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La Prévôté royale d'Angoulême s'étend sur la ville et les faubourgs de même nom et sur trente autres Paroisses ou enclaves; mais il en a été démembré quelques-unes en conséquence de l'Edit du mois d'avril de l'an 1695. Dans la ville et banlieue d'Angoulême, la justice criminelle n'appartient point au Juge-Prévôt, mais aux Maire et échevins et il en est de même par rapport à la Police<ref> ''Dictionnaire géographique, historique et politique des Gaules et de la France'', Louis Alexandre Expilly, 1761. </ref>. |
La Prévôté royale d'Angoulême s'étend sur la ville et les faubourgs de même nom et sur trente autres Paroisses ou enclaves; mais il en a été démembré quelques-unes en conséquence de l'Edit du mois d'avril de l'an 1695. Dans la ville et banlieue d'Angoulême, la justice criminelle n'appartient point au Juge-Prévôt, mais aux Maire et échevins et il en est de même par rapport à la Police<ref> ''Dictionnaire géographique, historique et politique des Gaules et de la France'', Louis Alexandre Expilly, 1761. </ref>. |
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Version du 4 mars 2014 à 13:38
Étienne Caluau, juge-prévôt royal d'Angoulême, qui fait en 1463 une enquête à la requête du chapitre contre le procureur du comte d'Angoulême. Le litige concerne à Roffy les eaux de la Charente[1]. Quelle est sa parenté exacte avec Arnauld Caluau de l'oisellerie ? Il semble être la tige de la Maison Caluau.
Nous avons à Bordeaux, Toulouse, Libourne, une Maison de Calhau qui fournit plusieurs maires ou capitouls à ces villes.
La Prévôté royale d'Angoulême s'étend sur la ville et les faubourgs de même nom et sur trente autres Paroisses ou enclaves; mais il en a été démembré quelques-unes en conséquence de l'Edit du mois d'avril de l'an 1695. Dans la ville et banlieue d'Angoulême, la justice criminelle n'appartient point au Juge-Prévôt, mais aux Maire et échevins et il en est de même par rapport à la Police[2].
NOTES ET RÉFÉRENCES
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- ↑ Inventaire sommaire des Archives départementales antérieures à 1790: série G de 339 à 996, suivi de la table alphabétique des deux tomes, Volume 2, Archives ecclésiastiques, clergé séculier, Archives départementales de la Charente, 1961, p.65.
- ↑ Dictionnaire géographique, historique et politique des Gaules et de la France, Louis Alexandre Expilly, 1761.