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[[Fichier:Aa.jpg|thumb|300px|Albéric d'Allonville (Galeries historiques du palais de Versailles)]]Lefèvre mentionne un lieu-dit Allonville (''Alonis Villa'') sur la commune de Neuvy-en-Dunois, canton de Bonneval, comme seigneurie en 1190. '''Albéric d'Allonville''' (ca 1150-1211), seigneur du lieu, est cité comme croisé dans le ''Cartulaire de Saint-Père''<ref> Bulletin de la Société archéologique d'Eure-et-Loir, Numéro 69. </ref>. Il est peut-être le petit-fils ou le petit-neveu de [[Payen d'Allonville]], le premier membre connu de la [[Maison d'Allonville]]. Albéric est peut-être le fils d'un Payen d'Allonville, deuxième du nom.
 
   
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Ce seigneur de Neuvy-en-Dunois, chevalier, suit, à la croisade en 1190, Philippe Auguste et Richard Cœur de Lion<ref> Vasseur Roger, ''Informations généalogiques du Centre'', Famille d'Allonville (Orléanais) février 1997. </ref>, avec plusieurs seigneurs de la Beauce<ref> Notice du Musée Impérial de Versailles, de Eudoxe Soulié, p. 84. </ref>. Un parlement a lieu entre les rois de France et d'Angleterre, sous Vormel de Gisors, le 21 janvier 1188, et la ligue chrétienne est sur-le-champ proclamée.
 
   
Le comte d'Albéric, Thibaut V de Blois, ses frères de Champagne et de Sancerre, ses neveux Milon de Mouçon, comte de Bar, et Renaud de Bar, évêque de Chartres, prennent donc la croix.
 
   
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'''Albéric d'Allonville'''
Rotrou IV du Perche, Gislebert de Tardais, Renaud de Montmirail, seigneur d'Alluyes, Gauthier de Rambouillet, Gaufrid d'Érouville, Henri de Ludon, Renaud Crespin, Guy de Vaugrigneuse, Robert Gruel de La Frotte, Guillaume de Prunelé, M. du Temple, Hugues de Moutiers, Gervais de Menou, '''Albéric d'Allonville''', [http://fr.wikipedia.org/wiki/Jodoin_de_Beauvilliers Jodoin de Beauvilliers], Guy de Chartres et une foule d'autres imitent leur exemple.
 
   
Parmi les familles encore existantes au XIX{{e}} siècle de ses croisés qui n'ont pas changé de nom, la Revue de bibliographie analytique cite celle d'Allonville. Ces témoignages sont en grande partie dus à l'inappréciable découverte de plus de deux cents titres sur parchemin, des XII{{e}} siècle et XIII{{e}} siècles, constatant presque tous des emprunts faits en Terre Sainte, par des chevaliers croisés à des marchands de Messine, de Sienne, de Pise, et surtout de Gênes <ref> ''Histoire de Chartres'', Eugène de Buchère de Lépinois, p. 114. </ref>. C'est outre le cartulaire, cité par ''l'Histoire de Chartres'', le cas pour Albéric. On le trouve cité dans un acte daté de Saint-Jean-d'Acre du mois de septembre 1191<ref> Revue de bibliographie analytique, B.E.C. Millet et Aubenas, Bénigne Emmanuel C. Miller 1845, p.172.</ref> :
 
   
[[Fichier:Aaaa.jpg|thumb|300px|Siège de Saint Jean d'Acre 1191]]''[http://fr.wikipedia.org/wiki/Jodoin_de_Beauvilliers Jodoin de Beauvilliers], chevalier, mandataire de Renaud de Bar, évêque de Chartres, dans le pays d'outre-mer, se porte pleige, au nom de ce prélat, pour la somme de 130 marcs d'argent, empruntée par des seigneurs du pays chartrain à Conrado Ususmari et Quilico di Goarco. Au nombre de ces seigneurs est nommé Albéric d'Allonville. L'acte est passé à Acre, au mois de septembre 1191. Albéric d'Allonville, originaire des environs de Chartres, porte : d'argent, à deux fasces de sable.''
 
   
''L’[http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5680069n.image.r=d%27allonville+.f12.langFR Histoire de la maison de Ségur] dès son origine, 876'', par le comte Victor de Ségur-Cabanac et Paul André Roger, dans ''La noblesse de France aux croisades, confirment qu'il est croisé en 1190''.
 
   
Cesare Cantù le cite parmi les chevaliers de la Troisième croisade dans son ''Histoire universelle''<ref> ''Histoire universelle, Cesare Cantù, Firmin-Didot, 1862, v.10, p.631''. </ref>. C'est en vertu de ce titre que le nom et les armes d'Allonville figureront dans la première des [http://fr.wikipedia.org/wiki/Salles_des_Croisades salles des croisades], au château de Versailles<ref> ''Galeries historiques du palais de Versailles''. Tome 6, partie 2, Gavard, Charles (1794-1871) Impr. royale (Paris) 1839-1848. </ref>.
 
   
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[[Fichier:Aa.jpg|thumb|260px|Albéric d'Allonville (Galeries historiques du palais de Versailles).]][[File:Aada2-0.jpg|thumb|260px|Croisés (1190).]][[File:Aada100.jpg|thumb|260px|Jodoin de Beauvilliers, chevalier, est mandataire de Renaud de Bar, évêque de Chartres, dans le pays d'outre-mer. Chartres en 1200.]][[Fichier:Aaaa.jpg|thumb|260px|Siège de Saint Jean d'Acre, 1191.]]
Le nom et l'écu d'Albéric d'Allonville sont substitués à ceux de Raoul d'Aubigné, qui figurent dans la première salle carrée, sous le n° 75<ref> Revue de Champagne et de Brie, 1882, p.214 et L'Annuaire de 1841, p. 379 et Galeries historiques du palais de Versailles - Tome 6 partie 2 et Notice du Musée Impérial de Versailles, Eudoxe Soulié, C. de Mourgues frères 1859, v. 1, p.84 et Annuaire de la noblesse, p.209. </ref>.
 
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[[File:Aada1-0.jpg|thumb|260px|Vieux moulins à Illiers.]][[Fichier:Château_d'allonville.jpg|thumb|260px|''Plan du chasteau et du village d'Alonville''<ref>Dessin de Louis Boudan, Inventaire des dessins exécutés pour Roger de Gaignières et conservés aux départements des Estampes et des Manuscrits, Paris, 1891, vol. 2, n. 5203, Bailleau-l'Évêque (Eure-et-Loir / France) -- Château d'Allonville, Genre iconographique : Paysages -- XVIIe siècle.</ref>.]]
 
Lefèvre mentionne un lieu-dit Allonville (''Alonis Villa'') sur la commune de Neuvy-en-Dunois, canton de Bonneval, comme seigneurie en 1190. '''Albéric d'Allonville''' (ca 1150-1211), seigneur du lieu, est cité comme croisé dans le ''Cartulaire de Saint-Père''<ref>Bulletin de la Société archéologique d'Eure-et-Loir, Numéro 69. </ref>. Il est peut-être le petit-fils ou le petit-neveu de [[Payen d'Allonville]], le premier membre connu de la [[Maison d'Allonville]]. Albéric est peut-être le fils d'un Payen d'Allonville, deuxième du nom.
   
 
Ce seigneur de Neuvy-en-Dunois, chevalier, suit, à la croisade en 1190, Philippe Auguste et Richard Cœur de Lion<ref>Vasseur Roger, ''Informations généalogiques du Centre'', Famille d'Allonville (Orléanais) février 1997.</ref>, avec plusieurs seigneurs de la Beauce<ref>Notice du Musée Impérial de Versailles, de Eudoxe Soulié, p. 84.</ref>. Un parlement a lieu entre les rois de France et d'Angleterre, sous Vormel de Gisors, le 21 janvier 1188, et la ligue chrétienne est sur-le-champ proclamée.
Albéric d'Allonville meurt avant l'an 1212, époque à laquelle sa veuve, dame Marie, réclame, par-devant l'official de Paris, la moitié du moulin d'Illiers qui a été vendu, sans son consentement, à Guillaume du Temple, clerc. L'original en parchemin, scellé du sceau de l'official, appartiendra aux archives du comte Louis d'Allonville<ref> Annuaire de 1841, p.379 et Revue d'Aquitaine et du Languedoc, 1865, v.9, p.125 et Annuaire de la noblesse... 1868, v.25, p.209. </ref>.
 
   
 
Le comte d'Albéric, Thibaut V de Blois, ses frères de Champagne et de Sancerre, ses neveux Milon de Mouçon, comte de Bar, et Renaud de Bar, évêque de Chartres, prennent donc la croix.
   
 
Rotrou IV du Perche, Gislebert de Tardais, Renaud de Montmirail, seigneur d'Alluyes, Gauthier de Rambouillet, Gaufrid d'Érouville, Henri de Ludon, Renaud Crespin, Guy de Vaugrigneuse, Robert Gruel de La Frotte, Guillaume de Prunelé, M. du Temple, Hugues de Moutiers, Gervais de Menou, '''Albéric d'Allonville''', [http://fr.wikipedia.org/wiki/Jodoin_de_Beauvilliers Jodoin de Beauvilliers], Guy de Chartres et une foule d'autres imitent leur exemple.
Albéric et Marie sont peut-être les parents d'un Payen d'Allonville, troisième du nom, lui même père de Maurice d'Allonville, écuyer en 1230<ref> ''Nobiliaire universel de France, ou recueil général des généalogies historiques des maisons nobles de ce royaume'', Nicolas Viton de Saint Allais, 1814. </ref>.
 
 
   
 
Parmi les familles encore existantes au XIX<sup>e</sup> siècle de ses croisés qui n'ont pas changé de nom, la Revue de bibliographie analytique cite celle d'Allonville. Ces témoignages sont en grande partie dus à l'inappréciable découverte de plus de deux cents titres sur parchemin, des XII<sup>e</sup> siècle et XIII<sup>e</sup> siècles, constatant presque tous des emprunts faits en Terre Sainte, par des chevaliers croisés à des marchands de Messine, de Sienne, de Pise, et surtout de Gênes <ref>''Histoire de Chartres'', Eugène de Buchère de Lépinois, p. 114. </ref>. C'est outre le cartulaire, cité par ''l'Histoire de Chartres'', le cas pour Albéric. On le trouve cité dans un acte daté de Saint-Jean-d'Acre du mois de septembre 1191<ref>Revue de bibliographie analytique, B.E.C. Millet et Aubenas, Bénigne Emmanuel C. Miller 1845, p.172.</ref> :
   
 
: ''[http://fr.wikipedia.org/wiki/Jodoin_de_Beauvilliers Jodoin de Beauvilliers], chevalier, mandataire de [https://fr.wikipedia.org/wiki/Renaud_de_Bar_(%C3%A9v%C3%AAque_de_Chartres) Renaud de Bar], évêque de Chartres, dans le pays d'outre-mer, se porte pleige, au nom de ce prélat, pour la somme de 130 marcs d'argent, empruntée par des seigneurs du pays chartrain à Conrado Ususmari et Quilico di Goarco. Au nombre de ces seigneurs est nommé Albéric d'Allonville. L'acte est passé à Acre, au mois de septembre 1191. Albéric d'Allonville, originaire des environs de Chartres, porte : d'argent, à deux fasces de sable.''
   
 
''L’[http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5680069n.image.r=d%27allonville+.f12.langFR Histoire de la maison de Ségur dès son origine, 876]'', par le comte Victor de Ségur-Cabanac et Paul André Roger, dans ''La noblesse de France aux croisades'', confirment aussi qu'il est croisé en 1190.
   
 
Cesare Cantù le cite parmi les chevaliers de la Troisième croisade dans son ''Histoire universelle''<ref>''Histoire universelle, Cesare Cantù, Firmin-Didot, 1862, v.10, p.631''. </ref>. C'est en vertu de ce titre que le nom et les armes d'Allonville figureront dans la première des [http://fr.wikipedia.org/wiki/Salles_des_Croisades salles des croisades], au château de Versailles<ref>''Galeries historiques du palais de Versailles''. Tome 6, partie 2, Gavard, Charles (1794-1871) Impr. royale (Paris) 1839-1848. </ref>.
   
 
Le nom et l'écu d'Albéric d'Allonville sont substitués à ceux de Raoul d'Aubigné, qui figurent dans la première salle carrée, sous le n° 75<ref>Revue de Champagne et de Brie, 1882, p.214 et L'Annuaire de 1841, p. 379 et Galeries historiques du palais de Versailles - Tome 6 partie 2 et Notice du Musée Impérial de Versailles, Eudoxe Soulié, C. de Mourgues frères 1859, v. 1, p.84 et Annuaire de la noblesse, p.209.</ref>.
   
 
Albéric d'Allonville meurt avant l'an 1212, époque à laquelle sa veuve, dame Marie, réclame, par-devant l'official de Paris, la moitié du moulin d'Illiers qui a été vendu, sans son consentement, à Guillaume du Temple, clerc. L'original en parchemin, scellé du sceau de l'official, appartiendra aux archives du comte Louis d'Allonville<ref>Annuaire de 1841, p.379 et Revue d'Aquitaine et du Languedoc, 1865, v.9, p.125 et Annuaire de la noblesse... 1868, v.25, p.209.</ref>.
   
   
 
Albéric et Marie sont peut-être les parents d'un Payen d'Allonville, troisième du nom, lui même père de Maurice d'Allonville, écuyer en 1230<ref>''Nobiliaire universel de France, ou recueil général des généalogies historiques des maisons nobles de ce royaume'', Nicolas Viton de Saint Allais, 1814.</ref>.
   
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Version du 19 septembre 2017 à 11:00



                           Albéric d'Allonville



Aa

Albéric d'Allonville (Galeries historiques du palais de Versailles).

Aada2-0

Croisés (1190).

Aada100

Jodoin de Beauvilliers, chevalier, est mandataire de Renaud de Bar, évêque de Chartres, dans le pays d'outre-mer. Chartres en 1200.

Aaaa

Siège de Saint Jean d'Acre, 1191.

Aada1-0

Vieux moulins à Illiers.

Château d'allonville

Plan du chasteau et du village d'Alonville[1].

Lefèvre mentionne un lieu-dit Allonville (Alonis Villa) sur la commune de Neuvy-en-Dunois, canton de Bonneval, comme seigneurie en 1190. Albéric d'Allonville (ca 1150-1211), seigneur du lieu, est cité comme croisé dans le Cartulaire de Saint-Père[2]. Il est peut-être le petit-fils ou le petit-neveu de Payen d'Allonville, le premier membre connu de la Maison d'Allonville. Albéric est peut-être le fils d'un Payen d'Allonville, deuxième du nom.

Ce seigneur de Neuvy-en-Dunois, chevalier, suit, à la croisade en 1190, Philippe Auguste et Richard Cœur de Lion[3], avec plusieurs seigneurs de la Beauce[4]. Un parlement a lieu entre les rois de France et d'Angleterre, sous Vormel de Gisors, le 21 janvier 1188, et la ligue chrétienne est sur-le-champ proclamée.

Le comte d'Albéric, Thibaut V de Blois, ses frères de Champagne et de Sancerre, ses neveux Milon de Mouçon, comte de Bar, et Renaud de Bar, évêque de Chartres, prennent donc la croix.

Rotrou IV du Perche, Gislebert de Tardais, Renaud de Montmirail, seigneur d'Alluyes, Gauthier de Rambouillet, Gaufrid d'Érouville, Henri de Ludon, Renaud Crespin, Guy de Vaugrigneuse, Robert Gruel de La Frotte, Guillaume de Prunelé, M. du Temple, Hugues de Moutiers, Gervais de Menou, Albéric d'Allonville, Jodoin de Beauvilliers, Guy de Chartres et une foule d'autres imitent leur exemple.

Parmi les familles encore existantes au XIXe siècle de ses croisés qui n'ont pas changé de nom, la Revue de bibliographie analytique cite celle d'Allonville. Ces témoignages sont en grande partie dus à l'inappréciable découverte de plus de deux cents titres sur parchemin, des XIIe siècle et XIIIe siècles, constatant presque tous des emprunts faits en Terre Sainte, par des chevaliers croisés à des marchands de Messine, de Sienne, de Pise, et surtout de Gênes [5]. C'est outre le cartulaire, cité par l'Histoire de Chartres, le cas pour Albéric. On le trouve cité dans un acte daté de Saint-Jean-d'Acre du mois de septembre 1191[6] :

Jodoin de Beauvilliers, chevalier, mandataire de Renaud de Bar, évêque de Chartres, dans le pays d'outre-mer, se porte pleige, au nom de ce prélat, pour la somme de 130 marcs d'argent, empruntée par des seigneurs du pays chartrain à Conrado Ususmari et Quilico di Goarco. Au nombre de ces seigneurs est nommé Albéric d'Allonville. L'acte est passé à Acre, au mois de septembre 1191. Albéric d'Allonville, originaire des environs de Chartres, porte : d'argent, à deux fasces de sable.

L’Histoire de la maison de Ségur dès son origine, 876, par le comte Victor de Ségur-Cabanac et Paul André Roger, dans La noblesse de France aux croisades, confirment aussi qu'il est croisé en 1190.

Cesare Cantù le cite parmi les chevaliers de la Troisième croisade dans son Histoire universelle[7]. C'est en vertu de ce titre que le nom et les armes d'Allonville figureront dans la première des salles des croisades, au château de Versailles[8].

Le nom et l'écu d'Albéric d'Allonville sont substitués à ceux de Raoul d'Aubigné, qui figurent dans la première salle carrée, sous le n° 75[9].

Albéric d'Allonville meurt avant l'an 1212, époque à laquelle sa veuve, dame Marie, réclame, par-devant l'official de Paris, la moitié du moulin d'Illiers qui a été vendu, sans son consentement, à Guillaume du Temple, clerc. L'original en parchemin, scellé du sceau de l'official, appartiendra aux archives du comte Louis d'Allonville[10].


Albéric et Marie sont peut-être les parents d'un Payen d'Allonville, troisième du nom, lui même père de Maurice d'Allonville, écuyer en 1230[11].

RÉFÉRENCES

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  1. Dessin de Louis Boudan, Inventaire des dessins exécutés pour Roger de Gaignières et conservés aux départements des Estampes et des Manuscrits, Paris, 1891, vol. 2, n. 5203, Bailleau-l'Évêque (Eure-et-Loir / France) -- Château d'Allonville, Genre iconographique : Paysages -- XVIIe siècle.
  2. Bulletin de la Société archéologique d'Eure-et-Loir, Numéro 69.
  3. Vasseur Roger, Informations généalogiques du Centre, Famille d'Allonville (Orléanais) février 1997.
  4. Notice du Musée Impérial de Versailles, de Eudoxe Soulié, p. 84.
  5. Histoire de Chartres, Eugène de Buchère de Lépinois, p. 114.
  6. Revue de bibliographie analytique, B.E.C. Millet et Aubenas, Bénigne Emmanuel C. Miller 1845, p.172.
  7. Histoire universelle, Cesare Cantù, Firmin-Didot, 1862, v.10, p.631.
  8. Galeries historiques du palais de Versailles. Tome 6, partie 2, Gavard, Charles (1794-1871) Impr. royale (Paris) 1839-1848.
  9. Revue de Champagne et de Brie, 1882, p.214 et L'Annuaire de 1841, p. 379 et Galeries historiques du palais de Versailles - Tome 6 partie 2 et Notice du Musée Impérial de Versailles, Eudoxe Soulié, C. de Mourgues frères 1859, v. 1, p.84 et Annuaire de la noblesse, p.209.
  10. Annuaire de 1841, p.379 et Revue d'Aquitaine et du Languedoc, 1865, v.9, p.125 et Annuaire de la noblesse... 1868, v.25, p.209.
  11. Nobiliaire universel de France, ou recueil général des généalogies historiques des maisons nobles de ce royaume, Nicolas Viton de Saint Allais, 1814.