry, et de leur oncle Jehan d’Escrones, seigneur de Châtillon-Le-Roi. Il dispute Esclimont à Philippe de Trie[32].
Il a une nombreuse postérité et meurt en 1479. Son fils Simon d'Allonville, seigneur d’Oysonville, grand maitre des eaux et forêts de France, est l’aïeul de François d’Allonville, seigneur d’Oysonville, gentilhomme ordinaire de la chambre du roi. Jacques, seigneur d’Oysonville, fils de François II d'Allonville d'Oysonville, épouse Anne-David, fille de Vincent, président des trésoriers de France, en Champagne, et de Claude de Haut, dont il a quatre enfants, savoir : Charles et Edmé, qui suivent; Anne, veuve, en 1648, d’Etienne de Halle, seigneur de l'Isle, et Ceorgette, dame de Fuligny. épouse de Jean du Mesnil, seigneur de Vilieinorien[33].
Article détaillé : Les premiers d'Allonville (XIe/XVe siècle)
Article détaillé : Maison d'Allonville
Article détaillé : d'Allonville d'Oysonville, puis d'Arnncourt
Article détaillé : Simon d'Allonville
Article détaillé : François II d'Allonville d'Oysonville
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Charles d'Allonville (1400 - 1479), chambellan de Louis XI, est gouverneur de Montlhéry [34].
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BIOGRAPHIE[]
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Sa famille[]
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Blason des d'Allonville.
Charles d'Allonville est un membre de la Maison d'Allonville.
Son père, Pierre d’Allonville de Réclainville est écuyer, seigneur d'Allonville et de Bierville, maire de Bailleau-l'Évêque, cité comme tel le 7 juin 1407. Dans cet acte, Jehan est tuteur de Pierre, son neveu, fils de Jehan d’Allonville le jeune et de Catherine le Fournier[35].
Pierre d’Allonville de Réclainville se marie avec Marguerite Gouffier de Réclainville, fille de Renaud de Gouffier, chevalier de l'Ordre du Roi, et Olive de Languedoue, en 1398, mère de Charlot. Elle est dame de Réclainville, terre qu'elle porte en mariage, avec 22 francs or, à son mari. Sa mère récupère 100 francs à la mort de sa grand-mère Chenard, ancien don du duc de Bourgogne[36].
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Charles d'Allonville et ses terres[]
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Blason des d'Allonville du Plessis-Saint-Benoît.
Eglise fortifiée du Plessis-Saint-Benoît.
Le 13 août 1454, avec Bertranne de Richebourg, sa seconde épouse, Charles d'Allonville achète à Jehan et Hutin de l'Étendard, ses cousins, le tiers du fief noble du Plessis-Saint-Benoît (Authon-la-Plaine) avec les fruits de Bretonville, Ansonville, Bois-Saint-Martin et Éclimont, naguère à leur tante Marguerite de Trye du Boullay-Thierry et dont a hérité leur oncle Jehan d'Escrones, seigneur de Châtillon-le-Roi.
En 1460, un procès oppose les cousins de Marguerite, demandeurs, à son neveu Philippe de Trie, défendeur. La sentence donne la seigneurie de La Roue à Marguerite d'Escrones qui la transmet à sa fille Bertranne de Richebourg, femme de Charles d'Allonville.
En 1466, Charles d'Alonville, écuyer, sieur d'Oysonville, présente l'hommage de La Roue et paie le droit de relief pour sa mouvance du roi à cause de la châtellenie de Montlhéry[37].
le 19 janvier 1475, Charles d'Allonville, chambellan du roi Louis XI, rend foy et hommage de la seigneurie de Roé en Linois sous Montlhéry. Le 28 février 1465, il donne quittance de 50 francs.
En 1478, Charles d'Allonville et sa femme vendent la seigneurie de La Roue avec le droit de nomination à la chapelle à Amanyon de Garlande. Charles d'Allonville meurt l'année suivante.
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Le procès pour la seigneurie d'Esclimont[]
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Après la bataille de Montlhéry non loin de là les seigneurs locaux se soucient plus de problèmes de succession.
Les héritiers des d'Escrones.
Antoine d'Allonville du Plessis-Saint-Benoît.
Le château d'Esclimont est bâti sur la terre et seigneurie d'Esclimont.
Château d'Oysonville.
Les sentences sont prononcées par les baillis de Chartres.
Le château d'Escrosnes.
Escalier de la Reine Berthe à Chartres, rue des Écuyers.
Porte Guillaume à Chartres.
Détail de la pierre tombale de François de Languedoue et Louise de Rivaulde.
Une sentence du bailli de Chartres nous aide à comprendre le jeu de chaise musicale des biens de la maison de Trie. Le procès touchant la possession de la terre et seigneurie d'Esclimont fait suite à la succession de Marguerite de Trie disparue sans postérité. Les biens de la dame d'Esclimont sont disputés par ses cousins issus de germains :
- Sentence donnée par Michel Michon, licencié en loix, lieutenant particulier de noble homme Guillaume de Coursillon, chevalier, seigneur de Montléan, conseiller et chambellan du Roy, bailly et capitaine de Chartres, comissaire à ce député le mercredy 20 apvril 1474, signée le Gendre, pour raison du procès mû audict baillage entre Guillaume de Languedoue, Charles d'Allonville, escuyers, et demoiselles Bertranne et Michelle, leurs femmes, demandeurs, d'une part, et messire Philippes de Trie, chevalier, défendeur, d'autre, contenant que le samedy 21 febvrier 1466, iceux demandeurs auroyent obtenu lettres royaulx signifiées au lieu de Boissi près Meaux, domicile dudict deffendeur, à ce qu'il eust à se départir de la jouissance de la terre et seigneurie d'Eclimont, size audict baillage, près Gallardon, en la paroisse de Saint-Symphorien, et que pour cet effect, il eust à comparoir au jour proche de la Quasimodo, par devant le bailli de Chartres, prédécesseur dudict bailli, auquel jour 6 avril 1467, les susdicts fussent comparuz par devant M. Michel Grenet, lieutenant général de noble homme feu Jehan de Rochechouart, lors bailli et capitaine de Chartres, lors prédécesseur, où le deffendeur auroit demandé vente lui être faite, et le vendredy 24 juillet, ayant encores comparu par devant ledict Grenet, auroyt esté de la part des demandeurs allégué qu'à feu Guérin d'Escrosnes, escuyer, appartenoyt le fief, lieu et seigneurie du dict Esclimont juxte Jehan de la Rosière , escuyer, seigneur dudict lieu avec tous les cens et héritages qui en dépendent, que le susdit Guérin d'Escrosnes seroyt décédé et auroyt laissé deux enfants, messire Regnault d'Escrosnes, chevalier, et Ameline, mariée au seigneur de Blaru, lesquels se seroient déclarés héritiers de luy ; que dudict messire Regnault estoient issus messire Adam des Crosnes, Guyot d'Escrosnes et Jehanne d'Escrosnes, nepveux et niepce de la dite Ameline, et que du dict messire Adam d'Escrosnes estoient issus messire Adam et Pierre d'Escrosnes, chevaliers, et dame Marguerite d'Escrosnes, et du dict Guyot d'Escrosnes estoyt issu Jehan d'Escrosnes, escuyer, sr de Boyneville, seul et unique héritier de son dict père ; et de la dicte Jehanne, fille du susdit messire Regnault estoit issu Guillaume de l'Estandart, son fils, et que tous les enfans des susditz messire Adam d'Escrosnes laisné, Guyot d'Escrosnes et Jehanne d'Escrosnes estoient cousins germains et nepveux en deux degrés et descenduz de la susdicte Ameline, à laquelle lors de son mariage ledict Guérin, son père, auroyt baillé les héritages cy-dessus mentionnés, que de icelle Ameline estoit issu une fille nommée Jehanne, mariée à messire Mathieu de Trie, que des dicts Mathieu de Trie et Jehanne étoient issuz messire Regnault de Trie, Jehan de Trie et Marguerite de Trie, dame du Boullay, laquelle auroyt succession de ses dicts frères et leur auroyt succédé audict Esclimont, et depuis estant décédée sans enfants, luy auroyt succédé chaqu'un pour sa quatrième portion, messire Adam des Crosnes le jeune, et messire Pierre des Crosnes, enfans dudict messire Adam des Crosnes laisné, fils dudit messire Regnault, frère de la dicte Ameline, ayeulle de ladicte dame du Boulay, sans que la dicte Marguerite y succédast, pour ce que les dits héritages estoient tenus en fief et terre unique en ligne collatérale, en laquelle les filles ne pouvoyent avoir rien, y ayant masies, ainsy qu'il est gardé par la coutume du pays chartrain, et que depuis iceux Adam et Pierre des Crosnes estans décédés sans enfans, Marguerite leur seur leur auroyt succédé en la moitié du dict Esclimont, et qu'aussi auroyent succédé en chaque une part de l'aultre moitié Jehan des Crosnes, fils Guyot d'Escrosnes, et Guillaume de l'Estendart , fils de la dicte Jehanne, fille dudict messire Regnault d'Escrosnes et sœurs desdicts messire Adam et Guyot des Crosnes, cousins et héritiers en pareil degré de ladicte dame du Boulay, lesquels auroyent vendu au susdictz Charles d'Allonville et Guillaume de Languedoue leur part et portion en la terre et seigneurie dudict Esclimont, de sorte qu'ils auroyent droit à cause de ce en la moitié d'icelle et pour l'aultre moitié elle leur appartenoyt à cause de leurs femmes, comme filles et héritières de la susdite Marguerite d'Escrosnes, leur mère et qu'ils en auroyent faict la foy à Jehan de Rogueres (?), seigneur féodal dudict Esclimont ; qu'en apvril 1455, ledit Charles d'Allonville auroyt faict bastir la grange et dépendances continu les bastiments dudict Esclimont ; et de la part du deffendeur auroit esté soutenu au contraire qu'il estoit petit nepveu en ligne collatérale de ladite dame du Boulay, d'aultant que ledict messire Jacques de Trie et elle estoient frère et sœur issus de messire Loys de Trie leur père, et que dudict messire Jacques de Trie et de dame Catherine sa femme estoit issu ledict messire Philippe de Trie , leur fils, et pour lors deffendeur, et que ladicte dame du Boulay, par son déceds, auroyt délaissé le susdict massire Jacques de Trie son frère pour son seul et unique héritier, et que par arrest ledict Philippe auroyt esté maintenu en la possession et jouissance de toute la succession de la dicte dame du Boulay ; et contenant, ledict Grenet, après avoir ouy les dictes parties, les auroict appointées à coutume, et contenant, depuis leurs requestes auroient esté mises par devant honorable homme et saige messire Jehan Bauldry, licencié en loix, lieutenant général dudict seigneur bailly, lequel dès le 30 août 1470 leur auroyt assigné jour pour avoyr droict, et comme le vendredy 2 aoust 1471 lesdicts demandeurs auroyent présenté audict licencié lettres royaulx, par lesquels est mandé les recepvoir à pouvoir poser, articuler et prouver la coutume du pays chartrain estre que les héritages propres appartiennent et eschoient par succession aux plus prochains héritiers du defunct ou defuncte du costé et ligne où lesdits héritages estoient tenuz et descenduz, et par la susdite sentence, après enqueste faicte sur la dicte coustume, et veu plusieurs partages et actes, le deffendeur est condampné à laisser aux demandeurs libre la possession et jouissance du fief, lieu et terre dudict Esclimont et dépendances d'iceluy[38].
Ainsi, nous assistons à un différend qui dure plus de vingt ans (depuis le décès de leur tante Marguerite en 1454) entre Philippe de Trie, défendeurs et les héritiers d'Adam d'Escrones, Charles d'Allonville et de Guillaume de Languedoue, demandeurs. Ces deux personnages sont acquéreurs de Jehan d'Escrones, fils de Guyot, et de Guillaume de l'Étendart, fils de Jeanne d'Escrones, de leur moitié de la terre d'Esclimont (Saint-Symphorien), l'autre moitié leur appartenant à cause de leurs femmes, filles de Marguerite d'Escrones. Le 20 avril 1474, la sentence du bailli de Chartres au profit des demandeurs confirme les arrangements entre les cousins d'Escrones et l'Estendard[39].
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Gentilhomme servant[]
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Salle du manège des Tuileries le 10 août 1792.
Le duc de Bourgogne organise des festins pour le Dauphin de France avec ses gentilshommes servants.
Durant sa jeunesse il est gentilhomme servant, un des officiers du Royaume de France. Le gentilhomme servant a pour fonctions de servir à la table royale de la même manière que le grand panetier, le grand échanson et le grand écuyer dans les cérémonies. Son service se fait avec l'épée au côté[40].
A la cour, Charles d'Allonville occupe d’abord les fonctions d'écuyer des écuries du Roy[41][42][43][44]. Venu d'Italie, l'art équestre se développe en France à la Renaissance grâce à de célèbres écuyers comme Pluvinel. Pour les rois de France, la qualité de leur écurie est une marque de puissance. Il leur est donc important que la noblesse militaire reçoive un enseignement équestre de qualité. Par ailleurs, l'exercice de la chasse exige que la Cour possède chevaux et carrosses en conséquence. Le manège des Tuileries est abandonné par la cour. Charles d'Allonville fait partie de l’École des pages du roi en sa grande écurie réservée aux fils des familles de la noblesse militaire très anciennes.
Avant 1413, le titre Grand Maître de France n'existe pas, le titre équivalent était celui de Souverain Maître d'hôtel du Roi[45][46][47][48]. Ce titre implique, comme le plus récent, la supervision de toute la Maison du Roi.
Charles d'Allonville est aussi Grand Panetier de la maison du roi. Le grand panetier de France est l'un des grands officiers de la cour du roi de France, membre de la Maison du Roi. Il est le chef de la grande paneterie, autrement dit du service de bouche comprenant hâteurs de rôt, potagers, écuyers et enfants de cuisine (appelés galopins)[49][50][51][52].
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La conduite de cent lances (1461)[]
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Charles d'Allonville est capitaine de 100 lances, soit 600 hommes.
Bataille devant le château de Montlhéry.
La France de Louis XI.
Dès 1457, Charlot est employé au chapitre des dons et récompenses faites par le roi Charles VII.
Par lettres du 29 août 1461 le Roi Louis XI confie à son Chambellan, conseiller et déjà homme d'armes sous Monseigneur le comte de Dunois et de Longueville, Jean de Dunois, Charles d'Allonville, la conduite de 100 lances (la lance fournie, en 1445, est formée de 6 hommes d'arme, tous montés à cheval). Il est sous les ordres du comte Jean de Dunois[53][54].
Par lettres du 8 décembre 1474, données à Château-Thierry, le roi Louis XI confie à Charles, son conseiller et chambellan, la conduite de cent lances nouvellement levées, outre le nombre ordinaire, aux gages de 20 sols par mois pour chaque lance fournie[55].
Par d'autres lettres du 19 janvier 1475, le roi Louis XI confie à son chambellan et conseiller, Charles d'Allonville, la conduite de 100 lances, sous les ordres du comte du Maine[56][57][58][59][60] [61].
Extrait du brevet de 100 lances fournies ou de cent hommes d'armes, donné par le roi Louis XI (1461 - 1483), à Charlot (Charles) d'Allonville, seigneur d'Oysonville, son chambellan. Un premier collationné de ce brevet est fait le 12 d'août 1612, à Oysonville, par Barbier, substitut juré de la châtellenie de Chalons-la-Royne, sur l'original en parchemin, remis à Pierre d'Allonville, seigneur de Vertron et un second collationné a été fait sur le premier, le 18 de janvier 1660, par Barré, notaire royal à Authon-Sain-le-Escobille (près d'Étampes). Ce second collationné authentique est aux archives du comte Louis d'Allonville, comme aussi celui du brevet de maître d'hostel & chambellan, donné au même Charles d'Allonville par Louis XI, à Château-Thierry, le 8 décembre 1474 :
- Louis, etc., savoir faisons, que, pour la bonne et grande conffiance, que nous avons de notre amé et féal conseiller et chambellan Charlot d'Allonville, de son sens, vaillance, bonne conduicte et grande diligence, icelluy avons rettenu et rettenons, par ces présentes, pour nous servyr désormais au nombre et à la conduicte de cent lances fournies de nostre ordonnance, de celles, qui ont été, naguères, par nous mises, outre le nombre de nos lances ordinaires... Cy donnons mandement à nos amés et féaux les maréchaux de France, que le dict d'Oysonville, dont nous avons reçu le serment en ce cas accoutumé, ils facent souffrir, jouir et user paisiblement de notre présente rettenue, et à luy obéir et entendre de tous ceux et ainsi qu'il appartiendra, etc. Donné à Paris le dix neurviéme jour de janvier l'an de grace quatorze cent soixante et quatorze, et de notre règne le quatorzième. Par le roy. Auvillot.
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Gouverneur de Montlhéry et de Meulan en 1479[]
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Charles d'Allonville est Gouverneur de Meulan en 1479.
En 1446, noble homme Charles d’Allonville, écuyer, seigneur d’Oisonville, paye le droit de relief de la seigneurie de la Roüe en Linois pour la mouvance de la châtellenie de Montlhéry.
Charles d'Allonville est Gouverneur de Montlhéry et de Meulan en 1479[62][63].
Charles d'Allonville se distingue particulièrement dans le sillage de Louis XI, dont il est le principal agent en pays chartrain et au delà[64].
Charles d'Allonville meurt en 1479 et est inhumé en l'église de Poinville.
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MARIAGES ET DESCENDANCE[]
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Charles d'Allonville se marie deux fois et a une nombreuse descendance.
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Mariages[]
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Sa 1re femme, Marguerite de Crosnes[]
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Adam d'Escrones, père de sa première femme, Marguerite d'Escrones[65].
Au XVe siècle, François d'Allonville, débute la reconstruction du château d'Oysonville, préalablement brûlé par les Anglais.
Charles d'Allonville est écuyer, seigneur d'Allonville, de Chamblay (Berchères-les-Pierres), d'Ésclimont (à Saint-Symphorien-le-Château), de Moreaulieu[66], de La Ronce, du Plessis-Saint-Benoist, du Bréau et de Basmeville[67], et de La Prevosté, mais également seigneur d'Oysonville du fait de sa première femme, Marguerite d’Escrosnes (1410 - 1453), Dame également du Pussay, fille d'Adam d'Escrones.
La famille d’Escrones est de l’Île-de-France, du Gâtinais Chartrain, de la Beauce. Seigneuries de Boigneville et de Yermenonville en Chartrain. Marguerite d’Escrosnes (1347 - 1453) est fille de Adam d'Escrones, seigneur d'Oysonville, et de Jacqueline d'[68]. Elle est veuve de Jean de Richebourg, seigneur d’Orval, fils de Gui de Richebourg, seigneur de Civry. Jacqueline d'Angennes est fille de Regnault d'Angennes, Seigneur de La Loupe en 1383, seigneur de Rambouillet en 1384, Gouverneur du Dauphiné.
La Guerre de Cent Ans, où il a été l'un des capitaines, se termine en 1453. Sa première femme, Marguerite de Crosnes, meurt cette année là.
Charles d'Allonville se remarie avec Bertrande de Richebourg (1440 - 1508), dite «d’Orval», sa belle-fille, dame d’Oysonville (1480) qui hérite d’un fief de la famille d’Ecrosnes au Tremblay (près Montfort).
La terre d'Oysonville entre dans la famille d'Allonville par le premier mariage de Charles d'Allonville, maître d'hôtel du roi Louis XI, avec la petite-fille d'Adam de Crosnes, seigneur d'Oysonville en 1386, Marguerite de Crosnes[69]. Au XVe siècle, François d'Allonville, débute la reconstruction du château d'Oysonville, préalablement brûlé par les Anglais. Au début du règne d'Henri IV, il est achevé par son fils François d'Allonville, avec quelques modifications. Cette branche de la Maison d'Allonville est connue sous le nom de d'Allonville d'Oysonville.
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Bertrande de Richebourg (1454)[]
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Blason des Richebourg.
Château des Richebourg.
Château de Rambouillet.
Charles d'Allonville est seigneur d'Arnancourt, dès 1471. Ce fief va rester dans la Maison d'Allonville jusqu'en 1668 et certains d'Allonville seront dit d'Arnancout[70][71].
Charles d'Allonville se remarie en 1454 à Bertrande de Richebourg (1440 - 1508), fille de Jean de Richebourg, capitaine de cinquante hommes d'armes et Marguerite d'Escrones, sa première épouse. Bertrande de Richebourg (1440 - 1508) est dame d'Oysonville, mais aussi d'un fief au Tremblay, près de Montfort, terres ayant appartenu à la famille d'Escrones[72].
Les seigneurs de Richebourg font hommage au comte de Montfort pour leurs deux châteaux de Richebourg et de la forêt de Civry, dont la prévôté s'étend sur neuf paroisses de la châtellenie de Houdan. Hors du comté, ils ont des biens près de Dreux, quatre fiefs de chevalier dans la châtellenie de Nogent-le-Roi, et vingt-sept fiefs dans celle de Mantes, tant en deçà qu'au delà de la Seine[73][74].
Après la bataille de Montlhéry, le 16 juillet 1465, Louis XI et la cour séjournent au château de Charles d'Allonville à Louville-la-Chenard.
A l’époque du marquis Charles Auguste d'Allonville de Louville, on verra encore au château de Louville un médaillon en pierre, représentant l'effigie de Louis XI, sculpté par ordre de Charles d'Allonville, maître-d'hôtel de ce prince, en mémoire de ce jour[75].
Guillaume de Languedoue traite en 1467, avec Jean II d’Angennes, seigneur de Rambouillet, écuyer d’honneur de Charles VII et gouverneur de l’Angoumois et son beau-frère Charles d'Allonville, pour raison des biens de Jacqueline d'Angennes[76].
Le 23 avril 1469, par partages avec Guillaume de Languedoue et sa femme, passés par devant Michel Prévost, tabellion à Chartres, Charles et Bertrande de Richebourg (1440 - 1508), sa femme, reçoivent, pour la part de celle-ci en la succession de Marguerite d'Escrosnes, sa mère : l'hôtel et appartenances de La Rie et Chevanoille, près de Montlhéry ; l'hôtel de Bretonville[77], les terres de Bretencourt, l'hôtel du Plessis-Saint-Benoist tenu de l'abbé de Saint-Benoist, la terre de Maruel, Tremblay et Cognet, tenue du seigneur de Chevreuse ; la terre de Basmeville près de Châtenay, et les trois parts de la terre d'Éclimont, tenue en fief du seigneur de Bleury, à cause de sa femme[78].
Charles d'Allonville d'Oysonville est seigneur d'Arnancourt, dès 1471. Ce fief va rester dans la Maison d'Allonville jusqu'en 1668 et certains d'Allonville seront dit d'Arnancout[79][80].[81].
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Descendance[]
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Simon d'Allonville est grand maître des Eaux et Forêts de France.
Le mari de l'une de ses petites-filles, l'amiral de France Louis Malet de Graville.
¤ Jehan d'Allonville seigneur d’Oisonville (1455/1460 - 1494), écuyer d'écurie du roi est seigneur d'Oysonville de 1479 à sa mort en 1494. Il est mentionné dans les comptes de Jehan Le Gendre, trésorier des guerres, comme commissaire de Mrs les Maréchaux sous Mr l'Amiral, du 1er janvier 1483 à décembre 1485. Il est fait en 1493 chambellan de Charles VIII[82][83].
¤ Marie d'Allonville (1456 - 1520) ép. 1) Pierre de Prunelé + 1508 seigneur de Richarville, maître d’Hôtel, Grand-Prévôt, Capitaine de la Porte ép. 2) Jean d’Auquoy, seigneur de Fay-aux-Loges (alias d’Aucoin)[84].
¤ Simon d'Allonville (1458 - janvier 1533), écuyer, puis chevalier, devient seigneur d'Allonville, d'Oysonville et Ezeaux[85], après la mort de son frère aîné vers 1500[86]. Il est grand maître des Eaux et Forêts de France, puis superintendant de la maison du duc de Longueville, comte de Dunois, Jean de Dunois. Symon consent, avec Antoine, son frère, à certain contrat de bail fait, en 1488, par Gilles de Brétheau, leur beau-frère, pour la terre d'Allonville, qui avait été donnée en mariage, en 1475, à Jeanne d'Allonville, sa sœur. Il partage avec ses cohéritiers les successions de ses père et mère, le 6 février 1508. Symon d'Allonville rend hommage de plusieurs fiefs aux mois d'avril et de novembre 1512. Simon se marie en 1483 avec Étiennette d'Autry (1460 - 14 décembre 1535), fille d'Olivier d'Autry[87], chevalier, seigneur de La Brosse Saint-Mesmin, de Courcelles… et Catherine Giverlay[88][89]. Les d’Autry, seigneurs de la Beauce portent : D'argent, à 3 losanges de gueules en écharpe.
¤ Antoine d'Allonville (1462 - avant 24/12/1492), seigneur d'Esclimont ép.1488 Louise de Chavigny (fille de Philippe et de Marie de Melun ou Mellin ?)[90].
¤ Jehanne d'Allonville (1464 - après 1508) dame d'Oysonville et d’Allonville (1475), ép. 1) 1488 Gilles de Brétheau, seigneur de Brainville ép. 2) 1508 Berthault Le Besgue, seigneur de Heurtebise, Capitaine d’Alluyes[91]. Vente par Jeanne d'Allonville, femme de Gilles de Breteau, seigneur de Vrainville, de la seigneurie de la Rivière[92].
¤ Marie d'Allonville ép. Robinet de Naucelles, (alias Nancelles) seigneur d’Ouitreville, de Guault et Lestreville (veuf, ép. 2) Jeanne). Marie d’Allonville est dite ancêtre d’Hugues de Prunelé, seigneur de La Porte[93].
¤ Marguerite d'Allonville ép.1508 Jehan de La Vallée, seigneur de Gueurville (Chalo Saint-Mard)[94].
Catherine d’Allonville (~1460 + 1492) ép. Guillaume II de Fesnières (° ~1450 + 1505à écuyer, seigneur de Morainville (et de Semonville, Poinville (Beauce) et Villebourgeon (Sologne ; fils de Guillaume)[95].
¤ Bertranne d'Allonville x Armagneu de Garlande, seigneur d’Argeville et Chenanville (achète la seigneurie de la Roue en 1478 à Charles d’Allonville & à Bertranne de Richebourg)[96], d'où :
- ¤¤ Jeanne de Garlande mariée à l'Amiral Louis Malet de Graville[97][98]. La première femme de Louis Malet de Graville décède le 23 mai 1503. Louis Malet de Graville se remarie avec Jeanne de Garlande, petite-fille de Charles d'Allonville d'Oysonville, qui lui apporte en dot, le fief de La Roue[99]. Elle est la fille d'Amanieu, riche seigneur. Malet de Graville, devenu seigneur de la Roue utilise son droit féodal en dépossédant les Célestins au profit de son valet de chambre, Richard Hochet, pour le récompenser de ses bons services. Jeanne de Garlande est veuve de Pierre du Monceau.
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RÉFÉRENCES[]
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- ↑ Durand Roger, Famille de Dallonville ou d'Allonville, Versailles, Imprimerie J. Aubert et Cie, 1910, p.12.
- ↑ Roger Vasseur, Informations généalogiques du Centre, Famille d'Allonville (Orléanais), mai 1997, p.438.
- ↑ BN, 43, dossier Allonville, n° 13.
- ↑ Guerre, état et société à la fin du Moyen Age. Études sur les armées des rois de France 1337-1494. École pratique des hautes études, Sorbonne. 6eme section: sciences économiques et sociales. Centre de recherches historiques, Philippe Contamine, Publié par Mouton, 1972, p.471
- ↑ Nobiliaire universel de France ou Recueil général des généalogies historiques des maisons nobles de ce royaume: ou Recueil général des généalogies historiques des maisons nobles de ce royaume, Nicolas Viton de Saint-Allais, de Saint-Pons, Publié par bureau du Nobiliaire universel de France, 1814, Vol. 2, p.339.
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- ↑ Oysonville, son château, ses seigneurs / par le Cte de Rilly, impr. de Garnier (Chartres): 1892-1894.
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- ↑ Quelques seigneuries au Vallage en Champagne propre : précédées de notions sur le régime féodal, ouvrage accompagné de tableaux généalogiques. Caulin, Louis Alexandre Eudoxe (1821-1882?). Bertrand-Hu (Troyes) : 1867.
- ↑ La noblesse de France aux Croisades, par Paul-André Roger, Publié par Derache, 1845, p. 545.
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- ↑ Dictionnaire de la noblesse, contenant les généalogies, l'histoire & la chronologie des familles nobles de France, l'explication de leur armes, & l'état des grandes terres du royaume... : On a joint à ce dictionnaire le tableau généalogique, historique, des maisons souveraines de l'Europe, & une ..., François Alexandre Aubert de La Chesnaye-Desbois, Badier, Publié par La veuve Duchesne, 1770, v.1, p.196.
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- ↑ François-Alexandre de La Chenaye-Aubert, Dictionnaire de la noblesse, vol. 1, 2e éd., 1770, p. 196.
- ↑ Ancienne seigneurie, située au nord-ouest de Tremblay-le-Vicomte.
- ↑ Basmeville est un hameau de la paroisse de Chastenay
- ↑ Dictionnaire de la noblesse, contenant les généalogies, l'histoire & la chronologie des familles nobles de France, l'explication de leur armes, & l'état des grandes terres du royaume ...: On a joint à ce dictionnaire le tableau généalogique, historique, des maisons souveraines de l'Europe, & une ..., François Alexandre Aubert de La Chesnaye-Desbois, Badier, Publié par La veuve Duchesne, 1770, v.1, p.196.
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- ↑ Roger Vasseur, Informations généalogiques du Centre, Famille d'Allonville (Orléanais), février 1997, p.403.
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- ↑ Les héritiers de la dame de la Roue, C. Julien
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- ↑ Dezobry et Bachelet, Dictionnaire de biographie, tome 1, Ch. Delagrave, 1878, p. 1165.
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- ↑ Sa famille a les collationnés authentiques des brevets de chambellan et de capitaine de cent lances, donnés par Louis XI, les 8 décembre et 19 janvier 1474.
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- ↑ Archives généalogiques et historiques de la noblesse de France, ou Recueil de preuves, mémoires et notices généalogiques, servant à constater l'origine, la filiation, les alliances et les illustrations religieuses, civiles et militaires de diverses maisons et familles nobles du royaume, P. Louis Lainé, Chez l'auteur, 1839, t.6, p.6.
- ↑ Armorial chartrain, 1909, tome 3.
- ↑ Cartulaire de Philippe Auguste
- ↑ 44Nobiliaire et armorial du comté de Montfort-l'Amaury44, Par Adrien Maquet, Adolphe de Dion, impr. de Raynal, 1881, article Richebourg.
- ↑ Mémoires secrets sur l'établissement de la maison de Bourbon en Espagne, Charles Auguste d'Allonville Louville, Maradan, 1818, v. 1, p. 2n et 3n.
- ↑ Dictionnaire de la noblesse, contenant les généalogies, l'histoire & la chronologie des familles nobles de France, l'explication de leur armes, & l'état des grandes terres du royaume ...: On a joint à ce dictionnaire le tableau généalogique, historique, des maisons souveraines de l'Europe, & une ..., Franc̜ois Alexandre Aubert de La Chesnaye-Desbois, Badier, Edition: 2, Publié par La veuve Duchesne, 1774, v.8, p.452.
- ↑ Bonnelles
- ↑ Archives du diocèse de Chartres, publié par Charles Métais, Publié par C. Métais, 1908, v.13, p.49.
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- ↑ 2004 Etienne Pattou Famille d’Allonville Branches Oysonville, Louville, Réclainville & Plessis-Saint-Benoît.
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- ↑ Aizeaux, ou Ezeaux, hameau de la Paroisse de Molineuf, appartenant à la noble famille d’Allonville, selon l'Adveu de Simon d’Allonville, Escuyer, du 20 Aoust 1492.
- ↑ Voir AN Minutes des notaires de Paris au XVe siècle : n° 3531, il est dit fils de Bertrande de Richebourg, en 1497 ; n° 3532, il est en procès avec les religieuses de Saint-Antoine des Champ ; n° 3668, il négocie avec les religieuses de Yerres.
- ↑ Sur les d’Autry, Hubert, Généalogies orléanaises..., Bibliothèque d’Orléans, tome: 1, p. 13.
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- ↑ 2004 Etienne Pattou Famille d’Allonville Branches Oysonville, Louville, Réclainville & Plessis-Saint-Benoît.
- ↑ 2004 Etienne Pattou Famille d’Allonville Branches Oysonville, Louville, Réclainville & Plessis-Saint-Benoît.
- ↑ Inventaire-Sommaire des Archives Départementales Antérieures a 1790: Eure-et-Loir, Volume 2. L. Merlet. Garnier, 1884.
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- ↑ 2004 Etienne Pattou Famille d’Allonville Branches Oysonville, Louville, Réclainville & Plessis-Saint-Benoît.
- ↑ 2004 Etienne Pattou Famille d’Allonville Branches Oysonville, Louville, Réclainville & Plessis-Saint-Benoît.
- ↑ 2004 Etienne Pattou Famille d’Allonville Branches Oysonville, Louville, Réclainville & Plessis-Saint-Benoît.
- ↑ Histoire de la ville et de tout le diocese de Paris, Volume 10, Jean Lebeuf, Prault, 1757.
- ↑ Gonesse dans l'histoire: une vieille bourgade et son passé à travers les siècles ..., Adrien Henri Théry, Édition 2, Éditeur l'auteur, 4, rue Pierre Lorgnet, 1970.
- ↑ Jean Lebeuf, Adrien Augier, Fernand Auguste Marie Bournon, Histoire de la ville et de tout le diocese de Paris, Féchoz et Letouzey, 1883, v.4, p. 125.