Wiki Guy de Rambaud
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                                          Armand François d'Allonville

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Armand François d'Allonville est nommé en 1778, second sous-lieutenant au régiment d'infanterie du Roi[1]. Il a 13 ans.

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Blason Le Vavasseur, famille de la 1re épouse (1793) d'Armand François d'Allonville.

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Armand François d'Allonville est nommé en 1795 colonel de l'Armée des Princes et fait chevalier de Saint-Louis[2]. Il a 31 ans.

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Armand François d'Allonville est le précepteur des enfants du comte Fédor Rostopchine, général russe, ministre des Affaires étrangères de 1799 à 1801, puis gouverneur général de Moscou de 1812 à 1814.

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Armand François d'Allonville se marie en 1804 avec l'arrière-petite-fille du comte-maréchal Burckhardt Christoph von Münnich.

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Plusieurd historiens lui attribuent la paternité du plan de Barclay de Tolly qui organise la retraite des troupes russes dans la campagne de 1812[3][4].

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Armand Francois, comte d'Allonville (1764 - 1853) écrit avec Alphonse de Beauchamp Memoires Tires des Papiers d'un Homme d'Etat, sur les Causes Secretes Qui Ont Determine la Politique des Cabinets dans les Guerres de la Revolution édité de 1828 à 1838.

Armand François d'Allonville est né le 16 décembre 1764, au château de La Roche, à Verdelot[5], dans la Brie et mort le 20 août 1853 à Metz[6].


Le Comte Armand François d'Allonville, dit le marquis d'Allonville est un membre de la Maison d'Allonville, vieille famille de la Beauce[7].

D'Allonville est nommé en 1778, avant la Révolution française, second sous-lieutenant au régiment d'infanterie du Roi, puis en 1785, lieutenant Major en second du régiment de l'Auxerrois[8]. Avant la révolution, en 1788, il est chevalier de Saint-Jean de Jérusalem à Malte[9][10][11][12][13].

D'Allonville a le droit aux Honneurs de la Cour[14][15][16][17][18].

Armand François d'Allonville fait éditer en 1788, à Nancy, une brochure, De la constitution française et les moyens de la raffermir. Il y annonce des troubles importants enfantant une foule de crimes qu'un pouvoir absolu ferait cesser[19].

Réformé en 1791, du fait de la Révolution française, d'Allonville émigre, puis fin 1791, rentre en France et s'offre comme otage en échange de la liberté de Louis XVI après la fuite de Louis XVI et son arrestation à Varennes. C'est lui qui est l'auteur de La lettre d'un royaliste à M. Malouet du mardi 22 mai 1792. En 1792, il émigre à nouveau. Armand François prend part à la Campagne des Princes de 1792[20]. Fin 1792, il revient en France.

Et de nouveau en 1794, il émigre, avec son épouse Charlotte Levavasseur. En 1795 il est fait colonel et chevalier de Saint-Louis[21]. En juillet 1799, son épouse décède. Il demande sans succès à servir dans la Légion italique[22].

Vu ce refus en 1804, Armand d'Allonville est en Russie où il va passer une vingtaine d'années[23]. Armand François d'Allonville est le précepteur des enfants du comte Fédor Rostopchine, général russe, ministre des Affaires étrangères, puis gouverneur général de Moscou de 1812 à 1814, dont la Comtesse de Ségur. Des étrangers illustres visitent souvent l'immense domaine Voronovo : l’écrivain français de Staël, l’artiste S. Tonchi, en 1805 le fils de l’économiste A. Jung vit dans le domaine. Des cours de musique ont été donnés par le célèbre musicien Minnelli de Dresde. En 1806, sous l’influence du comte Joseph de Maistre, Catherine Petrovna, comme ses sœurs, se convertit secrètement au catholicisme. Il rencontre chez eux la comtesse Catherine von Munnich (1785 - 1851), en 1804 avec laquelle il se marie[24]. Elle est la fille d'un général, l'arrière-petite-fille du célèbre maréchal Burckhardt Christoph von Münnich, dont il possède les manuscrits[25]. Elle est aussi la cousine germaine de Barbara Juliane von Krüdener[26][27].

Le comte d'Allonville est secrétaire du duc de Serracapriolo, ambassadeur du roi des Deux-Siciles, près la cour de Saint-Petersbourg[28][29]. Il est également secrétaire de l'ambassadeur de Savoie en Russie.

L'empereur Alexandre Ier de Russie charge Armand François d'Allonville de divers travaux importants, ainsi que l'attestent de nombreux manuscrits qu'il laissera et dont la plupart ne verront pas le jour[30]. Il est entre autres chargé d'une mission secrète par le tsar auprès de la Perse, de l'Empire ottoman et de l'Angleterre.

Des historiens lui attribuent la paternité du plan de Barclay de Tolly, qui organise la retraite des troupes russes dans la campagne de 1812[31][32].

Nommé maréchal de camp[33][34][35][36].

Nommé maréchal de camp en 1814, à la Restauration d'Allonville revient à Paris, en 1815 Avec Alphonse de Beauchamp, il rédige un Précis biographique sur Louis XVIII, qu'il adresse aux souverains alliés. Après les évènements de 1815, peu soucieux de courir la carrière des places[37], il assiste Alphonse de Beauchamp dans la rédaction des Mémoires tirés des papiers d'un homme d'État, sur les causes secrètes qui ont déterminé la politique des cabinets dans la guerre de la révolution, depuis 1792 jusqu'en 1815[38][39][40][41].

En réalité, il ne rentre vraiment en France que vers la fin de 1828; mais comme il ne prend point part aux affaires publiques et continue à se livrer entièrement à des études littéraires[42]. Armand François d'Allonville, légitimiste, ne peut que déplorer les résultats de la nouvelle révolution qui renverse le trône de Charles X [43].

Cet écrivain succède à Alphonse de Beauchamp, dans la rédaction des Mémoires. Il est l'auteur de différents mémoires et essais dont le plus intéressant est ses Mémoires secrets 1770-1830, Paris 1838-40, 13 volumes.

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Des historiens lui attribuent la paternité du plan de Barclay de Tolly, qui organise la retraite des troupes russes dans la campagne de 1812[44][45].

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SA FAMILLE[]

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La Roche est la demeure des d'Allonville à Verdelot.

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Le comte Armand Jean d'Allonville est un des frères d'Antoine Charles Augustin d'Allonville.

Armand François d'Allonville est l'un des fils du comte Armand Jean d'Allonville, dit le balafré (13 juillet 1732, à Dommartin-le-Saint-Père, en Champagne - 24 janvier 1811, à Londres), maréchal des Camps et des armées du Roi, commandant en émigration les gentilshommes de la province de Champagne, puis de Bretagne[46][47][48][49][50].

Sa mère, Marie-Françoise Jehannot de Bartillat (1744 - 1817)[51] est la fille du marquis Louis Joachim Jehannot de Bartillat (1711 - 1748), marquis de Bartillat, baron d'Huriel, colonel d'un régiment de dragons de son nom, anciennement Régiment Dragons de Condé, puis en 1744 Régiment de Barteillat[52], et à partir de 1774 Dragons de Monsieur, capitaine-châtelain de Montluçon et de Jeanne Pouyvet de Lablinière (1721 - 1783), fille d’un conseiller du roi en son grand conseil. Les Bartillat portent : D'azur, au chevron d'or; au chef de même, chargé d'un lion léopardé de gueules. La baronnie d'Huriel est élevée aux titre et dignité de marquisat par lettre patentes du roi Louis XV, homologuées par arrêt du Parlement de Paris en mai 1764[53][54].

Armand François d'Allonville est le neveu d'Antoine Charles Augustin d'Allonville et le frère d'Alexandre Louis d'Allonville (1774 - 1852), préfet, Conseiller d'État.

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Quelques-uns de ses ancêtres et ses parents proches[]

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  Edmé II d’Allonville (1694 - 1783)
 x Antoinette Sauvage du Chatelier (1713 - 1793)
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 | --> Armand Jean d'Allonville (1732 - 1811)
 |      x Marie Françoise Jehannot de Bartillat (1744 - 1817) 
 |     |       
 |     | --> Armand François d'Allonville (1764 - 1853)
 |     |      x 1) Charlotte Le Vavasseur (1769 - 1799) 
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 |     |      | --> Marie-Louise d’Allonville (1794 - 1877)
 |     |      |     x Alexandre Louis d'Allonville (1774 - 1852)
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 |     |      x 2) Céleste Octavie de Munnich (1785 - 1851)
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 |     |      | --> Pierre d’Allonville (1821 - 1877)
 |     |           x  Valérie de Lauzières-Thémines
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 |     |           | --> Emmanuel Armand d'Allonville (1841 - 1912)
 |     |                                  
 |     | --> Alexandre Louis d'Allonville (1774 - 1852)
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 |     | --> Antoine Jean Baptiste d'Allonville (1765 - 1811)
 |     |     x Céleste Octavie de La Bourdonnaie-Liré (1790 - 1851)
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 |     |     | --> Armand-Octave-Marie d’Allonville (1809 - 1867)
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 |     |   --> Louis d'Allonville (1771 - 1814)
 |     
 |--> Antoine Charles Augustin d'Allonville (1735 - 1792)
 |        
 |--> Jean Nicolas d'Allonville 

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Les Honneurs de la Cour[55][56][57][58][59] pour cinq membres de leur famille sont en 1787 et 1788 un immense honneur pour des nobles monarchistes comme la Maison d'Allonville qui n'est pas composée des plus habiles des courtisans.

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AVANT LA RÉVOLUTION FRANÇAISE[]

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Critique de certains courtisans[]

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Mémoires secrets de 1770 à 1830 / par M. le comte d’Allonville, Paris: Werdet, libraire-éditeur, 1838–1841.

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Les salons de Madame de Staël, fille de Necker.

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Étienne-François duc de Choiseul-Stainville (1719 - 1785) rase sans raison le Château de La Bourdaisière reconstruit par mon ancêtre Joseph Dubernad.

Aapp8

Louis-Antoine de Noailles. Si la faveur des Polignac est récente, celle des Noailles paraît à d'Allonville, le couronnement de deux siècles de courtisanerie[60].

Aapp7

Adrien-Maurice, 3e Duc de Noailles.

Le premier volume de ses Mémoires traite de l'enfance d'Armand François et de ses premiers rapports avec la famille du roi Louis XVI de France. Il y est question tour à tour de madame Madame Élisabeth et de Madame de Marsan ; des ducs de la Vauguyon et de Choiseul; de l'effroyable catastrophe dont les fêtes célébrées à l'occasion du mariage de Louis XVI sont la cause ; du comte de Tressan, de Chevert, du maréchal de Vaux, de Voltaire. Il y est question encore de Turgot, Malesherbes, de Saint-Germain, du général Conway, de Franklin, d'Arnold, de Lafayette, et de la guerre d'Amérique; du comte de Маurepas, de Sartine, Necker, Galonné, Griram et Beaumarchais; de Mme Dubarry, de Bouillé, du maréchal de Richelieu, de Mme de Luxembourg, de Jean-Jacques Rousseau ; de l'affaire du collier, de la reine Marie-Antoinette, de Marie Feodorowna, de Mirabeau, de Lauzun, de la Polignac et de la duchesse de Grammont. Nous arrivons à l'assemblée des notables. Approchez, Brienne et d'Orléans, d'Espréménil, et tous, président Dupaty et Pont Carre ! Voici poindre à l'horizon Caulincourt et Sémonville ! L'auteur est présenté à la cour. Il nous décrit les salons de Madame de Staël, nous fait connaître les Noailles et les autres affidés du château de Versailles, les ministres de Louis XVI, et les autres hommes d'État d'alors ; les beaux esprits Condorcet, Chamfort, Laharpe, Saint-Lambert, etc. ; les femmes à la mode...[61][62].

Armand François d'Allonville (1764 - 1853) habite parfois avec ses parents une maison de campagne à Boulogne-Billancourt, mais c'est surtout son oncle, Antoine Charles Augustin d'Allonville, Sous-gouverneur du premier Dauphin, qui l'élève[63].

Armand François d'Allonville n'est guère fasciné par les plus habiles des courtisans :

La cour était insatiable d'honneurs, de dignités et d'argent écrit Armand-François d'Allonville :

... Soixante dix pour cent des revenus du ministre Choiseul viennent du Roi, la place de colonel général des Suisses et Grisons, un grand gouvernement, le grand bailliage d'Haguenau, la surintendance des postes ; ce qui lui donnait 700.000 livres de rente outre les 300.000 que la duchesse lui avait apportées. Cependant cette fortune ne l'empêcha pas de faire des dettes que le Roi daigna payer[64].

... Trois familles seules, quoiqu'elles ne pussent servir, ni services ni talents, recevaient environ trois millions en bienfaits annuels : c'étaient les Polignac, les Noailles et les Talleyrand[65].
Si la faveur des Polignac est récente, celle des Noailles, paraît à d'Allonville, le couronnement de deux siècles de courtisanerie. Cette famille réunissait au commencement de la Révolution, outre des traitements pécuniaires immenses, deux duchés, deux bâtons de maréchal, deux des quatre compagnies des gardes du corps, deux cordons du Saint-Esprit… une grandesse, un régiment propriétaire, des gouvernements, ambassades et places de cour[66].

Le mémorialiste est indigné mais dissimule à peine une involontaire indignation envers ces Noailles, sans cesse partagés entre deux partis de cour afin de s'y montrer au premier rang[67].

Le chevalier Alexandre d’Allonville (1771 - 1814), est le premier à avoir droit aux Honneurs de la Cour le 21 avril 1787, puis c’est à Armand Jean d'Allonville, son père, le 9 mai 1787. Le 16 mai 1787, le baron-général Jean Nicolas d'Allonville (1735 - 1792) a le droit aussi aux Honneurs de la Cour. Enfin le 21 janvier 1788, son frère aîné Armand François d'Allonville et son frère puîné Antoine Jean Baptiste d'Allonville (1765-1811) ont ce privilège rare[68][69][70].

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Un jeune officier[]

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Uniforme et drapeau du régiment du Roi en 1772.

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Il est chevalier de l’Ordre de Saint-Jean de Jérusalem.

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Croix de chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis de Benoît de Rambaud, dont la bru, devenue veuve, épouse Amédée d'Allonville.

Armand François d'Allonville est nommé en 1778, second sous-lieutenant au régiment du Roi infanterie[71], puis en 1785 lieutenant.

Antoine de Rivarol parle souvent du bon vieux temps, primo della Rivoluccione, voilà ce qu'en dit d'Allonville, il est en garnison à Caen de 1778 à 1783 :

Tous les genres de plaisirs faits pour d'honnêtes gens se trouvaient réunis autour du château d'Harcourt : la promenade dans les jardins délicieux, la chasse dans des forêts très giboyeuses, la conversation avec des hommes aussi instruits que spirituels, avec des femmes aussi séduisantes par leur esprit que par leur figure ; la danse, la musique et par dessus tous les charmes de l'antique simplicité unis à ceux de l'élégance moderne[72].

Il est par la suite major en second du régiment d'Auxerrois[73][74].

Avant la Révolution, il est fait chevalier de l'Ordre Royal et Militaire de Saint-Louis et chevalier de l’Ordre de Saint-Jean de Jérusalem[75][76][77].

Armand François d'Allonville fait éditer en 1788, à Nancy, une brochure, De la constitution française et les moyens de la raffermir. Il y annonce des troubles importants enfantant une foule de crimes qu'un pouvoir absolu ferait cesser[78]. Porté à la députation par le bailliage de Château-Thierry, il ne peut être nommé du fait de son âge. Il rédige néanmoins les cahiers de doléances de la noblesse du bailliage[79]. Il obéit à des valeurs qui se perdent dès avant 1789.

L'honneur et le point d'honneur : Mystère moral et politique insoluble ! tu vis de souvenirs et d'espérances ; tu te repais en tes chimères, et n'en es pas moins réel et puissant ! tu ne nuis à aucune vertu et peux y conduire, suppléer à toutes, tandis qu'il n'en est point qui sache te remplacer ! On est quelquefois coupable sous ton nom, mais jamais méprisable.

Cette devinette pour l'éducation du Dauphin cache la définition de l'honneur par le comte d'Allonville, en 1788. L'auteur voie en chaque société un principe moteur, le patriotisme chez les Romains, la religion en Espagne, le mercantilisme en Angleterre.

Celui de la France est noble et plus éclairé : c'est le principe de l'honneur, espèce de religion nationale… patriotisme des monarchies. Il participe de la virtus latine et des vertus chrétiennes, prescrit impérieusement la loyauté, la foi, la délicatesse, la soumission à tous les devoirs…, et fait produire à la vanité même presque tous les fruits de la vertu[80].

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Selon le Cartulaire de Saint-Père de Chartres, publié par M. Guérard, membre de l'Institut, en 1101 et 1129, Payen d'Allonville est témoin d'un acte d'abandon de prestations en nature, fait par Hugues, fils de Baudoin, à l'abbaye de Saint-Père de Chartres. La Maison d'Allonville est fort ancienne ce qui plaît à Louis XVI.

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LA RÉVOLUTION FRANÇAISE[]

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Allers et retours (1792)[]

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Son oncle, Antoine Charles Augustin d'Allonville est massacré lors de la Journée du 10 août 1792.

Réformé de l'armée par les révolutionnaires en 1791, Armand François d'Allonville émigre.

Fin 1791, IL rentre en France et s'offre comme otage en échange de la liberté de Louis XVI après la fuite de Louis XVI et son arrestation à Varennes[81].

Début 1792, il émigre à nouveau. Armand François prend part à la campagne des Princes en 1792[82][83][84][85].

Fin 1792, il revient en France pour le procès de Louis XVI. Il essaie de sauver le Roi et s'entretient plusieurs fois avec l'abbé Henri Edgeworth de Firmont qui est caché chez le seul autre de ses amis qu’il continue à voir, pour éviter d’être dénoncé[86][87].

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Sa lettre d'un royaliste à M. Malouet[]

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Pierre-Victor Malouet est un monarchien, alors que d'Allonville est monarchiste.

C'est d'Allonville qui est l'auteur de La lettre d'un royaliste à M. Malouet du mardi 22 mai 1792. Il y presse vivement son adversaire et après avoir détruit tous les sophismes, il lui annonce une crise effrayante en préparation et qu'il est pressant de devenir exclusivement royaliste ou républicain et qu'il ne sera plus possible d'échapper à son sort sous aucun subterfuge. Il annonce au début de cette année 1792 la proclamation de la république avant les autres écrivains[88].

Payen d'Allonville est le nom de son premier ancêtre connu vivant au début du XIIe siècle[89][90].


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Emigré (1794), puis commissaire des guerres adjoint (1797/98)[]

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Il est commissaire des guerres adjoint (1797/98).

Et de nouveau en 1794, Armand François Allonville émigre, avec son épouse Charlotte Levavasseur. Il est capitaine d'une compagnie dans les cadres de Lorge qui ne se forme pas, mais est nommé colonel au service du roi de France, en 1795[91][92][93][94].

D'Allonville décide de retourner en France fin 1795. On le retrouve commissaire des guerres adjoint, employé à l'armée d'Italie (1797/98). Il fournit des articles politiques et littéraires à des journaux : Le thé, de Jean-Marie-Bernard Clément], dit Clément de Dijon, L'historien et le Journal d'opposition littéraire, de Charles Joseph Colnet Du Ravel[95].

En juillet 1799, son épouse décède. Armand François Allonville demande sans succès à servir dans la Légion italique en 1800/1804[96].

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Armand François Allonville demande sans succès à servir dans la Légion italique en 1800/1801.

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D'ALLONVILLE EN RUSSIE[]

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Précepteur français des Rostopchine[]

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Armand Joseph est le précepteur français des Rostopchine, les parents de la comtesse de Ségur. Fédor Vassilievitch Rostoptchine (1763 - 1826) est lieutenant-général d’infanterie et ancien ministre des Affaires étrangères de 1799 à 1801, grand-maréchal de cour.

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Le château de Voronovo avant 1812.

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La maison hollandaise de Voronovo.

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L'église de Voronovo.

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Portrait de la comtesse de Ségur en 1823.

Vu le refus de l'administration impériale de l'affecter dans la Légion italique en 1800/1804, Armand se rend en Russie, et y retrouve le prince de Condé et ses officiers[97].

Armand François Allonville va passer une vingtaine d'années dans ce pays.

La Russie est déjà un immense empire dont Armand François d'Allonville est un des rares Français à deviner la force invincible[98][99].

Le comte d'Allonville est secrétaire du duc de Serracapriolo, ambassadeur du roi des Deux-Siciles, près la cour de Saint-Petersbourg[100][101].

L'empereur Alexandre Ier de Russie charge Armand Joseph de divers travaux importants, ainsi que l'attestent de nombreux manuscrits qu'il laissera et dont la plupart ne verront pas le jour[102].

Armand Joseph est le précepteur français des Rostopchine, les parents de la comtesse de Ségur.

Même s'il est en disgrâce, Fédor Vassilievitch Rostoptchine (1763 - 1826) est un lieutenant-général d’infanterie et ancien ministre des Affaires étrangères de 1799 à 1801 et grand-maréchal de cour. Ce comte est un homme bien au courant de l'état de Russie. Il accueille dans sa somptueuse demeure de Voronovo, à une cinquantaine de kilomètres de Moscou, Armand François et sa fille âgée de 9 ans. Dans ce monde assez clos son arrivée est un évènement important. D'Allonville est un rapidement considéré par ses hôtes comme un homme charmant. Cet émigré, de grande famille, neveu d'Antoine Charles Augustin d'Allonville, ancien précepteur du Dauphin est un précepteur très apprécié et très estimé.

C'est chez les Rostopchine qu'il fait la connaissance de la comtesse Céleste Octavie von Munnich, arrière-petite-fille du célèbre maréchal Burckhardt Christoph von Münnich, fille d'un général. C'est l'abbé Henri Edgeworth de Firmont, dernier confesseur de Louis XVI, qui bénit le mariage du comte d'Allonville avec l'arrière-petite-fille de Munnich en 1804 à Mittau, où il est exilé avec Céleste Octavie de Munnich (1785 - 1851), qui a de la famille dans cette ville[103][104][105][106].

La Comtesse de Ségur écrit à propos de château familial de Voronovo :

Près de deux mille habitants y vivaient qui tous étaient dépendants du barine. Les maîtres du domaine, sorte de phalanstère agrémenté d'esclaves, hébergeaient leur clergé, leurs médecins, les précepteurs, les institutrices et les gouvernantes de leurs enfants, des parents pauvres, des émigrés de haute lignée, des orphelins de basse condition, des émigrés innombrables. Il y avait Tonci, le peintre. Rachwitz, l'écuyer. Anderson, le directeur des haras. Peterson, le fermier écossais. Reiner, le vétérinaire. Il y avait le docteur Kraft et la comtesse Munich qui étaient allemands, M. d'Allonville ancien précepteur du dauphin et sa fille qui étaient français. Il y avait Nathalie Rostopchine, une cousine éloignée du comte Fiodor, au visage grêlé par la petite vérole, Barbe Protassov, la sœur bossue de la comtesse Catherine, et beaucoup d'autres qui allaient, venaient, s'incrustaient ou repartaient sans dire au revoir ni merci[107].

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La paternité du plan de Barclay de Tolly[]

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Le comte d'Allonville va être en grande partie à l'origine du plan de campagne de Barclay de Tolly[108].

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Le comte d'Allonville va être en grande partie à l'origine du plan de campagne de Barclay de Tolly[109].

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Barclay accorda au plan de d'Allonville la plus entière approbation, il se pénétra de son contenu et résolut de s'en tenir à lui[110][111].

En 1812, Fédor Vassilievitch Rostoptchine est gouverneur de Moscou lors de l’entrée de la Grande Armée. Malgré l’opposition des propriétaires des plus belles demeures, il organise le grand incendie qui oblige Napoléon à une retraite désastreuse.

Certains historiens attribuent à Armand François Allonville la paternité du plan de Barclay de Tolly qui organise la retraite des troupes russes dans la Campagne de Russie (1812)[112][113][114][115].

Le plan de campagne est longuement médité chez les Russes et leurs conseillers : le Français d'Allonville, l'Allemand Wolzogen, le Livonien Barclay, le Prussien Pliull et d'autres encore... donnent leurs avis motivés[116][117].

Selon Schmitt ce plan, est la base sur laquelle s'élève le plan d'opérations et tout le système de défense de la Russie :

Barclay accorda au plan de d'Allonville la plus entière approbation, il se pénétra de son contenu et résolut de s'en tenir à lui au début de la guerre, puisque ses projets concordaient souvent avec l'esprit des idées exprimées précédemment par Wollzogen ; l'on doit convenir si tôt que l'on compare ce plan avec la réalité qu'il a eu l'influence la plus décisive sur le cours des événements, puisqu'il souleva beaucoup d'idées que l'on mit ensuite en œuvre[118].
Les attachés militaires à Vienne et à Paris donnaient les mêmes conseils[119].
Le baron Van Tuyll van Serooskerken adresse à Barclay de Tolly le 22 septembre 1811 une lettre où il exposait les mêmes vues[120].

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1839 : lettre au comte d'Allonville au sujet d'une promesse de S.M Alexandre.

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SOUS LA RESTAURATION[]

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1814 - 1828 Paris-Moscou[]

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Reconnaissance de la position de Créçancy / Armand François d'Allonville (1764 - 1832). Opérations militaires.

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Armand François d'Allonville arrache avec son frère, Alexandre Louis d'Allonville, qui est préfet à Rennes, le vertueux général Jean-Pierre Travot à la mort, malgré le fait qu'ils ne partagent pas ses opinions[121][122][123].

En 1813, il rédige avec Alphonse de Beauchamp sur Louis XVIII un Précis biographique qu'il adresse aux souverains alliés.

Après les évènements de 1815 peu soucieux de courir la carrière des places, il assiste Alphonse de Beauchamp dans la rédaction des Mémoires tirés des papiers d'un homme d'État, sur les causes secrètes qui ont déterminé la politique des cabinets dans la guerre de la révolution, depuis 1792 jusqu'en 1815[124][125][126][127][128].

Armand François d'Allonville est nommé maréchal de camp en 1814 et revient à Paris, en 1815.

Armand François d'Allonville publie donc, entre autres, Les mémoires secrets de 1770 à 1830[129], que cite abondamment François Bluche dans La noblesse française au XVIIIe siècle' et succède à Alphonse de Beauchamp, dans la rédaction des Mémoires tirés des papiers d'un homme d'État, sur les causes secrètes qui ont déterminé la politique des cabinets dans la guerre de la révolution, depuis 1792 jusqu'en 1815[130].

Armand François d'Allonville arrache avec son frère, Alexandre Louis d'Allonville, qui est préfet à Rennes, le vertueux général Jean-Pierre Travot à la mort, malgré le fait qu'ils ne partagent pas ses opinions[131][132][133].

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La cousine germaine de son épouse[]

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Sa seconde femme est la cousine germaine de Barbara Juliane von Krüdener qu'il rencontre régulièrement au début de la Restauration.

A cette époque, Armand François d'Allonville rencontre très souvent la cousine germaine de sa femme, la célèbre baronne Barbara Juliane von Krüdener, logée dans l'hôtel tout délabré du comte de Montchenu, jouxtant le palais de l'Élysée, où vit son ami, Alexandre Ier empereur de Russie[134]. Au moment des Cent-Jours, elle demande au tsar Alexandre, son souverain, d'assumer le rôle d'élu de Dieu et, comme tel, de prendre la direction d'une nouvelle Église chrétienne régénérée et lavée des atrocités de la Révolution et de l'Empire. Une porte privée relie les deux demeures et chaque soir l'empereur participe aux prières et aux réunions dirigées par la baronne. Elle semble jouer alors un certain rôle politique auprès de l'élite européenne de l'époque.

Armand François d'Allonville la critique dans ses Mémoires et montre le rôle trop important qu’occupe cette femme mysthique dans la politique étrangère européenne et française en 1815.

Il la rencontre aussi par la suite en Russie, où elle est en disgrâce[135][136][137].

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1828 - 1853[]

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Il est en 1836, Vice-président de l'Institut historique et participe à un Congrès historique européen[138].

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Le père du maréchal Fabert rachète le château de Moulins-lès-Metz avec Maison-Rouge, où va vivre d'Allonville.

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Armand François d'Allonville meurt le 20 août 1853 à Metz.

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fin de l"acte.

Dans la réalité, il ne rentre vraiment en France que vers la fin de 1828. Il ne prend point part aux affaires publiques et continue à se livrer entièrement à des études littéraires[139].

Armand François d'Allonville, légitimiste, ne peut que déplorer les résultats de la nouvelle révolution qui renverse le trône de Charles X]][140].

Armand François d'Allonville est choisi pour être rédacteur du Journal de l'Armée et de la Revue de la Société des études historiques[141].

Il concourt à la rédaction de plusieurs autres revues ou écrits périodiques. Il fournit notamment de nombreux articles au Dictionnaire de la Conversation[142][143][144] à la Biographie universelle ; au recueil dit des Cent-un ; au journal de l'Institut Historique, dont il est membre de la 1re classe[145].

Il allait revoir et mettre eu état d'être imprimés deux volumes de mélanges pour faire suite aux mémoires secrets, sous le titre : Ma philosophie ou pensées, maximes et réflexions sur la religion, la morale et la politique, au moment où il a eu le malheur d'être frappé d'une cécité complète. Parmi les manuscrits relatifs au gouvernement russe que nous venons d'indiquer se trouve un travail considérable sur l'histoire de la Russie, sur le développement successif de sa puissance. En outre des poésies, fables, contes, épitres, traductions, etc...[146].

Il est en 1836, Vice-président de l'Institut historique et participe à un Congrès historique européen[147].

Abraham Fabert, père du maréchal Fabert, rachète le château et le ban de Moulins-les-Metz avec la ferme de Maison-Rouge, où va finir ses jours d'Allonville la comtesse Catherine de Münnich (1785 - 1851). Armand François d'Allonville meurt, à l'âge de 88 ans, le 20 août 1853 à Metz[148]. Le vaste domaine appelé la Maison-Rouge vaut, dit-on, plus d'un million, selon L'Est Républicain et le Figaro.


D'Allonville prétend dans ses Mémoires que Danton a fait enlever des joyaux (en maquillant le fait par un vol de truands).

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Le mythe de la bataille de Valmy[]

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Valmy, l'invention de la bataille décisive.

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Marat et le général Dumouriez qui va être contraint à émigrer.

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A Valmy nos ennemis ont 184 morts ou blessés[149]. Toutes les images de la bataille sont des faux grossiers.

En 1841, Armand François d’Allonville soutient que la canonnade ne peut être considérée en tant que bataille, puisqu’elle n’a pas été meurtrière et qu’elle n'est prévue que comme prélude à une véritable bataille le 26 septembre :

Que dire encore de la canonnade de Valmy, dont on a fait une bataille, afin de transformer en victoire une retraite qui n’eut lieu que dix jours après et à la suite de négociations déjà précédemment et secrètement entamées. Cette canonnade, où le roi de Prusse manifesta sa froide valeur, et le duc de Brunswick un manque total de décision, avait coûté aux alliés cent hommes environ tués ou blessés ; et tout annonçait pour le 26 une attaque générale, à laquelle le corps émigré, arrivé depuis le 13, aurait pris part[150].

Aucun des protagonistes de la canonnade ne trouve de grâce à ses yeux, si ce n’est le roi Frédéric-Guillaume II :

les ministres prussiens auraient été corrompus par les diamants du Garde-Meuble, Brunswick n’était pas digne de confiance et Dumouriez est un terrible personnage dont les mémoires sont « défigurés par nombre de mensonges. L’auteur considère que les révolutionnaires n’avaient aucune valeur militaire.

Le complot seul pouvant justifier la retraite des Prussiens, car l’armée des émigrés est prête à se battre. Un autre propos d’Allonville est révélateur de l’étendue des rumeurs qui circulent au sujet de Valmy, car lui-même en rejette une :

Le bruit courut à l’armée qu’une lettre de Louis XVI avait été la cause de cette inconcevable retraite. […] et le public l’adopta avec d’autant plus de facilité, qu’il était impossible, malgré l’annonce de victoires imaginaires, d’expliquer autrement l’issue de cette campagne, à moins d’avoir été dans le secret de la plus honteuse des négociations.

D’après lui, la rumeur d’une lettre de Louis XVI s'est donc diffusée dès la défaite des Prussiens dans le camp des émigrés, afin que ceux-ci acceptent plus facilement la retraite, puisque c’est leur roi qui leur demande. Pour le comte d’Allonville, il est d’autant plus nécessaire de divulguer ce complot, car il permet de disculper le roi de tout soupçon.

En 1838, il a déjà fait paraître des mémoires tirés des papiers d’un homme d’État qui devaient dévoiler les causes secrètes qui auraient déterminé la politique des cabinets lors des guerres révolutionnaires. Il a alors déjà présenté Valmy comme un simulacre de bataille et expliqué les manœuvres de Dumouriez et de Danton auprès de Brunswick. Toutefois, il n’y mentionne pas la rumeur de la lettre de Louis XVI et conçoit encore qu’il y a eu un affrontement à Valmy, même s’il estime que Brunswick aurait pu remporter la victoire s’il l’avait voulu. On peut en conclure qu’entre 1838 et 1841, les positions du comte se sont durcies[151].

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SES MARIAGES ET SES DESCENDANTS[]

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Armand François d'Allonville se marie en 1793 avec Alexandrine Charlotte Le Vavasseur (1769 - 1799), puis en 1804 à Mittau avec la comtesse Catherine de Münnich.

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Premier mariage (1793)[]

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Maurice-Henry du Val de Dampierre.

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Elisabeth du Val de Dampierre, descendante des d'Allonville, se marie avec le marquis Léon d'Hugleville.

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Le château d'Hugleville.

Armand François d'Allonville se marie avec Alexandrine Charlotte Le Vavasseur (23 août 1769 - 7 juillet 1799) en 1793, veuve du baron de Béthune Hesdigneul[152]. Elle a une fille de son premier mariage, Marie qui se marie en 1807 à Armand Jean Louis Jehannot de Bartillat, marquis d'Huriel et marquis de Bartillat[153][154][155][156]. Armand François d'Allonville a une fille avec sa première femme :

Marie-Louise d’Allonville (1794 - 1877), de 20 ans sa cadette, se marie le 9 mai 1816 à Rennes avec son oncle Alexandre Louis d'Allonville (1774 - 1852). Il doit pour faire célébrer chrétiennement cette union consanguine obtenir une dispense papale[157], d'où une fille :
Armande Marie-Antoinette d’Allonville qui se marie avec le comte Frédéric des Mazis (1802 - 1859) qui a deux enfants :
Louise Marie Robertine des Mazis †
Louise Aloyse Marie Françoise des Mazis °1841, mariée le 9 avril 1859, Paris VI°, avec Maurice-Henry du Val de Dampierre, comte de Dampierre 1823 - 1892, général, grand officier de la Légion d'honneur et chevalier de l'Ordre de Saint-Louis, dont :
Robert-Henri-Léon-Armand du Val de Dampierre
Elisabeth du Val de Dampierre, descendante des d'Allonville, se marie avec le marquis Léon d'Hugleville, dont :
Jean d'Hugleville,
Hélion d'Hugleville, Voir Morts pour la France † 1914 - 1918,
Roberte d'Hugleville.

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Second mariage (1804)[]

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Burckhardt Christoph von Münnich.

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L'ancêtre des Kapnist, poète, Cosaque, adversaire du servage.

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Maria Rostislavovna Kapnist (1914 - 1993).

Veuf, Armand François d'Allonville Armand épouse en secondes noces la comtesse Catherine de Münnich (1785 - 1851), en 1804 à Jelgava (Mittau). Elle est la fille d'un général, la petite-fille du comte Ernst de Munnich, fondateur du Musée de l'Ermitage, et l'arrière-petite-fille du célèbre maréchal Burckhardt Christoph von Münnich, et aussi la cousine germaine de Barbara Juliane von Krüdener (1764 - 1824). C'est une Germano-balte qui sert de conseillère au comte Rostopchine. Cette demoiselle habite leur château. Malgré leur grande différence d'âge , elle tombe amoureuse de ce gentilhomme français qui a 40 ans.

Du fait de son mariage avec une Münnichh, Armand François Allonville récupère les mémoires du célèbre Burckhardt Christoph von Münnich[158][159].

Le comte a trois enfants avec sa seconde femme :

  • Raphaël d’Allonville
  • Catherine d’Allonville se marie à 16 ans avec Petro Mykolayovych Kapnist (1796 – 1865), jeune colonel de la Garde impériale russe. Leur fils Mykhailo Petrovych est ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de Russie à Venise. Il meurt dans un accident de la route en 1908. Son fils, le grand-père du comte Giovanni Kapnist, est directeur de banque à Rio de Janeiro et retourne à Venise dans les années 1920.

Indifférente aux somptueux cadeaux de son mari, Catherine d’Allonville divorce et se remarie avec un jeune noble russe du nom de Bobarykin.

  • Pierre d’Allonville (1821 - 1877), marié en 1840 à Valérie de Lauzières-Thémines, sa cousine (1821 - 1890), fille de Jean-Baptiste-Alphonse, comte de Thémines (+ 1877) et d’Adélaïde-Élisabeth-Armandine de Mertrus de Saint-Ouen (+ 1822)[160].
    • Leur fils, Emmanuel Armand d'Allonville d'Oysonville (15 mai 1841 - 1912) écrit à Henri Dunant (fondateur de la croix-rouge) du Cap Martin]] en 1903, au nom du Prince impérial et de l'impératrice Eugénie de Montijo.

La famille d'Allonville s'est éteinte avec ce dernier descendant, après avoir été cité pendant neuf siècles.


Arbre généalogique (simplifié) des Munnich : 
Anton Günther von Münnich (1645 - 1721)
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 |--> Burckhardt Christoph von Münnich (1683 - 1767)
 |     x Christiane Lucretia de Witzleben
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 |       |--> Ernst deMünnichh (1707 - 1788)
 |       |       x Anne-Dorothée de Mengden
 |       |         | 
 |       |         |--> Antoine de Münnich
 |       |         |      |
 |       |         |      |--> Serge de Münnich
 |       |         |      |
 |       |         |      |--> Catherine de Münnich (1785 - 1851)
 |       |         |            x Armand François d'Allonville (1764 - 1852)
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 |       |         |--> Johan Gottlieb de Münnich (1735  -1813)
 |       |         |
 |       |         |--> Ernst Gustave de Münnich (1740 - 1812)
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 |       |         |--> Anna Ulrika de Münnich (1741 - 1811)
 |       |               x Hermann von Vietinghoff (1722 - 1792)
 |       |                  |
 |       |                  |--> Barbara Juliane von Krüdener (1764 - 1824)
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 |       |--> Sophie de Münnich
 |       |
 |       |--> Louise Dorothée de Münnich
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 |--> Johann Rudolf von Münnich (1678 - 1730) 
 |        
 |--> Christian Wilhelm von Münnich (1686 - 1768)

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Le château d'Hugleville.

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RÉFÉRENCES[]

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  1. Biographie d'Hommes vivants, Volume 1. p. 51. 1816
  2. Biographie d'Hommes vivants, Volume 1. p. 51. 1816
  3. Campagne de Russie (1812). Opérations militaires (24 juin-19 juillet). Fabry, Gabriel (1869-1913). L. Gougy (Paris), puis R. Chapelot (Paris) : 1900-1903
  4. Mémoires secrets de 1770 à 1830, Allonville D’Armand Francois – Alphonse de Beauchamp.
  5. Dictionnaire De La Conversation Et De La Lecture, Inventaire Raisonné Des Notions Générales Les Plus Indispensables A Tous Par Une Société De Savants Et De Gens De Lettres, Tome 4, Duckett W., p.392.
  6. Journal, L'Investigateur, Société des études historiques, Investigateur - 1853, p.253.
  7. Biographie d'Hommes vivants, Volume 1. p. 51. 1816
  8. Biographie d'Hommes vivants, Volume 1. p. 51. 1816
  9. Biographie d'Hommes vivants, Volume 1. p. 51. 1816
  10. Les supercheries littéraires dévoilées: galerie des auteurs apocryphes ... - Page 239, Joseph-Marie Quérard – 1847
  11. La littérature française contemporaine: XIX siècle ... Le tout accompagné de ... - Page 25, de Joseph Marie Quérard, Louis-Ferdinand-Alfred Maury – 1842
  12. Mémoires secrets de 1770 à 1830, Allonville D’Armand Francois – Alphonse de Beauchamp
  13. Nouvelle Biographie Générale Depuis Les Temps Les Plus Reculés Jusqu'A Nos Jours, Avec Les Renseignements Bibliographiques Et L'Indication Des Sources A Consulter ; Firmin Didot Frères, Sous La Direction De M. Le Dr Hoefer, p.167.
  14. présenté à la cour en 1788
  15. Journal, L'Investigateur, Société des études historiques - 1853, p.253
  16. Nobiliaire Universel De France Ou Recueil Général Des Généalogies Historiques Des Maisons Nobles De Ce Royaume. Familles : ... Saint-Allais, Nicolas Viton De - Avec Le Concours De Mrs De Courcelles, L'Abbe De L'Espines, De Saint-Pons & Autres Généalogistes Célèbres - Chevillard - De Chamillard, p.340
  17. La littérature française contemporaine: XIX siècle ... Le tout accompagné de ... - Page 25, de Joseph Marie Quérard, Louis-Ferdinand-Alfred Maury – 1842
  18. Dictionnaire De La Conversation Et De La Lecture, Inventaire Raisonné Des Notions Générales Les Plus Indispensables A Tous Par Une Société De Savants Et De Gens De Lettres, Tome 4, Duckett W., p.392.
  19. La littérature française contemporaine: XIX siècle ... Le tout accompagné de notes biographiques et littéraires, Joseph Marie Quérard, Louis-Ferdinand-Alfred Maury, Daguin frères, 1842, p.26.
  20. Journal, L'Investigateur, Société des études historiques - 1853, p.253.
  21. Biographie d'Hommes vivants, Volume 1. p. 51. 1816
  22. Mémoires secrets de 1770 à 1830, Allonville D’Armand François – Alphonse de Beauchamp
  23. Mémoires secrets de 1770 à 1830, Allonville D’Armand Francois – Alphonse de Beauchamp
  24. La Comtesse de Ségur et les siens, de Marthe de Hédouville, p.30 et 31
  25. Biographie d'Hommes vivants, Volume 1. p. 51. 1816
  26. Nobiliaire Universel De France Ou Recueil Général Des Généalogies Historiques Des Maisons Nobles De Ce Royaume, p.340
  27. Dictionnaire De La Conversation Et De La Lecture, Inventaire Raisonné Des Notions Générales Les Plus Indispensables A Tous Par Une Société De Savants Et De Gens De Lettres, Tome 4, Duckett W., p.392.
  28. Les supercheries littéraires dévoilées: galerie des auteurs apocryphes ... - Page 239, de Joseph-Marie Quérard – 1847
  29. La littérature française contemporaine: XIX siècle ... Le tout accompagné de ... - Page 25, Joseph Marie Quérard, Louis-Ferdinand-Alfred Maury – 1842
  30. Journal, L'Investigateur, Société des études historiques, Investigateur - 1853, p.254.
  31. Campagne de Russie (1812). Opérations militaires (24 juin - 19 juillet). Fabry, Gabriel (1869-1913). L. Gougy (Paris), puis R. Chapelot (Paris) : 1900-1903
  32. Mémoires secrets de 1770 à 1830, Allonville D’Armand Francois – Alphonse de Beauchamp.
  33. Journal, L'Investigateur, Société des études historiques, Investigateur - 1853, p.253
  34. Mémoires secrets de 1770 à 1830, Allonville D’Armand Francois – Alphonse de Beauchamp
  35. Les supercheries littéraires dévoilées: galerie des auteurs apocryphes ... - Page 239, de Joseph-Marie Quérard – 1847
  36. La littérature française contemporaine: XIX siècle ... Le tout accompagné de ... - Page 25, Joseph Marie Quérard, Louis-Ferdinand - Alfred Maury – 1842.
  37. Dictionnaire De La Conversation Et De La Lecture, Inventaire Raisonné Des Notions Générales Les Plus Indispensables A Tous Par Une Société De Savants Et De Gens De Lettres, Tome 4, Duckett W., p.392
  38. 'Mémoires secrets de 1770 à 1830, Allonville D’Armand Francois – Alphonse de Beauchamp et Les supercheries littéraires dévoilées: galerie des auteurs apocryphes ...,de Joseph-Marie Quérard – 1847, pp. 240 et 241 de Joseph Marie Quérard, Louis-Ferdinand-Alfred Maury – 1842
  39. La littérature française contemporaine: XIX siècle ... Le tout accompagné de ... Page 25, de Joseph Marie Quérard, Louis-Ferdinand-Alfred Maury – 1842
  40. Nouvelle Biographie Générale Depuis Les Temps Les Plus Reculés Jusqu'A Nos Jours, Avec Les Renseignements Bibliographiques
  41. L'Indication Des Sources A Consulter' ; Publiée Par Mm. Firmin Didot Frères, Sous La Direction De M. Le Dr Hoefer, Hoefer (dr. J.C.F.), p.168.
  42. Journal, L'Investigateur, Société des études historiques - 1853, p.253.
  43. Journal, L'Investigateur, Société des études historiques - 1853, p.253.
  44. Campagne de Russie (1812). Opérations militaires (24 juin - 19 juillet). Fabry, Gabriel (1869-1913). L. Gougy (Paris), puis R. Chapelot (Paris) : 1900-1903
  45. Mémoires secrets de 1770 à 1830, Allonville D’Armand Francois – Alphonse de Beauchamp.
  46. Journal, L'Investigateur, Société des études historiques - 1853, p.253
  47. Les supercheries littéraires dévoilées: galerie des auteurs apocryphes ... Page 239, de Joseph-Marie Quérard – 1847
  48. La littérature française contemporaine: XIX siècle ... Le tout accompagné de ... - Page 25, de Joseph Marie Quérard, Louis-Ferdinand-Alfred Maury – 1842
  49. Mémoires secrets de 1770 à 1830, Allonville D’Armand Francois – Alphonse de Beauchamp
  50. Dictionnaire historique et biographique des généraux français, depuis le onzième siècle jusqu'en ... par Jean Baptiste Pierre Jullien Courcelles, p.79.
  51. T 169 Papiers d’Allonville. Archives nationales (Paris)
  52. État militaire de 1760 et Louis Joachim Jehannot de Bartillat
  53. M1 , Louis Joachim Jehannot de Bartillat
  54. Armorial du Bourbonnais par le cte George de Soultrait - Page 196, Jacques Hyacinthe Georges Richard Soultrait - 1857.
  55. présenté à la cour en 1788
  56. Journal, L'Investigateur, Société des études historiques, Investigateur - 1853, p.253
  57. Nobiliaire Universel De France Ou Recueil Général Des Généalogies Historiques Des Maisons Nobles De Ce Royaume. Familles : ... Saint-Allais, Nicolas Viton De - Avec Le Concours De Mrs De Courcelles, L'Abbe De L'Espines, De Saint-Pons & Autres Généalogistes Célèbres - Chevillard - De Chamillard, p.340
  58. La littérature française contemporaine: XIX siècle ... Le tout accompagné de ... - Page 25, de Joseph Marie Quérard, Louis-Ferdinand-Alfred Maury – 1842
  59. Dictionnaire De La Conversation Et De La Lecture, Inventaire Raisonné Des Notions Générales Les Plus Indispensables A Tous Par Une Société De Savants Et De Gens De Lettres, Tome 4, Duckett W., p.392.
  60. Mémoires secrets de 1770 à 1830, cité par François Bluche, dans La noblesse française au XVIIIe siècle, janvier 2013 Fayard
  61. Journal. L'Investigateur, Société des études historiques, Investigateur, 1841, p.372
  62. Revue des études historiques, Société des études historiques (France), Baudouin, Paris, 1841, p.372.
  63. Dictionnaire des ouvrages anonymes, Antoine Alexandre. Barbier, Joseph-Marie Quérard, Féchoz et Letouzey, 1889, p.262.
  64. Mémoires secrets de 1770 à 1830, cité par François Bluche, dans La noblesse française au XVIIIe siècle, janvier 2013 Fayard
  65. Mémoires secrets de 1770 à 1830, cité par François Bluche, dans La noblesse française au XVIIIe siècle, janvier 2013 Fayard
  66. Mémoires secrets de 1770 à 1830, cité par François Bluche, dans La noblesse française au XVIIIe siècle, janvier 2013 Fayard
  67. Mémoires secrets de 1770 à 1830, cité par François Bluche, dans La noblesse française au XVIIIe siècle, janvier 2013 Fayard
  68. présenté à la cour en 1788
  69. État actuel de la noblesse de France, par Saint-Allais, Nicolas Viton de (généalogiste, pseud. Revenaz), Paris, 1816, p.358.
  70. La noblesse de France aux croisades, Paul Roger, Paul André Roger, Derache, 1845, p.545.
  71. Nouvelle Biographie Générale Depuis Les Temps Les Plus Reculés Jusqu'A Nos Jours, Avec Les Renseignements Bibliographiques Et L'Indication Des Sources A Consulter ; Publiée Par Mm. Firmin Didot Frères, Sous La Direction De M. Le Dr Hoefer, Hoefer (dr. J.C.F.), p.167.
  72. Mémoires secrets de 1770 à 1830, Allonville D’Armand François – Alphonse de Beauchamp
  73. Nobiliaire Universel De France Ou Recueil Général Des Généalogies Historiques Des Maisons Nobles De Ce Royaume. Saint-Allais, Nicolas Viton De - Avec Le Concours De Mrs De Courcelles, L'Abbe De L'Espines, De Saint-Pons & Autres Genealogistes Celebres - Chevillard - De Chamillard, p.340
  74. Mémoires secrets de 1770 à 1830, Allonville D’Armand François – Alphonse de Beauchamp.
  75. Journal, L'Investigateur, Société des études historiques, Investigateur - 1853, p.253
  76. Nobiliaire Universel De France Ou Recueil Général Des Généalogies Historiques Des Maisons Nobles De Ce Royaume. Saint-Allais, Nicolas Viton De - Avec Le Concours De Mrs De Courcelles, L'Abbe De L'Espines, De Saint-Pons & Autres Généalogistes Célèbres - Chevillard - De Chamillard, p.340
  77. La littérature française contemporaine: XIX siècle ... Le tout accompagné de notes biographiques et littéraires, Joseph Marie Quérard, Louis-Ferdinand-Alfred Maury, Daguin frères, 1842, p.25, Inventaire Raisonné Des Notions Générales Les Plus Indispensables A Tous Par Une Société De Savants Et De Gens De Lettres, Tome 4, Duckett W., p.392.
  78. La littérature française contemporaine: XIX siècle ... Le tout accompagné de notes biographiques et littéraires, Joseph Marie Quérard, Louis-Ferdinand-Alfred Maury, Daguin frères, 1842, p.26.
  79. La littérature française contemporaine: XIX siècle ... Le tout accompagné de notes biographiques et littéraires, Joseph Marie Quérard, Louis-Ferdinand-Alfred Maury, Daguin frères, 1842, p.26.
  80. Armand-François d'Allonville. Mémoires secrets de 770 à 1830, cité par François Bluche dans La noblesse française au XVIIIe siècle.
  81. Journal, L'Investigateur, Société des études historiques, 1853, p.253.
  82. Journal, L'Investigateur, Société des études historiques, 1853, p.253
  83. Dictionnaire De La Conversation Et De La Lecture, Inventaire Raisonné Des Notions Générales Les Plus Indispensables A Tous Par Une Société De Savants Et De Gens De Lettres, Tome 4, Duckett W., p.392.
  84. Biographie moderne, ou Dictionnaire biographique, de tous les hommes morts et vivans qui ont marqué à la fin du 18|e et au commencement de celui-ci, par leurs écrits, leur rang, leurs emplois, leurs talens, leurs malheurs, leurs vertus, leurs crimes, et où tous les faits qui les concernent ...Par Alph. de Beauchamp, H.L. de Coiffier, Gaubrières, Pierre François Félix Joseph Giraud, Joseph Fr Michaud, Henri Louis de Coiffier de Moret, Paul Jacques Besson, 1807, Notes sur l'article: P-Z, p.82
  85. Galerie historique des contemporaines, Pierre Louis Pascal de Jullian, Wahlen, Bruxelles, 1822, p.77.
  86. Captivité et derniers moments de Louis XVI.: récits originaux & documents officiels recueillis et publiés pour la Société d'histoire contemporaine / par le marquis de Beaucourt, Gaston Louis Emmanuel du Fresne Beaucourt, A. Picard, 1892, t.2, p.354
  87. Mémoires secrets de 1770 à 1830, Armand François Allonville, Société Belge de libraire, Hauman et compe, 1841, p.249.
  88. Biographie moderne, ou Dictionnaire biographique, de tous les hommes morts et vivans qui ont marqué à la fin du XVIIIe siècle et au commencement de celui-ci, par leurs écrits, leur rang, leurs emplois, leurs talens, leurs malheurs, leurs vertus, leurs crimes, et où tous les faits qui les concernent ..., Alph. de Beauchamp, H.L. de Coiffier, Gaubrières, Pierre François Félix Joseph Giraud, Joseph Fr Michaud, Henri Louis de Coiffier de Moret, Paul Jacques Besson, 1807, P-Z, p.82.
  89. Mémoires secrets de 1770 à 1830, Publié par Société Belge de libraire, Hauman et compagnie, 1841, p.234
  90. LA VENDITA DEI BENI NAZIONALI NELLA REPUBBLICA ROMANA DEL 1798-99, RENZO DE FELICE, Ed. di Storia e Letteratura, p.60.
  91. Arnault, Antoine Vincent (1766-1834). Biographie...? p.125 Journal, L'Investigateur, Société des études historiques, Investigateur - 1853, p.253
  92. Dictionnaire De La Conversation Et De La Lecture, Inventaire Raisonné Des Notions Générales Les Plus Indispensables A Tous Par Une Société De Savants Et De Gens De Lettres, Tome 4, Duckett W., p.392.
  93. Biographie moderne, ou Dictionnaire biographique, de tous les hommes morts et vivans qui ont marqué à la fin du XVIIIe siècle et au commencement de celui-ci, par leurs écrits, leur rang, leurs emplois, leurs talens, leurs malheurs, leurs vertus, leurs crimes, et où tous les faits qui les concernent ..., Alph. de Beauchamp, H.L. de Coiffier, Gaubrières, Pierre François Félix Joseph Giraud, Joseph Fr Michaud, Henri Louis de Coiffier de Moret, Paul Jacques Besson, 1807, Notes sur l'article: P-Z, p.82
  94. Galerie historique des contemporaines, Pierre Louis Pascal de Jullian, Wahlen, Bruxelles, 1822, p.77.
  95. La littérature française contemporaine: XIX siècle ... Le tout accompagné de notes biographiques et littéraires, Joseph Marie Quérard, Louis-Ferdinand-Alfred Maury, Daguin frères, 1842, v.1, p.26.
  96. 'Mémoires secrets de 1770 à 1830, Allonville D’Armand François – Alphonse de Beauchamp
  97. Mémoires secrets de 1770 à 1830, Allonville D’Armand François – Alphonse de Beauchamp
  98. Mémoires secrets de 1770 à 1830, Allonville D’Armand Francois – Alphonse de Beauchamp
  99. Biographie moderne, ou Dictionnaire biographique, de tous les hommes morts et vivans qui ont marqué à la fin du 18 et au commencement de celui-ci, par leurs écrits, leur rang, leurs emplois, leurs talens, leurs malheurs, leurs vertus, leurs crimes, et où tous les faits qui les concernent .... Alph. de Beauchamp, H.L. de Coiffier, Gaubrières, Pierre François Félix Joseph Giraud, Joseph Fr Michaud, Henri Louis de Coiffier de Moret, Paul Jacques Besson, 1807, P-Z, p.82.
  100. Les supercheries littéraires dévoilées: galerie des auteurs apocryphes ... - Page 239, de Joseph-Marie Quérard – 1847
  101. La littérature française contemporaine: XIX siècle ... Le tout accompagné de ... - Page 25, Joseph Marie Quérard, Louis-Ferdinand-Alfred Maury – 1842.
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  104. La Comtesse de Ségur et les siens, de Marthe de Hédouville, p.30
  105. Nobiliaire Universel De France Ou Recueil Général Des Généalogies Historiques Des Maisons Nobles De Ce Royaume. Saint-Allais, Nicolas Viton De - Avec Le Concours De Mrs De Courcelles, L'Abbe De L'Espines, De Sain-Pons & Autres Genealogistes Celebres - Chevillard - De Chamillard, p.340
  106. Dictionnaire De La Conversation Et De La Lecture, Inventaire Raisonné Des Notions Générales Les Plus Indispensables A Tous Par Une Société De Savants Et De Gens De Lettres, Tome 4, Duckett W., p.392 et Bibliographie napoléonienne française jusqu'en 1908 ... de Gustave Davois - 1910, page 233.
  107. La Comtesse de Ségur ou l'Enfance de l'art. Claudine Beaussant EAN : 9782221056806 ROBERT LAFFONT (27/04/1988)
  108. Napoleon and the Operational Art of War: Essays in Honor of Donald D. Horward. BRILL, 2 févr. 2016.
  109. Napoleon and the Operational Art of War: Essays in Honor of Donald D. Horward. BRILL, 2 févr. 2016.
  110. Revue des questions historiques, Volume 72, Publié 1902. p.543
  111. Napoleon and the Operational Art of War: Essays in Honor of Donald D. Horward. BRILL, 2 févr. 2016.
  112. Mémoires secrets de 1770 à 1830, Allonville D’Armand Francois – Alphonse de Beauchamp.
  113. Journal, L'Investigateur, Société des études historiques, 1853, p.253
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  116. Revue des questions historiques, Volume 72, Publié 1902. p.543
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  120. Napoleon and the Operational Art of War: Essays in Honor of Donald D. Horward. BRILL, 2 févr. 2016.
  121. Revue des études historiques, Société des études historiques, Institut Historique, 1841, v.8-9 (1841-42), p.375
  122. Journal. L'Investigateur, Société des études historiques, Paris 1841, p.375
  123. M1 Mémoires secrets de 1770 à 1830
  124. Dictionnaire De La Conversation Et De La Lecture, Inventaire Raisonné Des Notions Générales Les Plus Indispensables A Tous Par Une Société De Savants Et De Gens De Lettres, Tome 4, Duckett W., p.392
  125. Mémoires secrets de 1770 à 1830, Allonville D’Armand Francois – Alphonse de Beauchamp
  126. Les supercheries littéraires dévoilées: galerie des auteurs apocryphes ...'– 1847, pp. 240 et 241 de Joseph Marie Quérard
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  128. Nouvelle Biographie Générale Depuis Les Temps Les Plus Reculés Jusqu'A Nos Jours, Avec Les Renseignements Bibliographiques Et L'Indication Des Sources A Consulter ; Publiée Par Mm. Firmin Didot Frères, Sous La Direction De M. Le Dr Hoefer, p.168.
  129. Publiées à Paris par Werset, 1838-45, en 6 volumes
  130. Paris, 1828-1838, 13 volumes.
  131. Revue des études historiques, Société des études historiques, Institut Historique, 1841, v.8-9 (1841-42), p.375
  132. Journal. L'Investigateur, Société des études historiques, Paris 1841, p.375
  133. Mémoires secrets de 1770 à 1830
  134. François d'Orcival, Élysée. Les secrets du salon d'Argent, Le Figaro Histoire no 1, avril-mai 202, p. 114-115.
  135. Étude sur les origines de la Sainte alliance, E Muhlenbeck, F. Vieweg, 1887, p. 217
  136. Sainte-Beuve et la critique des auteurs féminins : thèse présentée pour le doctorat d'Université à la Faculté des Lettres de l'Université de Paris, par Juliette Decreus-van Liefland, Juliette Decreus, Boivin, 1949, p. 129
  137. Les fous littéraires: rectifications et additions à l'Essai bibliographique sur la littéraire excentrique, les illuminés, visionnaires, etc., de Philomneste junior, August Ivanovich Cherpakov, W. G. Gautier, 1883, p.152.
  138. Congrès historique européen, discours et compte-rendu des séances, 1836, Krabbe et Société des études historiques, Page x.
  139. Journal, L'Investigateur, Société des études historiques, 1853, p.253.
  140. Journal, L'Investigateur, Société des études historiques, 1853, p.253.
  141. 29e livraison. - Chronique de Nestor sur la Russie, traduction de M. L. Paris, par M. le comte d'Allonville
  142. Dictionnaire De La Conversation Et De La Lecture, Inventaire Raisonné Des Notions Générales Les Plus Indispensables A Tous Par Une Société De Savants Et De Gens De Lettres, Tome 4, Duckett W., p.392
  143. La littérature française contemporaine: XIX siècle ... Le tout accompagné de ... - Page 25, de Joseph Marie Quérard, Louis-Ferdinand-Alfred Maury – 1842
  144. Journal, L'Investigateur, Société des études historiques, 1853, p.253.
  145. Journal de L'Institut Historique, par l'Institut historique, p.265 et [http://www.chapitre.com/CHAPITRE/fr/BOOK/allonville-d-armand-francois-alphonse-de-beauchamp/memoires-tires-des-papiers-d-un-homme-d-etat-sur-les-causes-secretes-qui-ont-det,13169842.aspx Mémoires secrets de 1770 à 1830, Allonville D’Armand Francois – Alphonse de Beauchamp.
  146. Journal, L'Investigateur, Société des études historiques- 1853, p.253.
  147. Congrès historique européen, discours et compte-rendu des séances, 1836, Krabbe et Société des études historiques, Page x.
  148. Journal, L'Investigateur, Société des études historiques- 1853, p.253.
  149. A. G., Bataille de Valmy, Les 1001 batailles qui ont changé le cours de l’histoire, Flammarion, 2012, (ISBN 978-2-0812-8450-0), p. 480.
  150. Valmy, la naissance d’un mythe orléaniste et républicain (1830-1848). Elise Meyer Sous la direction de Christian Sorrel Professeur d’histoire contemporaine – Université Lumière Lyon 2
  151. Valmy, la naissance d’un mythe orléaniste et républicain (1830-1848). Elise Meyer Sous la direction de Christian Sorrel Professeur d’histoire contemporaine – Université Lumière Lyon 2
  152. Mariée en premières noces par contrat du 7 février 1786 au baron André-Maximilien-Ghyslain de Béthune Hesdigneul (°Arras 9.4.1759 - + Paris 4.4.1789)
  153. Arhiv grafov Mordvinovyh, vol. VII, p. 333 et suiv.
  154. Chaix-d’Est-Ange, Dictionnaire des familles anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome 1
  155. Jougla de Morénas, Grand armorial de France, n° 596 ; Saint-Allais, tome 2, p. 136 et suiv.
  156. Woëlmont de Brumagne, Notices généalogiques, tome 7.
  157. Thomas Rescan. Entre répression et modération: le préfet Alexandre Louis d’Allonville et l’administration de l’Ille-et-Vilaine au début de la seconde Restauration (juillet 1815-octobre 1817). Histoire. 2016.
  158. Biographie moderne, ou Dictionnaire biographique, de tous les hommes morts et vivans qui ont marqué à la fin du 18 et au commencement de celui-ci, par leurs écrits, leur rang, leurs emplois, leurs talens, leurs malheurs, leurs vertus, leurs crimes, et où tous les faits qui les concernent ..., Alph. de Beauchamp, H.L. de Coiffier, Gaubrières, Pierre François Félix Joseph Giraud, Joseph Fr Michaud, Henri Louis de Coiffier de Moret, Paul Jacques Besson, 1807, P-Z, p.82.
  159. Galerie historique des contemporaines, par Pierre Louis Pascal de Jullian, p. 77.
  160. Nobiliaire Universel De France Ou Recueil Général Des Généalogies Historiques Des Maisons Nobles De Ce Royaume. Saint-Allais, Nicolas Viton De - Avec Le Concours De Mrs De Courcelles, L'Abbe De L'Espines, De Saint-Pons & Autres Genealogistes Celebres - Chevillard - De Chamillard, p.340.

[Catégorie:Noble français]]

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