Wiki Guy de Rambaud
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                                  Apollinaire de Clermont 

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Apollinaire de Clermont, comte d'Auvergne, est-il l'ancêtre des Polignac ?

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Placidina épouse d'Apollinaire de Clermont, comte d'Auvergne.

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Enluminure du Bréviaire d'Alaric : notables gallo-romains.

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Royaume wisigoth à la fin du règne de Alaric II Balthes (458-507).

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Sidoine Apollinaire crée Arcade vicomte de Velay.

Apollinaire de Clermont, ou Apollinare II en latin, dit le jeune, est né en 455[1], à Augustonemetum, devenue Arvernis, Civitas Arvernorum, en Arvernie (Clermont-Ferrand)[2]. Il y décède et y est enterré en 515.


Fils du poète Sidoine Apollinaire et de son épouse Papianilla. Il fait partie, via cette famille des Avitii, de la haute aristocratie arverne. Il est aussi le chef du contingent auvergnat de l’armée wisigothique à la bataille de Vouillé (507), où il se bat contre les francs pour le compte du roi Alaric II Balthes. Il est nommé évêque de Clermont en 515 quelques mois avant son décès[3].

Après la cession de l’Auvergne aux Wisigoths par l’Empire Romain en échange de la Provence, Apollinaire se rapproche de la cour du comte Victorius ou Victor. Ce dernier va fuir Clermont à la suite d’un soulèvement de la population. Il rejoint l’Italie avec Apollinaire qu’il entraîne avec lui. Après l’assassinat de Victorius en Italie, Apollinaire préfère rentrer en sa ville natale. En 489, le roi wisigoth Alaric II Balthes (458-507) le nomme comte d’Auvergne (489 - 507), l'époque wisigothique. Apollinaire reprend de cette manière la place de son ami Victorius[4].

En 507, les Francs de Clovis franchissent la Loire pour prendre les territoires gothiques de la Gaule. Le roi wisigoth Alaric II Balthes (458-507) lève des troupes dont un nombre important d’Auvergnats et de Clermontois. Les 2 armées se retrouvent confrontées à la bataille de Vouillé. L’historien Grégoire de Tours écrit dans son Historia francorum le déroulement de la bataille de Vouillé où les troupes auvergnates combattent dans le même rang que les Wisigoths d’Alaric contre l’armée franque de Clovis[5].

La bataille est gagnée par les Francs, le roi Alaric II Balthes (458-507) est tué tandis qu’Apollinaire ayant survécu réussit à mener la retraite des restes de l’armée wisigothique et à rejoindre Clermont. Une fois arrivé dans la cité, Apollinaire reste sur place avec une partie des troupes tandis que la majorité des soldats se replient sur Toulouse, la capitale du royaume wisigoth afin d’accompagner le jeune héritier au trône, Amalaric qui accompagne son père[6].

Son retour en la capitale auvergnate marque notamment l’envoi de lettres à son cousin écrivain Avit de Vienne. À une date difficile à déterminer, une contre-offensive goth reprend au moins les cités de Rodez et d’Albi. Grégoire de Tours nous raconte les mésaventures de l’évêque Quintien de Rodez, un prêtre du patriarcat de Carthage exilé en Gaule à cause des Vandales devenu évêque de Rodez[7]. Chassé de sa cité par le parti pro-wisigoth, il se réfugie à Clermont dont l’évêque a été mis en place par les Burgondes alliés de Thierry. À la mort d’Euphraise en 515, le clergé l’élit pour son successeur, mais un complot ourdi par les femmes de la famille d’Apollinaire le renverse et installe à sa place l’ancien comte, Apollinaire de Clermont, qui reste fidèle au royaume wisigoth. Lui et sa famille comptent et souhaitent le retour des Wisigoths[8].

C’est l’occasion d’une première intervention du roi du fils de Clovis, Thierry Ier. Le putsch d’Apollinaire lui sert de prétexte pour intervenir en Auvergne et définitivement l’annexer. Pour le reste, il se contente de rétablir Quintien. Apollinaire est mort quelques mois après sa prise de l’épiscopat de Clermont[9][10].

L’Auvergne reste sous l’administration d’un comte, Hortensius, d’origine gallo-romaine, mais désormais dans la mouvance franque.

Marié avec Placidina, Apollinaire laisse derrière lui une fille également du nom de Placidina et un fils du nom d’Arcade de Clermont ou Arcade de Bourges qui soulève l’Auvergne contre les Francs en 532[11]. Apollinaire de Clermont et les Apollinaire sont la tige des Polignac</ref> Alexandre PAU - Le Temple d'Apollon</ref>.

Arcadius, entre ensuite dans les ordres sacrés, et remplace saint Sidoine au siège épiscopal de Clermont. C'est alors que celui-ci le crée vicomte de Vêlai, contrée réunie à l'Auvergne, et lui confère ainsi une dignité qui, tout en le soumettant à la puissance supérieure des comtes, est une véritable souveraineté ; car il y attache le droit de faire battre monnaie, et celui de faire grâce au condamnés, celui d'imposer des tailles ou contributions à volonté sur les habitants des terres dont il lui donne l'administration, et même celui de faire la guerre aux seigneurs ses voisins. Ses descendants, les vicomtes de Polignac, en usent avec assez de générosité, ou d'orgueil et d'énergie, pour se faire donner par les peuplades soumises à leur domination le titre fastueux de Reguli montium' rois des montagnes.

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Mosaïque à Ravenne datant de la chute de l'Empire romain (476 après J.-C..

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SA FAMILLE ET SA JEUNESSE[]

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Sa famille[]

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Buste de Sidonius Apollinaris.

Apollinaire de Clermont est le fils de Sidoine Apollinaire et de son épouse Papianilla (fille de l'empereur Avitus) et fait partie, via cette famille des Avitii, et de la haute aristocratie arverne[12]. Apollinaire de Clermont, ou Apollinare II en latin, est né en 456 à Augustonemetum, devenue Arvernis, Civitas Arvernorum, en Arvernie (Clermont-Ferrand)[13].


article détaillé : Sidoine Apollinaire

article détaillé : Apollinaire et le paganisme


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Sa jeunesse[]

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Victorius, comte d'Auvergne, duc d’Aquitania I.

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Aquitania I en 400.

Quand naît Apollinaire de Clermont en 456 la ville de Clermont porte le nom d'Arvernis. Elle est une évolution du centre de la ville romaine d'Augustonemetum. C'est à l'époque un des derniers bastions romains à tenir face aux wisigoths. La cité d'Arvernis est issue du repli sur la butte de Clermont de la cité gallo-romaine d'Augustonemetum, au IIIe siècle de notre ère, à la suite d'une première phase d'incursions de peuples germaniques. Arvernis est une ville de transition entre Augustonemetum, ville à l'urbanisme romain, et Clermont, ville médiévale qui résulte de l'évolution de la cité ecclésiale d'Arvernis.

Malgré la résistance de la ville, l'Auvergne et sa capitale intègrent le royaume wisigoth, dont Clermont devient un centre important. Après la cession de l'Auvergne aux wisigoths par l'Empire Romain en échange de la Provence, en 475. Apollinaire se rapproche de la cour du duc Victorius. Ce dernier est un ami personnel de Sidoine Apollinaire, qui le décrit comme un homme pieux et compatissant. Victorius est au service du roi wisigoth Euric et reçoit en 480 le titre de comte d’Auvergne, puis de dux d’aquitania prima. Il tient sa cour dans la ville de Clermont. Il est également mentionné comme dux septem civitates.

Le duc Victorius va fuir Clermont en 479/80 à la suite d'un soulèvement de la population contre lui, probablement en raison de sa vie amoureuse libertine. Il rejoint l'Italie avec Apollinaire de Clermont qu'il entraîne avec lui[14].

Après la lapidation du duc Victorius en Italie, en 489, Apollinaire préfère rentrer en sa ville natale[15].

Dès son retour, le roi wisigoth Alaric II Balthes (458-507) le nomme comte d'Auvergne et Apollinaire de Clermont reprend de cette manière la place de son ami le duc Victorius[16].

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La bataille de Vouillé (507)[]

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Edme Bouchardon, Wisigoths attaquant Clovis qui tue Alaric II, leur roi.

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Bataille de Vouillé (507) et siège de Paris.

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Alaric II Balthes (458-507) est tué par Clovis.

En 507, les Francs de Clovis franchissent la Loire pour prendre les territoires goths de la Gaule. Le roi wisigoth Alaric II Balthes (458-507) lève des troupes dont un nombre important d’Auvergnats et de Clermontois.

Les deux armées se retrouvent confrontées à la bataille de Vouillé. Le comte Apollinaire de Clermont dirige le contingent arverne de l'armée wisigothique[17]. L'historien Grégoire de Tours écrit dans son Historia Francorum le déroulement de la bataille de Vouillé où les troupes auvergnates combattent dans le même rang que les Wisigoths d'Alaric II Balthes (458-507) contre l'armée franque de Clovis[18].

L’historien Grégoire de Tours écrit dans son Historia francorum le déroulement de la bataille de Vouillé où les troupes auvergnates combattent dans le même rang que les Wisigoths d’Alaric contre l’armée franque de Clovis[19] :

On vit marcher contre les Francs, avec une intrépidité étonnante, 10000 citoyens de la ville d'Auvergne ayant à leur tête le fils du célèbre Sidoine Apollinaire. Le nouveau conquérant, Clovis, ne fut vainqueur que lorsqu'il ne trouva plus aucun Auvergnat pour lui disputer la victoire [...]
La bataille est gagnée par les Francs, le roi Alaric II Balthes (458-507) est tué par Clovis tandis qu'Apollinaire ayant survécu réussit à mener la retraite des restes de l'armée wisigothe et à rejoindre Clermont. Une fois arrivé dans la cité, Apollinaire reste sur place avec une partie des troupes tandis que la majorité des soldats se replient sur Toulouse, la capitale du royaume wisigoth afin d'accompagner le jeune héritier au trône, Amalaric qui accompagne son père.

Son retour en la capitale auvergnate Sidoine envoie de lettres à son cousin écrivain Avit de Vienne[20].

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Sidoine commande de Auvergnats de l'armée wisigothe à la bataille de Vouillé en 507.

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ARRIVÉE DES FRANCS EN AUVERGNE[]

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Remi baptisant Clovis.

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Soulagement avec la libération d'une ville assiégée; Empire romain occidental, début du Ve siècle.

À une date difficile à déterminer, une contre-offensive goth reprend au moins les cités de Rodez et d'Albi. Contre-offensive wisigothe ou offensive ostrogothe. Tous les Wisigoths n'ont par ailleurs pas émigré après la conquête franque : c'est le cas notamment à Rodez. Il faut situer ces évènements après 510[21]

Grégoire de Tours, dans son Histoire des Francs… (II, 36) écrit :

Comme après la mort de Clovis, les Goths avaient envahi beaucoup de terres que ce dernier avait conquises….

Grégoire de Tours nous raconte les mésaventures de l'évêque Quintien de Rodez, un prêtre du patriarcat de Carthage exilé en Gaule à cause des Vandales et qui est devenu évêque de Rodez. Chassé de sa cité par le parti pro-wisigoth, il se réfugie à Clermont dont l'évêque paraît avoir été mis en place par les Burgondes alliés de Thierry. À la mort d'Euphraise en 515, le clergé l'élit pour son successeur, mais un complot ourdi par les femmes de la famille d'Apollinaire le renverse et installe à sa place l'ancien comte, Apollinaire de Clermont, qui reste fidèle au royaume wisigoth[22]. Lui et sa famille comptent et souhaitent le retour des Wisigoths.

C'est l'occasion d'une première intervention du roi Thierry Ier, fils de Clovis, mais impossible à dater. Grégoire de Tours, bien informé sur tout ce qui concerne l'Auvergne, dispose apparemment de deux traditions orales : l'une issue de ses parents, l'autre de saint Gall ; mais elles se retrouvent fusionnées dans ses textes et mêlées de réminiscences littéraires. La question est débrouillée quasi-simultanément par E. Zöllner, Geschichte der Franken…, et par M. Rouche, L'Aquitaine…. Cette solution suppose deux interventions de Thierry en Auvergne, la première entre 515-516 (épiscopat de Quintien) et 525 (épiscopat de Gall), l'autre sans doute en 532. Le putsch d'Apollinaire lui sert de prétexte pour intervenir en Auvergne et définitivement l'annexer. Pour le reste, il se contente de rétablir Quintien, Apollinaire étant mort quelques mois après sa prise de l'épiscopat[23]. L'Auvergne reste sous l'administration d'un comte, Hortensius (comte d'Auvergne), d'origine gallo-romaine mais désormais dans la mouvance franque.

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Les enfants de Clovis élevés dans un palais gallo-romain.

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MARIAGE ET DESCENDANCE[]

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Christian Settipani, Arcade[24].

Marié avec Placidina, Apollinaire laisse derrière lui :

une fille du nom de Sidonia mariée à son cousin Fidentius Ferreol, évêque d’Uzès[25].
et un fils du nom d'Arcade de Bourges (ca 480 - 541) qui soulève l'Auvergne contre les Francs en 532[26][27].

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Les Aviti et les évêques de Clermont[28].

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NOTES ET RÉFÉRENCES[]

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  1. Christian Settipani, Les Aviti et les évêques de Clermont, Colloque Saint Julien de Brioude. Actes du colloque international organisé par la ville de Brioude du 22 au 24 sept. 2004, p. 129-170,‎ 1er janvier 2007.
  2. Les ancêtres de Charlemagne, Volume 16 de Prosopographia et Genealogia, Christian Settipani, Occasional Publications UPR, 2015. ISBN 1900934159, 9781900934152.
  3. Histoire de Grégoire de Tours ; traduction et notes de Roy Just-Jean-Étienne et Auerbach Erich, Histoire des rois Francs, Paris, Gallimard, réédition de 2011 (ISBN 978-2-07-044138-9) et Apollinaire de Clermont, jeudi 27 juillet 2023, par Lucien Jallamion.
  4. Histoire de Grégoire de Tours ; traduction et notes de Roy Just-Jean-Étienne et Auerbach Erich, Histoire des rois Francs, Paris, Gallimard, réédition de 2011 (ISBN 978-2-07-044138-9) et Apollinaire de Clermont, jeudi 27 juillet 2023, par Lucien Jallamion.
  5. Histoire de Grégoire de Tours ; traduction et notes de Roy Just-Jean-Étienne et Auerbach Erich, Histoire des rois Francs, Paris, Gallimard, réédition de 2011 (ISBN 978-2-07-044138-9) et Apollinaire de Clermont, jeudi 27 juillet 2023, par Lucien Jallamion.
  6. Histoire de Grégoire de Tours ; traduction et notes de Roy Just-Jean-Étienne et Auerbach Erich, Histoire des rois Francs, Paris, Gallimard, réédition de 2011 (ISBN 978-2-07-044138-9) et Apollinaire de Clermont, jeudi 27 juillet 2023, par Lucien Jallamion.
  7. Histoire de Grégoire de Tours ; traduction et notes de Roy Just-Jean-Étienne et Auerbach Erich, Histoire des rois Francs, Paris, Gallimard, réédition de 2011 (ISBN 978-2-07-044138-9) et Apollinaire de Clermont, jeudi 27 juillet 2023, par Lucien Jallamion.
  8. Histoire de Grégoire de Tours ; traduction et notes de Roy Just-Jean-Étienne et Auerbach Erich, Histoire des rois Francs, Paris, Gallimard, réédition de 2011 (ISBN 978-2-07-044138-9) et Apollinaire de Clermont, jeudi 27 juillet 2023, par Lucien Jallamion.
  9. Joël Schmidt Le royaume wisigoth d'Occitanie. Perrin 2008
  10. Godefroi Kurth Les comtes d'Auvergne au VIIe siècle. Bulletin de l'Académie royale de Belgique. Novembre 1899
  11. Histoire de Grégoire de Tours ; traduction et notes de Roy Just-Jean-Étienne et Auerbach Erich, Histoire des rois Francs, Paris, Gallimard, réédition de 2011 (ISBN 978-2-07-044138-9) et Apollinaire de Clermont, jeudi 27 juillet 2023, par Lucien Jallamion.
  12. Eugène Baret, E. Thorin, Apollinaire et sur la société gallo-romaine au cinquième siècle, Base de données Remacle, 1878
  13. Les ancêtres de Charlemagne Volume 16 de Prosopographia et Genealogia, Christian Settipani, Occasional Publications UPR, 2015. ISBN 1900934159, 9781900934152.
  14. Françoise Prévot. Sidoine Apollinaire et l'Auvergne. Revue d'Histoire de l'Eglise de France. volume79|numér 203|1993
  15. Bernadette Fizellier-Sauget. L'Auvergne de Sidoine Apollinaire à Grégoire de Tours : actes des XIIIème journées internationales d'archéologie mérovingienne : Clermont-Ferrand (3-6 octobre 1991). Institut d'études du Massif Central 1991
  16. Ralph Whitney Mathisen. Exiles, and Survivors: Aristocratic Options in Visigothic Aquitania. Phoenix 38. Winnipeg Classical Association of Canada 1984. pages 159
  17. Jean-Luc Boudartchouk. Hors-Série n°3 - Nouveaux champs de la recherche archéologique 201. pages 158-165
  18. Jean Anglade Histoire de l'Auvergne. Paris Hachette Littérature année 1974
  19. Histoire de Grégoire de Tours ; traduction et notes de Roy Just-Jean-Étienne et Auerbach Erich, Histoire des rois Francs, Paris, Gallimard, réédition de 2011 (ISBN 978-2-07-044138-9) et Apollinaire de Clermont, jeudi 27 juillet 2023, par Lucien Jallamion.
  20. Luce Pietri, Roland Delmaire, Janine Desmulliez, Pierre-Louis Gatier. Les lettres d’Avit de Vienne. La correspondance d’un évêque politique. Documents pour l'histoire de l'Antiquité tardive. Actes du colloque international, université Charles-de-Gaulle-Lille 3, 20-22 novembre 2003. Lyon Maison de l'Orient et de la Méditerranée. pages=311-331
  21. E. Zöllner, Geschichte der Franken…, p.66, précisée par M. Rouche, L'Aquitaine…, p.490.
  22. Edward James. Gregory of Tours, the Visigoths and Spain. Cross, crescent and conversion. The Medieval Mediterranean Leyde ; Boston. Éditions Brill 2008. pages=43-64
  23. Brigitte Beaujard. Le culte des saints chez les Arvernes aux Ve/VIe des XIIIeS journées internationales d'archéologie mérovingienne L'Auvergne de Sidoine Apollinaire à Grégoire de Tours : histoire et archéologie. Clermont-Ferrand Université Blaise-Pascal ; Association française d'archéologie mérovingienne ; Service régional de l'archéologie Auvergne 1991
  24. Christian Settipani, Les Aviti et les évêques de Clermont, Colloque Saint Julien de Brioude. Actes du colloque international organisé par la ville de Brioude du 22 au 24 sept. 2004, p. 129-170,‎ 1er janvier 2007.
  25. Christian Settipani, Les ancêtres de Charlemagne, Occasional Publications UPR, 1er décembre 2015 (ISBN 978-1-900934-15-2)
  26. Ian N. Wood. Early Merovingian Devotion in Town and Country. The Church in Town and Countryside. volume 16. Cambridge University Press 1979
  27. Ralph W. Mathisen Epistolography, Literary Circles and Family Ties in Late Roman Gaul. Transactions of the American Philological Association. volume 111. Johns Hopkins University Press 1981. pages=95-109
  28. Christian Settipani, Les Aviti et les évêques de Clermont, Colloque Saint Julien de Brioude. Actes du colloque international organisé par la ville de Brioude du 22 au 24 sept. 2004, p. 129-170,‎ 1er janvier 2007.
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